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Archivé direction centrale du service de santé des armées : bureau « chancellerie »

CIRCULAIRE N° 704/DEF/DCSSA/CH relative à la notation en 2005 et au travail d'avancement en 2006 des militaires infirmiers et techniciens des hôpitaux des armées et des sous-officiers féminins du service de santé des armées.

Abrogé le 06 février 2006 par : CIRCULAIRE N° 203/DEF/DCSSA/CH relative à la notation en 2006 et au travail d'avancement en 2007 des militaires du service de santé des armées. Du 03 mars 2005
NOR D E F E 0 5 5 0 4 2 1 C

La présente circulaire précise les modalités d'exécution de la notation au titre de l'année 2005 et du travail d'avancement pour l'année 2006, en ce qui concerne :

  • les militaires infirmiers et techniciens des hôpitaux des armées (MITHA) soumis aux lois et règlements applicables aux officiers ;

  • les militaires infirmiers et techniciens des hôpitaux des armées soumis aux lois et règlements applicables aux sous-officiers ;

  • les sous-officiers féminins du service de santé des armées (SOFSSA).

1. Dispositions concernant la notation.

1.1. Dispositions générales.

  1. PRINCIPES.

L'attention des autorités destinataires est attirée sur le fait que les conditions réglementaires d'établissement, de communication et de contrôle de la notation des MITHA et des SOFSSA sont fixées par l' instruction 350 /DEF/DCSSA/RH/CH du 06 mars 2002 , modifiée.

Ces dispositions sont d'application stricte et ne sauraient souffrir aucune dérogation.

  2. LES DOCUMENTS À UTILISER.

La feuille de notes des MITHA et des SOFSSA est destinée à recueillir la notation des autorités hiérarchiques, en dehors des travaux d'avancement.

Deux modèles de feuille de notes existent :

  • un pour les MITHA « soumis aux lois et règlements applicables aux officiers » (imprimé n621-4*/01) ;

  • un commun aux MITHA « soumis aux lois et règlements applicables aux sous-officiers » et aux SOFSSA (imprimé n621-4*/03).

Ces deux modèles différent l'un de l'autre par :

  • le libellé de l'intitulé ;

  • la liste des critères d'appréciation ainsi que les possibilités d'emploi.

La feuille de notes est établie en deux exemplaires.

La partie administrative de ce document est pré-renseignée par une procédure automatisée, il est mis en place par l'administration centrale. Toutes les erreurs ou omissions constatées sur la feuille de notes devront être obligatoirement signalées à la DCSSA, sous-direction « ressources humaines », par l'intermédiaire d'un avis de changement de position auquel sera (seront) jointe(s) la ou les pièce(s) justificative(s).

Il faut cependant souligner, en ce qui concerne certaines rubriques (titres, diplômes et décorations), que seuls sont pris en considération les titres les plus récents ou les plus importants (la saisie est effectuée à partir des justificatifs reçus par la sous-direction « ressources humaines »).

Le feuillet intercalaire de notes (imprimé n621-4*/02 ou 04) lorsque son utilisation est prévue par la réglementation.

Le relevé annexe des observations (imprimé n621-4*/05 ou 06), renseigné dès lors que le noté formule des remarques quant à la notation qui lui a été attribuée en premier ressort.

Le bordereau récapitulatif des feuilles de notes (annexes I et II) destiné exclusivement à l'autorité chargée de centraliser les travaux de notation, fait apparaître, pour chaque corps de MITHA et pour les SOFSSA notés, le relevé des notes chiffrées attribuées au cours des quatre dernières années.

Ce document renseigné pour la note chiffrée définitive attribuée au titre de l'année 2005 et visé par l'autorité précitée, est adressé à la direction centrale du service de santé des armées, bureau « chancellerie » avec l'ensemble des feuilles de notes.

En cas d'erreur matérielle constatée, il appartient à chaque autorité d'en rendre compte immédiatement à la direction centrale du service de santé des armées et d'apporter, à l'encre rouge, les rectifications appropriées.

