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Archivé DIRECTION DE LA FONCTION MILITAIRE ET DU PERSONNEL CIVIL : sous-direction des actions sociales ; bureau des interventions et de la réglementation

INSTRUCTION N° 1304/DEF/SGA N° 50500/DEF/GEND/P/ASG relative à l'organisation de l'action sociale dans la gendarmerie.

Abrogé le 20 juillet 2005 par : INSTRUCTION N° 1013/DEF/SGA - N° 18950/DEF/GEND/RH/P/ASG relative à l'organisation de l'action sociale dans la gendarmerie nationale. Du 16 décembre 1994
NOR D E F P 9 4 5 9 1 5 5 J

Précédent modificatif :  1er modificatif du 3 octobre 1995 (BOC, p. 4825) NOR DEFP9559148J. , 2e modificatif du 1er septembre 1997 (BOC, p. 3844) NOR DEFP9759166J.

Référence(s) : Loi N° 66-458 du 02 juillet 1966 portant création de l'institution de gestion sociale des armées Décret N° 66-911 du 09 décembre 1966 relatif à l'organisation et au fonctionnement de l'institution de gestion sociale des armées (I.Ge.S.A.). Décret N° 77-203 du 04 mars 1977 relatif à l'action sociale des armées

Décret n° 86-757 du 3 juin 1986 (BOC, p. 3490) (1), modifié.

Décret N° 91-673 du 14 juillet 1991 portant organisation générale de la gendarmerie nationale. Décret N° 91-783 du 01 août 1991 relatif aux dispositions statutaires communes applicables aux corps d'assistants de service social des administrations de l'État. Décret N° 91-784 du 01 août 1991 relatif aux dispositions statutaires communes applicables aux corps des conseillers techniques de service social des administrations de l'État. Arrêté du 29 avril 1992 relatif au rattachement et au soutien des établissements sociaux et médico-sociaux du ministère de la défense.

Arrêté du 7 juin 1993 (BOC, p. 3669) (2).

Arrêté du 09 août 1993 relatif aux comités sociaux. Arrêté du 23 décembre 1993 relatif au conseil central de l'action sociale des armées.

Circulaire du 1er septembre 1992 (n.i. BO).

Pièce(s) jointe(s) :     Une annexe.

Texte(s) abrogé(s) :

Instruction n° 254/DEF/SGA — n° 16400/DEF/GEND/CAB/SOC du 17 juin 1985 (BOC p. 3157) et son modificatif du 21 février 1986 (BOC, p. 1242).

Classement dans l'édition méthodique : BOEM  520.2.2.4.

Référence de publication : BOC, 1995, p. 210.

L'action sociale dans la gendarmerie comprend :

  • le service social propre à la gendarmerie administré par le bureau de l'action sociale qui relève du sous-directeur du personnel de la gendarmerie nationale. Une circulaire particulière en précise l'organisation et le fonctionnement ;

  • l'action sociale dont l'organisation est définie par l'arrêté du 7 juin 1993. La présente instruction a pour objet en application des textes cités en référence, d'en définir l'organisation et le fonctionnement dans la gendarmerie en métropole.

1. Organisation.

1.1. Organisation administrative.

1.1.1. Niveau central.

Le directeur général de la gendarmerie nationale met en œuvre la politique d'action sociale dans la gendarmerie. A ce titre :

  • il est membre du conseil central de l'action sociale des armées et du conseil de gestion de l'institution de gestion sociale des armées (IGeSA), où il peut se faire représenter par un officier supérieur de la sous-direction du personnel de la direction générale de la gendarmerie nationale qui est en outre le correspondant de la direction générale de la gendarmerie nationale avec la direction de la fonction militaire et du personnel civil (sous-direction des actions sociales) d'une part et les commandants de circonscription de gendarmerie d'autre part, pour tout ce qui relève de l'action sociale ;

  • il exprime les besoins spécifiques du personnel en matière d'action sociale.

1.1.2. Niveau local.

1.1.2.1.

Les commandants de circonscription de gendarmerie sont responsables de l'action sociale et disposent chacun d'une direction locale de l'action sociale. La composition, la zone de responsabilité ainsi que le siège de chaque direction locale de l'action sociale sont fixés en annexe.

1.1.2.2.

Le général commandant la circonscription de gendarmerie est directeur local de l'action sociale.

