> Télécharger au format PDF
Archivé ETAT-MAJOR DE L'ARMÉE DE L'AIR : bureau emploi

INSTRUCTION N° 3629/DEF/EMAA/B/EMP/SF portant réglementation de la progression professionnelle des sous-officiers moniteurs de simulateurs de vols.

Abrogé le 17 décembre 2002 par : INSTRUCTION N° 3629/DEF/EMAA/B/EMP/CDT/ADJ relative à la progression professionnelle des sous-officiers « moniteurs de simulateur de vol » de l'armée de l'air. Du 16 octobre 1997
NOR

Référence(s) : Circulaire N° 1501/DEF/EMAA/BORH/ORG du 24 janvier 1997 d'application de l'instruction n° 1500/DEF/EMAA/BORH/ORG du 11 avril 1996 (BOC, p. 1971) modifiée portant définition des monographies d'emploi des cadres de maîtrise, spécialistes supérieurs et élémentaires et techniciens du personnel non navigant.

Pièce(s) jointe(s) :     Quatre annexes.

Texte(s) caduc(s) :

texte abrogé, caduc ou radié (reprise des données Boreale_v1).

Classement dans l'édition méthodique : BOEM  643.3.3., 644.1.3.4.

Référence de publication : BOC, p. 4497.

1. Généralités.

L'activité des spécialistes moniteurs de simulateurs de vol s'exerce dans les domaines suivants :

  • mise en œuvre d'un entraîneur ou simulateur de vol ;

  • enseignement des connaissances de la cabine ;

  • enseignement des procédures normales et secours de l'aéronef au simulateur ;

  • conduite et suivi des différentes missions d'instruction [vol sans visibilité (VSV), règles de vol aux instruments (IFR), etc.] ;

  • pratique de la phraséologie aéronautique anglaise.

Outre leur niveau d'instruction fixé par la direction du personnel militaire de l'armée de l'air (DPMAA), les spécialistes moniteurs de simulateurs de vol doivent être titulaires du certificat militaire de langue parlée no  1 d'anglais et posséder des qualités particulières :

  • assurance ;

  • sens pédagogique ;

  • goût des responsabilités ;

  • esprit d'initiative.

La variété des missions, le rôle primordial de la formation des équipages, la complexité des matériels simulés et l'importance des responsabilités attachées au contrôle des équipages rendent nécessaires une sélection, une instruction rigoureuses et continues.

La présente instruction a pour objet de définir la progression professionnelle des sous-officiers moniteurs de simulateurs de vol et de fixer les conditions d'attribution des diplômes de qualification qui la sanctionnent.

2. Principes.

Le schéma général de la progression des sous-officiers moniteurs de simulateurs de vol est adapté aux fonctions à tenir par l'ensemble de ces spécialistes.

La réussite aux examens professionnels spécifiques à la spécialité permet d'obtenir, par équivalence, la partie professionnelle de la sélection no  2 (S 2) ainsi que la sélection no  3 (S 3).

3. Niveaux de responsabilité en matière d'instruction.

Quatre niveaux de responsabilité sont déterminés.

3.1. L'état-major de l'armée de l'air.

L'état-major de l'armée de l'air (EMAA) établit des directives générales relatives :

  • à la politique d'ensemble ;

  • aux stades de progression ;

  • aux conditions et normes requises pour l'attribution des qualifications professionnelles.

3.2. Les commandements gestionnaires.

Les commandements gestionnaires [commandement des écoles de l'armée de l'air (CEAA), centre d'expériences aériennes militaires (CEAM), commandement de la force aérienne de combat (CFAC), commandement des forces aériennes stratégiques (CFAS) commandement de la force aérienne de projection (CFAP)] sont responsables de l'élaboration des ordres et consignes d'application des directives de l'EMAA, qui définissent :

  • les postes opérationnels avec les qualifications et les conditions requises pour les tenir ;

  • les normes pratiques indispensables pour l'obtention des diverses qualifications et pour le maintien de leur validité.