1.2. Dispositions pratiques.

  1. GÉNÉRALITÉS.

Le personnel MITHA ou SOFSSA est noté à deux niveaux par les autorités hiérarchiques dont il relève. Dans certains cas, un notateur intermédiaire est également appelé à se prononcer.

Il appartient aux autorités hiérarchiques notant en dernier ressort de vérifier que la notation du ou des notateur(s) précédent(s) soit conforme aux règles imposées avant de l'arrêter définitivement et de la transmettre au fusionneur ou à la direction centrale du service de santé des armées, bureau « chancellerie ».

Dans le souci d'éviter des rejets ou des contentieux en matière de notation, un soin tout particulier doit être apporté au respect des normes, fixées par l'instruction de cinquième référence, notamment pour ce qui concerne :

  • la date de l'arrêt définitif de la notation attribuée par le dernier notateur : celle-ci ne saurait être antérieure au 1er juin 2005 ;

  • la communication de la notation (les relevés et apports, éventuellement établis devront être obligatoirement joints à la feuille de notes et être portés, en même temps que cette dernière, à la connaissance du personnel noté) ;

  • l'exercice du droit de recours.

  2. CALENDRIER DE PRODUCTION DES TRAVAUX.

Afin de permettre le bon déroulement des travaux de notation et de fusionnement, il importe que chaque échelon respecte les délais qui lui sont impartis pour l'exécution des tâches. À cet effet, il appartient à chaque autorité notant en dernier ressort et/ou assurant les opérations de fusionnement, d'arrêter l'échéancier des dates de transmission des documents et de le faire connaître aux échelons subordonnés.

  3. FILIÈRE DE NOTATION.

La filière de notation détermine, pour chacune des formations dans laquelle sert le personnel concerné :

  • l'autorité notant en premier ressort, qui est le chef de service de l'intéressé ;

  • l'autorité notant en second ressort (chef de corps ou commandant de la formation administrative).

Les différentes autorités intervenant dans la procédure de notation des MITHA et des SOFSSA sont ainsi expressément désignées en annexe III.

Il est rappelé que toute demande éventuelle de modification de la filière de notation doit être impérativement adressée à la direction centrale du service de santé des armées, bureau « chancellerie » (avant le 1er mars de chaque année).

  4. ACHEMINEMENT DES FEUILLES DE NOTES.

Chaque année, la direction centrale du service de santé des armées adresse aux autorités chargées d'effectuer le fusionnement des travaux d'avancement, les documents énumérés ci-après :

  4.1. En matière de notation.

La feuille de notes (imprimé n621-4*/01 ou 03), en double exemplaire.

Le relevé annexe des observations (imprimé n621-4*/05 ou 06).

Le bordereau récapitulatif des feuilles de notes, en double exemplaire (annexes I et II).

  4.2. En matière d'avancement.

L'état de classement préférentiel (annexes IV, V et VI).

La déclaration de volontariat constituée par l'acte de candidature ou de non-candidature qui est incluse dans la feuille de notes du personnel proposable.

Le relevé global des récompenses, des punitions et des missions extérieures effectuées (ANNEXE IX).

Il appartient à ces autorités d'adresser les documents nécessaires à chaque notateur en premier ressort.

  5. RÉDACTION DE LA FEUILLE DE NOTES.

Compte tenu du rôle prépondérant de la notation dans le déroulement de carrière du personnel, il est indispensable que les autorités chargées d'apporter des appréciations sur les intéressés, opèrent avec objectivité, soin et rigueur dans les différentes phases de la procédure.

  5.1. Principes généraux.

  • a).  Au niveau du premier notateur.

    Dans le déroulement de la procédure de la notation, le rôle du notateur en premier ressort revêt un caractère fondamental car, c'est en s'appuyant sur ces appréciations que l'autorité notant en deuxième et dernier ressort, jugera du potentiel du personnel MITHA ou SOFSSA noté, au regard de l'ensemble des personnels de même corps et de même grade, qu'il a respectivement à noter.