Il conduit, contrôle et coordonne l'action sociale dans sa zone de responsabilité. Il exerce cette fonction dans le cadre des directives techniques qu'il reçoit de la direction de la fonction militaire et du personnel civil (sous-direction des actions sociales) et dispose des moyens en personnel (conseillers techniques et assistants de service social) et financiers mis à sa disposition par cette direction. Il peut être également chargé du soutien social des ressortissants retraités ou isolés des armées ou de la délégation générale pour l'armement domiciliés dans sa zone de compétence, sur la base des accords de réciprocité le cas échéant passés avec les directeurs locaux ne relevant pas de la gendarmerie. Ce principe d'accords interarmées vaut également pour le remplacement éventuel d'assistant de service social en cas d'indisponibilité ou de non-couverture d'un poste.

Par ailleurs, le directeur local de l'action sociale se tient en permanence informé des besoins exprimés en matière d'action sociale :

  • par les ressortissants et leur hiérarchie ;

  • par la chaîne technique de l'action sociale.

Un conseiller technique de service social est adjoint à chaque directeur local. A ce titre :

  • il lui donne notamment son avis sur les actions sociales entreprises et lui fait part des informations nécessaires ;

  • il assure plus particulièrement la direction technique professionnelle, la coordination et le contrôle des activités des conseillers techniques et assistants de service social.

1.1.2.3.

Les directions locales de l'action sociale peuvent être organisées en districts sociaux. Leur siège et leur zone de responsabilité sont précisés en annexe. Cette annexe peut être modifiée par décision conjointe du directeur de la fonction militaire et du personnel civil et du directeur général de la gendarmerie nationale.

Le chef de district social conduit, contrôle et coordonne l'action sociale au sein de sa zone géographique de compétence. A ce titre il a notamment la responsabilité :

  • du service social propre à la gendarmerie ;

  • des actions collectives de l'action sociale.

Un conseiller technique de service social peut être adjoint au chef de district. Il assure notamment la direction technique professionnelle, la coordination et le contrôle des activités des assistants de service social du district.

1.1.2.4.

Les districts sociaux sont composés d'échelons sociaux généralement implantés dans chaque département. Chaque échelon social comporte un ou plusieurs assistants de service social chargés d'assurer le soutien social des ressortissants du département.

Les assistants de service social sont en rapport direct avec les commandants de groupement ou les chefs de service, avec lesquels ils collaborent dans le cadre des actions sociales à caractère individuel ou collectif.

1.2. Rattachements particuliers.

1.2.1. Personnel stationné hors de la métropole.

Le personnel stationné en Allemagne et outre-mer relève de la structure sociale interarmées implantée sur ces territoires.

Le personnel en service dans les territoires ou départements d'outre-mer et à l'étranger, non rattaché à un district social interarmées dépend du centre administratif de la gendarmerie nationale (CAGN).

1.2.2. Personnel en service à l'administration centrale.

Le personnel militaire relève du district constitué par le centre administratif de la gendarmerie nationale, auquel il est rattaché administrativement.

Le personnel civil est rattaché au district social de la légion de gendarmerie départementale d'Ile-de-France.

1.2.3. Personnel d'unités ayant des missions particulières.

Le personnel de l'état-major du commandement de la gendarmerie d'outre-mer relève du district social de la légion de gendarmerie départementale d'Ile-de-France.

En raison de leur dispersion dans les ports, sur les bases ou dans les établissements, les gendarmes maritimes, de l'air et de l'armement ont recours à l'échelon social de la marine, de l'armée de l'air et de la délégation générale pour l'armement chargé du soutien social de ces ports, bases ou établissements. Les interventions et la prise en charge des actions sociales individuelles (enquête, démarche…) sont assurées par les assistants de service social de l'échelon social concerné. L'attribution des aides financières relève de la direction locale de l'action sociale de la circonscription de gendarmerie d'Ile-de-France.

Pour le même motif de dispersion, les gendarmes des transports aériens relèvent de l'échelon social de gendarmerie du lieu de leur affectation.

L'attribution des aides financières relève aussi de la direction locale de l'action sociale de la circonscription de gendarmerie d'Ile-de-France.

1.2.4. Personnel de la gendarmerie mobile.

Le personnel de la gendarmerie mobile est rattaché au district social sur le territoire duquel son unité d'appartenance est implantée.

Cette disposition ne concerne pas le personnel relevant de la légion de gendarmerie mobile d'Ile-de-France qui constitue un district social.

1.2.5. Mesures propres aux écoles.

Chaque école ou centre d'instruction important constitue un district social, précisé en annexe, auquel peut être rattaché un centre à effectif réduit. L'action sociale pour ces organismes relève du général commandant les écoles de gendarmerie.