3.3. Le commandement des écoles de l'armée de l'air.

Le commandement des écoles de l'armée de l'air (CEAA) est responsable de l'établissement des programmes d'instruction des moniteurs simulateurs de vol en liaison avec les autres commandements gestionnaires.

3.4. Les commandants d'unité.

Les commandants d'unité conduisent et contrôlent l'instruction pour l'accès aux qualifications supérieures.

4. La progression du moniteur de simulateurs de vol.

La progression professionnelle du moniteur de simulateurs de vol en unité se décompose en quatre stades conformes à la monographie d'emploi définie par la circulaire citée en référence.

4.1. Stade 1 : moniteur à l'instruction.

Le moniteur sortant d'école et affecté sur base, effectue un stage en escadron de transformation et d'instruction spécialisée (ETIS) afin d'acquérir toutes les connaissances de base de l'avion simulé.

L'instruction est ensuite orientée sur l'utilisation normale et secours du vecteur.

Dans un souci de standardisation, une partie de cette formation est assurée, à l'issue de l'ETIS, au sein du simulateur de l'escadron de transformation vecteur.

Le moniteur à l'instruction (MI) est entraîné et suivi par un spécialiste du niveau minimum de sous-chef moniteur.

A la fin de ce stade, d'une durée de six mois, le MI obtient, après un test de contrôle des procédures effectué par l'officier responsable du simulateur (ou chef moniteur), la qualification de moniteur opérationnel.

4.2. Stade 2 : moniteur opérationnel.

Le moniteur opérationnel (MO) doit être capable d'assurer seul les missions de transformation machine et celles entrant dans un cadre opérationnel simple sur le simulateur ou l'entraîneur utilisé.

Sa formation lui permet d'acquérir les connaissances tactiques indispensables au suivi des missions opérationnelles complexes. Elle est scindée en deux parties :

  • une première phase correspond à une période définie par chaque commandement gestionnaire où le moniteur est toujours parrainé et bénéficie de séances d'instruction à son profit. Encadré par un sous-chef moniteur minimum, il effectue des missions simples type VSV et pannes. En fonction des consignes permanentes d'instruction (CPI) du commandement d'appartenance, il effectue le stage ETIS « système de navigation et d'armement » (SNA). Sa formation est alors axée sur l'apprentissage du SNA du vecteur et de son utilisation simple ;

  • à l'issue d'un test de contrôle supervisé par l'officier responsable du simulateur (lors d'une mission de transformation système), une deuxième phase de progression autorise le jeune moniteur à instruire seul les missions simples. Il est encadré par un sous-chef moniteur minimum pour les missions d'apprentissage du SNA et les missions à caractère tactique.

Durant ce stade de quatre ans et six mois au minimum, il prépare l'examen de connaissances générales en simulation (ECGS 1) dont la réussite lui permet d'obtenir par équivalence la partie professionnelle de la S 2.

Le MO, titulaire de l'ECGS 1, est autorisé à passer les épreuves sportives et militaires de la S 2.

4.3. Stade 3 : sous-chef moniteur.

Les sous-officiers déclarés reçus à la S 2 par la DPMAA sont autorisés à présenter l'examen d'accès à la qualification de sous-chef moniteur qui correspond à la phase de formation professionnelle du certificat supérieur.

Durant ce stade d'une durée théorique de cinq années, le sous-chef moniteur (SCM) a un rôle d'instructeur auprès des jeunes moniteurs et participe à l'instruction des missions opérationnelles de l'unité.

La progression professionnelle du SCM affecté en unité chasse doit l'amener à suivre toutes les missions de l'unité par une connaissance approfondie du système d'armes, des moyens de guerre électronique et des menaces. A cet égard, il effectue les stages nécessaires afin d'étendre sa culture aéronautique.