    Afin de permettre à la notation de remplir son rôle en matière de sélection, il importe que :

    • les points forts et les points faibles du personnel noté soient obligatoirement précisés sans excès ni faiblesse. Pour ce faire, si le premier notateur n'est pas placé au plus près du militaire noté, il doit consulter l'autorité civile ou militaire d'emploi afin de recueillir tous les éléments d'information utiles et relatifs à la manière de servir ;

    • la procédure de la communication des notes ainsi que celle relative à l'entretien d'évaluation soient strictement respectées ;

    • l'exercice du droit de recours soit effectué conformément aux dispositions réglementaires.

    Remarque importante.

    La feuille de notes établie par le premier notateur ne peut être transmise au dernier notateur, si elle n'est pas revêtue de la signature du personnel noté (encart II de la feuille de notes).

    Il est rappelé que la signature du noté est indispensable pour attester de la communication de la notation en premier ressort mais ne vaut en aucun cas approbation de son contenu, en conséquence le noté ne peut donc pas refuser d'apposer sa signature à l'emplacement réservé à cet effet.

    Au niveau du premier ressort, le personnel noté dispose d'un délai de huit jours francs pour formuler ses observations sur le relevé annexe (imprimé n621-4*/05 ou 621-4*/06) obligatoirement joint à la feuille de notes de l'intéressé.

    Les modalités de l'exercice du droit à bénéficier d'un délai de réflexion, ainsi que celles du recueil des observations éventuellement formulées après la communication en premier ressort font l'objet d'une note d'information prise sous le timbre de la direction centrale du service de santé des armées, bureau « chancellerie ».

  • b).  Au niveau du dernier notateur.

    C'est à ce stade que la notation acquiert son caractère définitif.

    Afin d'éviter toute difficulté contentieuse, l'autorité notant en dernier ressort doit impérativement :

    • vérifier que le noté a effectivement signé sa feuille de notes après la notation en premier ressort (encart II de la feuille de notes) ;

    • viser le relevé annexe des observations éventuellement renseigné par le noté ;

    • arrêter la notation à une date postérieure au 31 mai 2005.

    À ce niveau, il appartient à cette autorité de veiller à la régularité des notations antérieures (premier notateur et le cas échéant, des notateurs intermédiaires).

    Toutes difficultés rencontrées, en la matière, pourront faire l'objet d'un rapport particulier établi par le dernier notateur. En vue de sa présentation à la commission centrale de notation, ce rapport doit être obligatoirement joint aux travaux de notation adressés à la direction centrale du service de santé des armées.

  5.2. Appréciations.

Le premier notateur renseigne les critères d'appréciation en s'aidant de la grille d'évaluation contenue dans le guide annexé à l'instruction sur la notation (cf. instruction 350 /DEF/DCSSA/RH/CH du 06 mars 2002 , modifiée). Il porte son appréciation d'ensemble dans la partie réservée à cet effet. Il a la faculté, comme pour la note chiffrée, de recueillir l'avis de ses adjoints ou de cadres placés au plus près du noté.

Il doit également se prononcer sur les possibilités d'emploi du personnel noté.

Le deuxième notateur porte ses appréciations d'ensemble dans la partie réservée à cet effet. Cette autorité dispose en outre, grâce à « l'appréciation intermédiaire », de précisions supplémentaires non négligeables quant aux aptitudes professionnelles « techniques » ou « administratives » du personnel noté dès lors que ce dernier sert au sein d'un hôpital d'instruction des armées.

Il appartient également au deuxième notateur de déterminer le niveau atteint en matière de résultats obtenus dans l'emploi.

Dans la mesure du possible, les appréciations des premier et second notateurs seront dactylographiées.

  5.3. La note chiffrée.

Cette note chiffrée est proposée par le premier notateur, elle est plafonnée en fonction du grade et de l'échelon détenu dans ce grade au 1er janvier 2006, après prise en compte de l'avancement d'échelon jusqu'au 31 décembre 2005. Sur ce point, on ne peut que souligner l'importance de la vérification de l'exactitude des renseignements pré-imprimés par le centre de traitement de l'information médicale des armées (CeTIMA).

La note chiffrée maximale attribuable est indiquée sur la feuille de notes.