Un conseiller technique de service social assure, auprès du général commandant les écoles de gendarmerie, la coordination et le soutien technique des districts.

L'assistant de service social qui intervient au profit d'une école ou d'un centre d'instruction est celui de l'échelon social du groupement de gendarmerie départementale sur le territoire duquel est implanté l'école ou le centre d'instruction.

Toutefois, l'attribution des aides financières relève de la direction locale de l'action sociale de la circonscription de gendarmerie sur le territoire de laquelle est implanté l'école ou le centre d'instruction.

1.3. Instances de concertation.

1.3.1.

Les districts sociaux correspondent à des zones géographiques de rattachement d'un comité social précisées en annexe.

1.3.2.

La présidence des comités sociaux est assurée par les chefs des districts sociaux. Chaque comité social est composé à la fois de représentants du personnel de la gendarmerie départementale et de la gendarmerie mobile. Le commandant de la légion de gendarmerie mobile peut être invité à participer à toute séance du comité social.

1.3.3.

Il existe une commission spéciale au niveau de chaque direction locale de l'action sociale de circonscription de gendarmerie. Elle est présidée par le directeur local de l'action sociale.

2. Fonctionnement.

2.1. Correspondances et liaisons.

2.1.1.

La direction de la fonction militaire et du personnel civil (sous-direction des actions sociales) adresse les instructions et circulaires, les décisions et plus généralement tous les textes d'administration centrale traitant des questions de principe, à la direction de la gendarmerie nationale qui les diffuse aux commandants de circonscription de gendarmerie.

Pour toutes les matières ayant un caractère technique, les relations entre la direction de la fonction militaire et du personnel civil (sous-direction des actions sociales) et les directions locales de l'action sociale sont directes.

Les correspondances en matière sociale entre les niveaux déconcentrés de la gendarmerie et les différentes armées s'échangent directement entre les directions locales de l'action sociale intéressées.

2.1.2.

Pour toutes les affaires courantes, la direction locale de l'action sociale et le district social correspondent directement.

2.1.3.

Tout document confidentiel à caractère social rédigé par l'assistant de service social d'échelon doit être adressé directement ou par l'intermédiaire du district social, lorsqu'un conseiller technique de service social y est affecté, à la direction locale de l'action sociale qui en assure l'exploitation et la transmission. Les autres documents doivent être transmis, par l'intermédiaire du district social, à la direction locale de l'action sociale. Pour les documents à caractère confidentiel, l'acheminement et la conservation doivent être faits selon les modalités relatives à la protection des documents confidentiels à caractère social.

2.2. Moyens.

2.2.1.

Hormis la désignation des conseillers techniques de service social et des assistants de service social dont la gestion interarmées relève de la direction de la fonction militaire et du personnel civil, les commandants de circonscription de gendarmerie pourvoient aux besoins des districts et échelons de l'action sociale en ce qui concerne le soutien en personnel, en matériel, et en infrastructure.

La direction de la fonction militaire et du personnel civil (sous-direction des actions sociales) constitue le service gestionnaire des crédits sociaux inscrits dans la nomenclature budgétaire aux chapitres suivants :

  • Chapitre 33.92. Prestations et versements facultatifs.

  • Chapitre 34.01. Fonctionnement.

  • Chapitre 54.40. Infrastructure.

  • Chapitre 66.50. Équipement social.

L'essentiel des crédits est mis en place auprès des ordonnateurs secondaires en vertu de la procédure de délégation de crédits ou mis à la disposition des directeurs locaux de l'action sociale sous forme de « droits de tirage » affectés à l'IGeSA. Dans ce dernier cas les paiements sont alors effectués soit par l'échelon central de l'IGeSA, soit par les directeurs locaux ou chefs de districts sur des comptes-chèques postaux ouverts par délégation et au nom de l'administrateur de l'IGeSA.

2.3.

Les directions locales de l'action sociale sont soumises au droit commun de la surveillance administrative et de la vérification des comptes appliqué aux organismes du département ministériel.

2.4. Établissements gérés par l'IGeSA.

2.4.1.

Un certain nombre d'établissements gérés par l'IGeSA sont rattachés à la gendarmerie.

La liste de ces établissements, ainsi que les directions locales de l'action sociale de rattachement, sont fixées par arrêté.

2.4.2.

Les établissements familiaux de vacances, les centres de vacances de jeunes, les établissements sociaux permanents (crèches, centres sociaux…) sont gérés par l'IGeSA.