S'agissant du SCM affecté en unité de transport, il doit être en mesure de conduire dans un cadre tactique, toutes les missions spécifiques des escadrons concernés dont en particulier :

  • l'aérolargage, l'aéroportage et le ravitaillement en vol (pour les simulateurs avion) ;

  • la recherche et sauvetage (SAR) de jour et de nuit (pour le simulateur hélicoptère) ;

  • la mise en œuvre des mesures d'interception.

Par ailleurs, dès sa nomination au grade d'adjudant le SCM prépare l'ECGS 2 (en remplacement de la S 3) puis sera testé sur sa capacité à participer à l'instruction des missions de l'unité dans un cadre tactique complexe.

Sa réussite lui permet d'obtenir le diplôme de qualification supérieure suivant les normes en vigueur dans l'armée de l'air et d'accéder à la qualification de chef moniteur.

4.4. Stade 4 : chef moniteur.

Le chef moniteur (CM) instruit les moniteurs « simulateurs ». Il peut être chef de service de la section simulateurs.

Il participe à l'instruction du personnel navigant dans les missions de l'unité.

5. Documents de conduite et de contrôle de l'instruction professionnelle.

5.1. Consignes permanentes d'instruction des moniteurs simulateurs de vol.

Les consignes permanentes d'instruction (CPI) des moniteurs simulateurs de vol sont établies par les commandements gestionnaires et approuvées par le CEAA. Elles fixent les normes et les modalités de la progression professionnelle.

5.2. Livret professionnel individuel.

Le livret professionnel individuel est ouvert par le commandant de l'école du pilotage de l'armée de l'air (EPAA) de Cognac dès le début du cycle de formation. Les résultats des examens d'accès aux qualifications professionnelles ainsi que les procès-verbaux des sessions d'examens écrits et oraux sont inscrits dans le document. Ce dernier est attesté par le commandant d'unité à chaque mutation ou examen. Il est remis à l'intéressé lorsqu'il quitte le service actif.

6. Conditions et procédures d'attribution des qualifications.

6.1. Moniteur opérationnel.

Lorsque le moniteur à l'instruction a satisfait aux normes pratiques de la progression du stade 1 défini par les CPI et a été jugé apte par son commandant d'unité, il accède à la qualification de moniteur opérationnel (MO).

Cette phase d'instruction et de perfectionnement ne peut excéder une durée de six mois correspondant à la phase d'application du certificat élémentaire. Le brevet élémentaire de la spécialité (326144) est attribué à l'intéressé dans les conditions réglementaires.

6.2. Examen de connaissances générales en simulation n°  1.

L'examen de connaissances générales en simulation no  1 (ECGS 1) représente la partie professionnelle de la S 2. Il porte sur les connaissances aériennes indispensables à l'exécution des missions d'instruction simples propres à chaque commandement spécialisé. Il se décompose en deux séries d'unités de valeur (UV) détaillées en annexe I :

  • UV « techniques du navigant » (examen écrit) ;

  • UV « techniques du combattant » (examen oral).

Les résultats de l'ensemble des épreuves sont adressés par le CEAA à la DPMAA dans les conditions fixées par la circulaire annuelle diffusée par la DPMAA.

6.2.1. UV « techniques du navigant ».

A l'exception de la connaissance de l'avion d'arme ou du simulateur, ces unités de valeur sont communes à tous les candidats. Elles sont l'objet d'un examen écrit (sous forme de questions à choix multiple et de questions à courtes réponses) organisé par le CEAA en une seule session programmée au mois de mars de chaque année.

Pour réussir cet examen, le candidat doit obtenir au minimum 10 sur 20 à chacune des unités de valeur et une moyenne générale de 12 sur 20.

La réussite à cet examen, entérinée par le CEAA, donne accès à l'oral portant sur les techniques du combattant et reste acquise pendant deux ans.

6.2.2. UV « techniques du combattant ».

Deux sessions « techniques du combattant » sont organisées et programmées les mois de juin et novembre de chaque année par le commandant d'emploi qui définit en outre les programmes spécifiques de ces unités de valeur.

Le jury de l'examen oral est constitué par :

  • le commandant d'unité ;

  • trois officiers navigants du grade de capitaine au moins ;

  • un cadre de maîtrise de la spécialité.