Il est conseillé aux premiers notateurs de ne pas systématiquement proposer la note maximale au personnel noté. Il y a lieu de respecter une gradation entre les personnels d'un même corps, d'un même grade et d'un même échelon. Il faut également préserver la possibilité de faire progresser cette note chiffrée les années ultérieures, si le personnel noté le mérite.

Cette recommandation s'impose également à l'autorité arrêtant la note chiffrée définitive.

Il est rappelé :

  • qu'il n'existe pas de note plancher tant au niveau du premier notateur qu'à celui du dernier ;

  • que la note chiffrée proposée par le premier notateur ne lie pas l'autorité chargée d'arrêter la note définitive.

À l'échelon du dernier notateur, le caractère relatif de la notation doit prendre toute sa signification. Sa connaissance des effectifs placés sous son autorité doit lui permettre d'établir une comparaison valable entre le personnel d'un même corps, de même grade et de même ancienneté.

Pour arrêter la note chiffrée définitive, le dernier notateur (dans le cas où il correspond à l'autorité chargée de centraliser les travaux de notation) peut utilement se reporter au(x) bordereau(x) récapitulatif(s) des feuilles de notes, qui fait (font) apparaître, pour chaque personnel noté, le relevé des notes chiffrées attribuées au cours des quatre dernières années.

Remarque importante.

La note chiffrée définitive peut être inférieure à celle proposée par le premier notateur sans que le dernier notateur ait à apporter des justifications.

Seule la baisse de la note chiffrée proposée et/ou définitive, par rapport à celle attribuée au titre de la notation de l'année précédente, doit être justifiée au niveau de l'appréciation générale, par le premier et/ou le dernier notateur.

Toutefois, il est précisé que la baisse de la note chiffrée (proposée ou définitive), générée par un reclassement d'échelon ou un changement de grade, n'appelle aucune justification de la part des notateurs en premier ou en dernier ressort.

En matière de rédaction de la notation, les notateurs en premier et deuxième ressort pourront utilement se reporter au guide de notation annexé à l' instruction 350 /DEF/DCSSA/RH/CH du 06 mars 2002 , modifiée.

  6. COMMUNICATION DES NOTES AUX INTÉRESSÉS.

  6.1. La communication de la notation en premier ressort.

C'est au premier notateur, au cours d'un entretien, d'assurer la communication des notes après avoir rempli les chapitres de la feuille de notes relevant de son ressort.

La première communication comprend obligatoirement une évaluation conformément aux dispositions de l'article 8 de l' instruction 350 /DEF/DCSSA/RH/CH du 06 mars 2002 , modifiée.

L'évaluation s'impose à tous les premiers notateurs.

La réglementation n'a pas fixé de cadre rigide pour l'organisation matérielle de cet entretien dont l'obligation procède des dispositions contenues dans le décret cité en seconde référence.

En conséquence, il apparaît comme un devoir de la hiérarchie de donner à chaque personnel, le moyen de se situer et de progresser. Cette évaluation n'est pas exclusive, d'autres échanges entre le noté et le notateur peuvent avoir lieu au cours de l'année.

Cette formalité doit impérativement être effectuée avant l'arrêt de la notation définitive par le dernier notateur.

Il est rappelé qu'au terme de la première communication, le personnel noté dispose d'un délai de huit jours francs pour faire connaître, le cas échéant, ses observations sur l'imprimé modèle n621-4*/05 ou 06.

  6.2. La communication de la notation définitive.

La deuxième communication des notes au personnel est effectuée obligatoirement par l'autorité ayant noté en deuxième et dernier ressort lorsque le personnel MITHA est soumis aux lois et aux règlements applicables aux officiers.

Pour ce qui concerne les MITHA « soumis aux lois et règlements applicables aux sous-officiers » et les SOFSSA, cette deuxième communication relève également de la compétence de l'autorité notant en deuxième et dernier ressort.

Toutefois, dans les hôpitaux des armées, l'autorité notant en deuxième et dernier ressort peut déléguer cette attribution :

  • soit à l'officier du corps technique et administratif, chef de service pour ce qui concerne le personnel MITHA « soumis aux lois et règlements applicables aux sous-officiers » et les SOFSSA, affectés dans les services administratifs de soutien ;

  • soit au directeur des soins ou au cadre de santé exerçant les fonctions de surveillant principal pour ce qui concerne les MITHA « soumis aux lois et règlements applicables aux sous-officiers » et les SOFSSA affectés dans les services cliniques ou techniques communs.