Les directions locales de l'action sociale de rattachement participent au fonctionnement de ces établissements. A ce titre, elles peuvent être sollicitées pour fournir un soutien en personnel et en matériel. Le directeur local de l'action sociale et le chef de district social disposent parallèlement d'un droit de visite sur ces établissements. Ce droit implique de veiller, le cas échéant, au respect par les directeurs des établissements de la réglementation générale s'imposant à ceux-ci.

En outre, les directeurs locaux de l'action sociale et, le cas échéant, les chefs de district social sont appelés à intervenir dans l'organisation et la gestion des centres de vacances de jeunes et des établissements sociaux permanents. A ce titre ils peuvent participer au recrutement du personnel, à l'élaboration du projet pédagogique et reçoivent délégation de signature de l'administrateur de l'IGeSA, conformément à l'article 12 du décret 66-911 du 09 décembre 1966 .

Le directeur du commissariat de l'armée de terre territorialement compétent exerce la surveillance administrative et la vérification des comptes des établissements gérés par l'IGeSA. Il n'intervient que sur demande adressée au directeur central du commissariat de l'armée de terre par le directeur de la fonction militaire et du personnel civil agissant soit de son propre chef, soit à la demande de l'administrateur de l'IGeSA.

3. Application.

La présente instruction abroge l'instruction no 254/DEF/SGA - 16400/DEF/GEND/CAB/SOC du 17 juin 1985 relative à l'organisation de l'action sociale dans la gendarmerie.

Pour le ministre d'État, ministre de la défense et par délégation :

Le secrétaire général pour l'administration,

François ROUSSELY.

Le directeur général de la gendarmerie nationale,

Patrice MAYNIAL.

Annexe

ANNEXE. Articulation, siège, zone de responsabilité ou champ de compétence des directions locales de l'action sociale et des districts sociaux de la gendarmerie.

(Nouvelle rédaction : 2e mod.)

Directions locales de l'action sociale. Zones de responsabilité (1).

Districts sociaux.

Zones de responsabilité des districts sociaux (1).

Champ de compétence des districts sociaux.

Commandement de la circonscription de gendarmerie d'Ile-de-France.

Légion de gendarmerie départementale d'Ile-de-France, Paris.

Ville de Paris, Hauts-de-Seine, Seine-Saint-Denis, Val-de-Marne, Yvelines, Val-d'Oise, Essonne, Seine-et-Marne.

En outre, personnel de l'état-major du commandement de la gendarmerie d'outre-mer.

 

Légion de gendarmerie mobile d'Ile-de-France, Maisons-Alfort (Val-de-Marne).

 

Personnel de la gendarmerie mobile d'Ile-de-France.

 

Garde républicaine, Paris.

 

Personnel de la garde républicaine.

 

Gendarmerie de l'air.

 

Personnel de la gendarmerie de l'air.

 

Gendarmerie maritime.

 

Personnel de la gendarmerie maritime.

 

Gendarmerie de l'armement.

 

Personnel de la gendarmerie de l'armement.

 

Gendarmerie des transports aériens.

 

Personnel de la gendarmerie des transports aériens.

 

Centre technique de la gendarmerie nationale (Rosny-sous-Bois).

 

Personnel du centre et du groupe de commandement des formations aériennes de gendarmerie (GCFAG).

Commandement de la circonscription de gendarmerie de Lille.

Légion de gendarmerie départementale du Nord-Pas-de-Calais, Lille.

Nord, Pas-de-Calais.

 

 

Légion de gendarmerie départementale de Picardie, Amiens.

Somme, Oise, Aisne.

 

Commandement de la circonscription de gendarmerie de Rennes.

Légion de gendarmerie départementale de Bretagne, Rennes.

Ille-et-Vilaine, Côtes-d'Armor, Morbihan, Finistère.

 

 

Légion de gendarmerie départementale de Basse-Normandie, Caen.

Manche, Calvados, Orne.

 

 

Légion de gendarmerie départementale de Haute-Normandie, Rouen.

Seine-Maritime, Eure.

 

 

Légion de gendarmerie départementale des Pays de la Loire, Nantes,

Loire-Atlantique, Maine-et-Loire, Sarthe, Mayenne, Vendée.

 

Commandement de la circonscription de gendarmerie d'Orléans.

Légion de gendarmerie départementale du Centre, Orléans.

Cher, Eure-et-Loir, Indre, Indre-et-Loire, Loire-et-Cher, Loiret.

 

 

Légion de gendarmerie départementale du Limousin, Limoges.

Haute-Vienne, Creuse, Corrèze.

 

 

Légion de gendarmerie départementale de Poitou-Charente, Poitiers.