Pour réussir les UV « techniques du combattant », le candidat doit obtenir au minimum 10 sur 20 à chacune des unités de valeur.

6.3. Sous-chef moniteur.

L'examen d'accès à la qualification de sous-chef moniteur (SCM) correspond à la sanction de la phase professionnelle du certificat supérieur (CS). Il est organisé par les commandements gestionnaires cités au paragraphe 3.2 selon les conditions fixées par les CPI dans l'année de référence. Les épreuves correspondent à la réalisation d'une mission au profit d'un équipage ou pilote et suivie au pupitre. Un résultat supérieur ou égal à 12 sur 20 entraîne la réussite à l'examen. Les résultats sont adressés par chaque commandement au bureau du recrutement et de la formation de la DPMAA et au CEAA à l'issue de l'examen. L'admission en stage de formation militaire de perfectionnement (FMP) est prononcée par la DPMAA dans les conditions fixées par l' instruction 3000 /DEF/DPMAA/BRF/REGL du 16 décembre 1993 (BOC, p. 6183) modifiée.

Le CS des spécialités est attribué par le CEAA aux sous-officiers ayant réussi les deux phases professionnelle et militaire avec succès.

Le brevet supérieur (326164) est attribué dans les conditions fixées par l' instruction 7325 /DEF/DPMAA/BRF/REGL du 26 décembre 1995 (BOC, 1996, p. 357) modifiée.

6.4. Examen de connaissances générales en simulation n°  2.

L'examen de connaissances générales en simulation no  2 (ECGS 2) équivalent de la S 3, peut être présenté par les sous-officiers moniteurs de simulateurs de vol réunissant les conditions réglementaires de présentation à la S 3 fixées par la circulaire annuelle diffusée par la DPMAA.

Les épreuves sont organisées par le commandement d'appartenance conformément au programme détaillé en annexe II. Les résultats sont adressés à la DPMAA (avec copie au CEAA) dans les conditions fixées par la circulaire précitée.

Le jury de cet examen est constitué d'un officier du commandement d'emploi, du commandant d'unité (ou son représentant), de l'officier sécurité des vols de l'unité et d'un cadre de maîtrise de la spécialité.

Les candidats à la présélection rang (PSR) subissent l'épreuve de culture générale dans les mêmes conditions que les sous-officiers des autres spécialités.

6.5. Chef moniteur.

Les sous-officiers déclarés reçus à la S 3 (niveau CM) par la DPMAA sont autorisés à présenter l'examen d'accès à la qualification de chef moniteur qui correspond au stage de certificat de cadre de maîtrise. Cet examen est organisé par les commandements gestionnaires cités au paragraphe 3.2 selon les conditions fixées par les CPI dans l'année de référence. Une moyenne de 12 sur 20 aux deux épreuves entraîne la réussite à l'examen. Les résultats sont adressés par chaque commandement organique à la DPMAA/bureau du recrutement et de la formation (BRF) et au CEAA sous la forme d'un état nominatif.

Le certificat de cadre de maîtrise (326184) est attribué dans les conditions fixées par l' instruction 7325 /DEF/DPMAA/BRF/REGL du 26 décembre 1995 .

Pour le ministre de la défense et par délégation :

Le général, sous-chef d'état-major opérations-logistique de l'armée de l'air,

Bertrand DUMONT.

Annexes

ANNEXE I. Programme des unités de valeurs de l'examen de connaissances générales en simulation n°  1.

1 Unités de valeur «techniques du navigant ».

Les unités de valeur « techniques du navigant » comprennent vingt questions courtes réponses (QCR) portant sur les domaines suivants :

  • l'avion d'armes ;

  • la navigation et l'approche par mauvaise visibilité (AMV) ;

  • la circulation aérienne ;

  • l'anglais aéronautique ;

  • la sécurité des vols.

Leur programme est détaillé ci-dessous.