Cette délégation en matière de communication doit être prise sous la forme d'une décision établie en double exemplaire par l'autorité notant en deuxième et dernier ressort. Un exemplaire de cette décision doit être adressé à la direction centrale du service de santé des armées, bureau « chancellerie », avec l'ensemble des documents relatifs à la notation.

Le militaire noté prend ainsi connaissance au cours d'un nouvel entretien d'évaluation des appréciations portées par l'autorité notant en deuxième et dernier ressort et le cas échéant, connaissance de l'appréciation intermédiaire qui lui a été attribuée par le gestionnaire ou par le personnel MITHA chargé de l'encadrement technique des paramédicaux (hôpitaux d'instruction des armées).

Le dernier notateur doit faire dater et signer par chaque personnel noté sa feuille de notes à l'emplacement prévu à cet effet.

Lors de la communication des notes, les remarques et observations présentées par le noté, soit verbalement, soit par écrit sur la feuille de notes, ne sont en aucun cas considérées comme une voie de recours.

  7. RETOUR DES FEUILLES DE NOTES À L'ADMINISTRATION CENTRALE.

La feuille de notes de chaque personnel, établie en double exemplaire ainsi que le relevé annexe des observations, parviennent chaque année, par la voie hiérarchique, au dernier notateur ou au fusionneur dans le courant du premier trimestre de l'année.

Les deux exemplaires de la feuille de notes ainsi que le relevé annexe sont pré-renseignés par l'administration centrale. La partie administrative prend en compte la période allant du 1er janvier au 31 décembre de l'année au cours de laquelle est effectuée la notation.

Après avoir été renseignées et arrêtées par le dernier notateur et après la dernière communication à l'intéressé, les feuilles de notes doivent impérativement recevoir la destination suivante :

  • l'exemplaire original est adressé à la direction centrale, bureau « chancellerie » ;

  • le second exemplaire de la feuille de notes est classé, après enregistrement, dans le dossier du personnel de l'intéressé.

Les feuilles de notes destinées à l'administration centrale doivent obligatoirement être accompagnées de la totalité des relevés annexes des observations (qu'ils aient été ou non renseignés par les intéressés) ainsi que du ou des bordereau(x) récapitulatif(s) des feuilles de notes, renseigné(s), daté(s) et signé(s) par l'autorité chargée de centraliser les travaux de notation.

L'ensemble de ces documents originaux (feuilles de notes, feuillets intercalaires éventuels, relevés annexes des observations et bordereaux récapitulatifs) doit impérativement être expédié, sous la responsabilité du dernier notateur ou du fusionneur, avec l'ensemble des travaux d'avancement, à la direction centrale du service de santé des armées, bureau « chancellerie », en recommandé et sous pli confidentiel, au plus tard pour le 1er juillet 2005, terme de rigueur.

Enfin, il est précisé que le circuit interne des feuilles de notation ainsi que les échéanciers de production des travaux de notation par les premiers notateurs ainsi que les notateurs intermédiaires sont de la compétence exclusive du dernier notateur.

2. Dispositions concernant l'avancement.

2.1. Dispositions générales.

  1. PRINCIPES.

Les dispositions réglementaires concernant l'avancement sont fixées par les décrets portant statuts particuliers des différents corps du personnel concerné.

Le personnel MITHA ne peut bénéficier d'un avancement de grade que s'il réunit les conditions statutaires (cf. ANNEXE VII) et qu'il fait acte de volontariat. Par contre, le personnel SOFSSA est proposé systématiquement pour le grade supérieur, dès lors qu'il remplit les conditions statutaires (cf. ANNEXE VIII) sans avoir à faire acte de candidature.

L'établissement des travaux d'avancement, pour ce qui concerne la première phase, est à la charge du fusionneur pour l'ensemble du personnel proposable placé sous son autorité à la date du 1er décembre 2004.