Deux-Sèvres, Vienne, Charente, Charente-Maritime.

 

 

Centre administratif de la gendarmerie nationale, Le Blanc (Indre).

 

Personnel de la direction générale de la gendarmerie nationale, personnel du centre, personnel de l'inspection générale, personnel de la gendarmerie de la sécurité des armements nucléaires, personnel en service dans les territoires et département d'outre-mer et à l'étranger non rattachés à un district social interarmées.

Commandement de la circonscription de gendarmerie de Bordeaux.

Légion de gendarmerie départementale d'Aquitaine, Bordeaux.

Gironde, Lot-et-Garonne, Dordogne, Landes, Pyrénées-Atlantiques.

 

 

Légion de gendarmerie départementale de Midi-Pyrénées, Toulouse.

Haute-Garonne, Tarn, Aveyron, Lot, Tarn-et-Garonne, Gers, Hautes-Pyrénées, Ariège.

 

Commandement de la circonscription de gendarmerie de Marseille.

Légion de gendarmerie départementale de Provence-Alpes-Côtes d'Azur, Marseille.

Bouches-du-Rhône, Vaucluse, Var, Alpes-de-Hautes-Provence, Hautes-Alpes, Alpes-Maritimes.

 

 

Légion de gendarmerie départementale du Languedoc-Roussillon, Montpellier.

Hérault, Gard, Lozère, Aude, Pyrénées-Orientales.

 

 

Légion de gendarmerie départementale de Corse, Ajaccio.

Corse-du-Sud, Haute-Corse.

 

Commandement de la circonscription de gendarmerie de Lyon.

Légion de gendarmerie départementale de Rhône-Alpes, Lyon.

Rhône, Loire, Ain, Ardèche, Savoie, Haute-Savoie, Isère, Drôme.

 

 

Légion de gendarmerie départementale d'Auvergne, Clermond-Ferrand.

Allier, Puy-de-Dôme, Haute-Loire, Cantal.

 

Commandement de la circonscription de gendarmerie de Metz.

Légion de gendarmerie départementale de Lorraine, Metz.

Moselle, Meurthe-et-Moselle, Vosges, Meuse.

 

 

Légion de gendarmerie départementale de Champagne-Ardenne, Châlons-en-Champagne.

Ardennes, Marne, Haute-Marne, Aube.

 

 

Légion de gendarmerie départementale d'Alsace, Strasbourg.

Bas-Rhin, Haut-Rhin.

 

Commandement de la circonscription de gendarmerie de Dijon.

Légion de gendarmerie départementale de Bourgogne, Dijon.

Côte-d'Or, Yonne, Nièvre, Saône-et-Loire.

 

 

Légion de gendarmerie départementale de Franche-Comté, Besançon.

Doubs, Haute-Saône, Jura, Territoire de Belfort.

 

Commandement des écoles de la gendarmerie.

École des officiers de la gendarmerie nationale, Melun.

 

En outre, le personnel de l'école de gendarmerie de Fontainebleau, de l'état-major du commandement des écoles, du centre d'enseignement supérieur de la gendarmerie, du centre de documentation et de pédagogie de Maisons-Alfort, du centre national d'instruction de ski et d'alpinisme de la gendarmerie de Chamonix et du centre d'instruction nautique de la gendarmerie d'Antibes.

 

École de gendarmerie de Chaumont (Haute-Marne).

École de sous-officiers de gendarmerie de Châtellerault (Vienne).

École de sous-officiers de gendarmerie de Montluçon (Allier).

Centre d'instruction de gendarmes auxiliaires d'Auxerre (Yonne).

 

 

 

École de sous-officiers de gendarmerie et centre d'instruction de gendarmes auxiliaires de Saint-Astier-Bergerac (Dordogne).

 

En outre, personnel de l'école de sous-officiers, centre national d'instruction des chiens de la gendarmerie de Gramat (Lot).

 

École de gendarmerie de Tulle (Corrèze).

 

 

 

Écoles de sous-officiers de gendarmerie du Mans (Sarthe).

 

Personnel du centre administratif territorial de la gendarmerie du Mans.

 

Centre d'instruction de gendarmes auxiliaires de Montargis (Loiret).

 

 

(1) Zone de responsabilité : zone dans laquelle le directeur local de l'action sociale (ou le chef de district social) est chargé du soutien social des ressortissants de la gendarmerie ainsi que, dans le cadre d'accords interarmées, du soutien social des ressortissants retraités ou isolés. L'ensemble des zones de responsabilité couvre la totalité du territoire métropolitain.