1.1 Avions d'armes.

Cinq QCR sont proposées par le commandement d'emploi et portent sur la connaissance et l'emploi de l'avion d'armes du candidat (manuel d'utilisation de l'avion) dont en particulier :

  • la cellule ;

  • le moteur ;

  • les circuits (hydraulique, électrique, carburant) ;

  • les équipements ;

  • les procédures normales et secours ;

  • les performances ;

  • les limitations.

1.2 Navigation et approche par mauvaise visibilité.

Cinq QCR sur :

  • la préparation d'une navigation à vue ;

  • la documentation aéronautique : exploitation des cartes 1/2 000 000. 1/1 000 000, 1/500 000, 1/100 000 et 1/50 000 ;

  • l'exploitation du manuel « en route France » ;

  • l'exploitation du manuel de fiches de percées ;

  • le matériel de radionavigation en service ;

  • le principe de fonctionnement des radars de navigation et radar Doppler.

1.3 Circulation aérienne.

Quatre QCR sur :

  • la circulation opérationnelle militaire et la circulation aérienne générale ;

  • les régimes de vol et règles de vol ;

  • les organismes de contrôle dans les pays voisins.

1.4 Anglais aéronautique.

Trois QCR sur :

  • les procédures avec le contrôle local d'aérodrome ;

  • les procédures en route.

1.5 Sécurité des vols.

Trois QCR proposées par le commandement d'emploi et portant sur :

  • les consignes permanentes de la sécurité des vols du commandement d'emploi ;

  • le siège éjectable (simulateur chasse uniquement) ;

  • la vrille, le décrochage compresseur (simulateur chasse uniquement).

2 Unités de valeur «techniques du combattant ».

2.1 Programme spécifique au moniteur simulateur « chasse ».

Organisé sous forme d'oral par le commandement d'emploi, le programme comprend, outre les questions spécifiques du commandement d'appartenance, des questions orales portant en particulier sur les domaines suivants :

  • l'utilisation du système d'armes ;

  • l'emploi tactique ;

  • la guerre électronique ;

  • les matériels aériens et armements étrangers.

2.2 Programme spécifique aux moniteurs simulateur « transport ».

Organisé sous forme d'oral par le commandement d'emploi, le programme comprend des questions orales portant en particulier sur les domaines suivants :

  • la circulation aérienne intégrée ;

  • les techniques spécifiques (avion ou hélicoptère) ;

  • l'autoprotection ;

  • l'armement sol-air.

ANNEXE II. Programme des unités de valeur de l'examen de connaissances générales en simulation n°  2.

1 Moniteurs de simulateur «chasse ».

Les épreuves concernent les domaines suivants :

  • les techniques spécifiques ;

  • la guerre électronique ;

  • l'emploi tactique (missions des unités du commandement gestionnaire, connaissance du corps de bataille, coordination en vue de l'appui aérien…) ;

  • le rôle du chef simulateur (progressions du moniteur simulateur et du personnel navigant, responsabilité du chef moniteur).

2 Moniteurs de simulateur «transport ».

Le programme de l'ECGS 2 reprend de manière plus approfondie toutes les épreuves de l'ECGS 1 mais les techniques spécifiques concernent les deux domaines avion et hélicoptère.

En outre, il comportera une épreuve sur le rôle du chef simulateur.

ANNEXE III. Examen d'accès à la qualification sous-chef moniteur.

1 Qualification sous-chef moniteur «chasse ».

L'examen d'accès à la qualification sous-chef moniteur se déroule pour les unités chasse sous la forme d'une séance de simulateur exécutée au profit d'un équipage ou d'un pilote effectuant une mission opérationnelle.

Cette séance est notée sur 20.

2 Qualification sous-chef moniteur «transport ».

S'agissant des moniteurs simulateurs « transport », cet examen comporte deux séances de simulateur exécutées au profit d'un équipage :

  • préparation et conduite d'un voyage IFR ;

  • préparation et conduite d'une mission tactique.

Ces épreuves sont notées chacune sur 10.

ANNEXE IV.