Les renseignements portés sur les documents tiennent compte de l'ancienneté dans le grade qui sera acquise au 1er janvier 2006 après épuisement de la progression d'échelon arrêtée au 31 décembre 2005.

Chaque fusionneur doit s'assurer, à son niveau, que toutes les formalités, relatives au recueil des éléments d'information relatifs à l'avancement, soient respectées pour le personnel proposable relevant de son autorité.

  2. PROCÉDURE.

  2.1. Le recueil des volontariats.

Dès lors que le personnel MITHA réunit les conditions statutaires pour concourir à un avancement au grade supérieur, une mention est inscrite sur la page de garde de la feuille de notes. Dans le cas contraire, la mention « non proposable » est portée de façon automatisée dans les mêmes conditions et au même emplacement sur les exemplaires de la feuille de notes.

Certains MITHA sont proposables, au plan statutaire pour deux grades distincts [ex. : secrétaire médical de classe normale (SMCN) proposable pour secrétaire médical de classe exceptionnelle (SMCE) et également pour secrétaire médical de classe supérieure (SMCS). Dans ce cas, l'intéressé doit mentionner le ou les grade(s) correspondant(s) sur sa déclaration de volontariat.

Le premier notateur fera préciser à chaque personnel MITHA concerné s'il est ou non volontaire pour un avancement de grade en lui faisant remplir la rubrique relative à l'avancement, comprise dans la feuille de notes.

Il appartient au fusionneur de présenter au titre des travaux d'avancement, tous les personnels MITHA, volontaires et remplissant les conditions fixées par la présente circulaire et comptant à l'effectif de sa formation à la date du 1er décembre 2004.

  2.2. Le fusionnement.

Les opérations, en matière d'avancement, relèvent de la seule compétence de chaque fusionneur.

Les différentes autorités intervenant en matière de fusionnement des travaux d'avancement sont expressément désignées en annexe III.

Il est rappelé que les opérations de fusionnement sont effectuées pour chaque corps et pour chaque grade.

Remarques particulières sur le fusionnement.

  • a).  Corps des secrétaires médicaux.

    Les secrétaires médicaux de classe normale et de classe supérieure seront fusionnés ensemble pour l'accès à la classe exceptionnelle.

  • b).  Accès au grade de sage-femme cadre.

    Le fusionnement pour l'accès à ce grade s'effectuera sans tenir compte de la classe actuellement détenue : les sages-femmes de classe normale et les sages-femmes de classe supérieure seront fusionnées ensemble.

  3. DOCUMENTS À UTILISER.

  3.1. La feuille de notes, rubrique relative à l'avancement (acte de candidature ou de non-candidature).

L'acte de candidature ou de non-candidature est inclus dans la feuille de notes de chaque personnel MITHA, ceci afin de faciliter les opérations de transmission sans risque de perte au sein de la formation.

Cette présentation permet au premier notateur au moment de la communication de la notation en premier ressort, de faire apporter, de façon manuscrite, par chaque personnel noté et proposable pour un avancement au grade supérieur, toutes les précisions utiles quant à son volontariat.

Cette rubrique doit être obligatoirement renseignée par le MITHA proposable pour le ou les grade(s) supérieur(s) sur chaque exemplaire de la feuille de notes (qu'il soit volontaire ou non volontaire).

Remarque.

La déclaration de volontariat n'est pas à renseigner par les SOFSSA qui font l'objet d'une proposition systématique au grade supérieur, dès lors qu'elles réunissent les conditions statutaires.

  3.2. L'état de classement préférentiel du personnel proposé (annexes IV, V et VI).

Ce document fait apparaître par corps et par grade, l'ensemble des personnels pouvant prétendre à un avancement de grade déterminé sous réserve qu'il y ait un acte de volontariat porté sur le mémoire de candidature.

Il appartient en conséquence à chaque autorité désignée pour assurer le fusionnement des travaux d'avancement de :

  • a).  Vérifier l'existence de l'acte de candidature, sur la déclaration de volontariat.

  • b).  Rayer le personnel qui s'est déclaré non volontaire.

  • c).  Porter une croix (X) en face de chaque personnel qui s'est déclaré volontaire pour être proposable pour un grade supérieur.

  • d).  Classer par ordre de préférence les candidats volontaires pour un avancement de grade.

    Ce classement sera matérialisé par l'inscription :

    • du numéro de préférence sous la forme d'une fraction ayant pour numérateur, le numéro de préférence et pour le dénominateur, le nombre de personnels concourant pour le même grade concerné ;

    • d'une mention d'appui (TSA, TA, P ou A).

    La signification de chacune de ces mentions est la suivante :

    TSA : « tout spécialement appuyé ».

    L'inscription s'impose absolument, le report à l'année suivante constituerait une anomalie.

    TA : « très appuyé ».

    L'inscription est très souhaitable, le report à l'année suivante serait regrettable.

    P : « proposé ».

    L'inscription peut être raisonnablement envisagée.

    Toutefois le report à l'année suivante est tout à fait admissible.

    A : « peut attendre ».

    L'inscription n'est pas souhaitable ; le report à l'année suivante est préférable.

Remarque importante.

Ce document est établi également pour les SOFSSA proposables pour chaque grade.

  3.3. Le relevé global des récompenses, des punitions et des missions extérieures effectuées (annexe IX).

Ce relevé n'appelle aucun commentaire particulier. Il est complété pour les seuls personnels concernés par l'avancement. Il est rappelé que la rubrique relative aux punitions ne doit faire apparaître que celles qui ne sont pas amnistiées ou qui n'ont pas fait l'objet d'un effacement quadriennal.

  4. COMPOSITION DU TRAVAIL D'AVANCEMENT.

Le travail d'avancement qui devra être adressé à la direction centrale du service de santé des armées se divise en deux parties :

  4.1.  La première partie concerne tous les MITHA réunissant les conditions de service et de temps dans le grade requis et volontaires pour un avancement et les SOFSSA réunissant les conditions statutaires, pour faire l'objet d'une proposition d'avancement au choix au titre de l'année 2006.

Cette première partie est constituée :

Pour l'ensemble des MITHA et des SOFSSA proposables : de l'état de classement préférentiel établi par corps et par grade (renseigné, daté et signé par l'autorité chargée du fusionnement).

Pour chaque personnel utilement proposable :

  • de l'exemplaire original de la feuille de notes (imprimé n621-4*/01 ou 03) de l'année 2005 sur lequel figure la déclaration de volontariat renseignée par le MITHA concerné ;

  • du relevé des observations (imprimé n621-4*/05 ou 06) ;

  • du relevé global des récompenses, des punitions et des missions extérieures effectuées ;

  • le cas échéant, des feuillets intercalaires de notes (imprimé n621-4*/02 ou 04).

Il est rappelé que les SOFSSA n'ont pas à faire acte de candidature.

  4.2. La seconde partie comprend :

Pour chaque personnel non proposable ou non volontaire : l'exemplaire original de la feuille de notes de l'année 2005 des MITHA qui ne satisfont pas aux conditions précédentes ou qui, bien que réunissant les conditions statutaires pour être proposables à un grade supérieur, se sont déclarés non volontaires (y compris les SOFSSA non proposables). L'expression du non-volontariat du personnel MITHA se fait par l'intermédiaire de la rubrique prévue à cet effet. Le relevé des observations (imprimé n621-4*/05 ou 06) sera obligatoirement joint à la feuille de notes de l'intéressé.

Les exemplaires des feuilles de notes des personnels non proposables ainsi que ceux exprimant la non-candidature pour un avancement au grade supérieur, sont regroupés et adressés sous bordereau d'envoi collectif à la direction centrale du service de santé des armées avec l'ensemble des travaux d'avancement et de notation.

Il appartient à chaque fusionneur de vérifier l'existence et la conformité de ces documents avant leur expédition à la direction centrale du service de santé des armées.

2.2. Dispositions particulières.

Dans le cas où un personnel qui remplit les conditions pour bénéficier d'un avancement de grade ne figurerait pas sur l'état de classement préférentiel, il appartient au fusionneur d'en rendre immédiatement compte à la DCSSA et de l'ajouter, après accord, sur le document précité. Ce personnel renseignera alors l'acte de candidature (ou de non-candidature) inclus dans sa feuille de notes.

Le personnel de carrière en congé de longue durée pour maladie, en congé de longue maladie ou en congé pour raisons de santé dont l'indisponibilité est imputable au service, sera compris dans le travail d'avancement, en application des dispositions de l'article 60 de la loi 72-662 du 13 juillet 1972 (BOC/SC, p. 784, BOC/G, p. 1001, BOC/A, p. 595, BOC/M, p. 950) modifiée, portant statut général des militaires.

La notation et le travail d'avancement devront parvenir, sous pli confidentiel, à la direction centrale du service de santé des armées, bureau « chancellerie », pour le 1er juillet 2005, terme de rigueur.

2.3. Date d'entrée en vigueur.

La présente circulaire entrera en application dès réception.

La circulaire n258/DEF/DCSSA/RH/CH du 2 mars 2004, relative à la notation en 2004 et au travail d'avancement en 2005 des militaires infirmiers et techniciens des hôpitaux des armées et des sous-officiers féminins du service de santé des armées, est abrogée.

Pour la ministre de la défense et par délégation :

Le médecin général des armées, directeur central du service de santé des armées,

Michel MEYRAN.

Annexes

ANNEXE I.

ANNEXE II.

ANNEXE III. Filière de notation et de fusionnement des travaux d'avancement MITHA.

1 Formations hospitalières, centres d'expertises médicales du personnel navigant, organismes rattachés à la direction centrale du service de santé des armées.

Formations.

Premier notateur (feuille de notes).

Second notateur (feuille de notes).

Autorité chargée de centraliser les feuilles de notes et d'effectuer le fusionnement des travaux d'avancement.

Hôpitaux.

   

HIA Val-de-Grâce, CIIADE, Paris 05.

Chef de service.

Médecin-chef.

Second notateur.

HIA Bégin, Saint-Mandé.

Chef de service.

Médecin-chef.

Second notateur.

HIA Percy, Clamart.

Chef de service.

Médecin-chef.

Second notateur.

HIA Robert-Picqué + CFASM y compris CEMPN (département d'expertises de l'HIA), Bordeaux.

Chef de service.

Médecin-chef.

Second notateur.

HIA Desgenettes, Lyon.

Chef de service.

Médecin-chef.

Second notateur.

HIA Legouest y compris CEMPN (département d'expertises de l'HIA), Metz.

Chef de service.

Médecin-chef.

Second notateur.

HIA Laveran y compris CEMPN (département d'expertises de l'HIA), Marseille.

Chef de service.

Médecin-chef.

Second notateur.

HIA Sainte-Anne + maison convalescence de l'oratoire + cellule de coordination du projet « Sainte-Anne 2000 », Toulon.

Chef de service.

Médecin-chef de l'HIA Toulon.

Second notateur.

HIA Clermont-Tonnerre, Brest.

Chef de service.

Médecin-chef.

Second notateur.

DCSSA.

   

DCSSA, Paris (sauf cas ci-après).

Chef de bureau.

Chef de corps.

Second notateur.

Bureau politique hospitalière.

Chef de bureau.

Sous-directeur « hôpitaux ».

Chef de corps.

Bureau recrutement.

Chef de bureau.

Sous-directeur « ressources humaines ».

Chef de corps.

CEPE.

   

Directrice du CEPE.

Directeur de l'EASSA.

Directeur adjoint du service de santé des armées.

Second notateur.

Adjoints à la directrice du CEPE.

Directeur de l'EASSA + feuillet intercalaire de la directrice du CEPE.

Directeur adjoint du service de santé des armées.

Second notateur.

IGSSA, Paris 05.

Chef de service.

Chef de corps.

Second notateur.

CETIMA, Saint-Mandé.

Chef de service.

Chef de corps.

Second notateur.

CRSSA, La Tronche.

Chef de service.

Chef de corps.

Second notateur.

ESSA, Lyon-Bron.

Chef de service.

Chef de corps.

Second notateur.

EASSA, Paris.

Chef de service.

Chef de corps.

Second notateur.

CPEMPN, Clamart.

Chef de service.

Directeur du CPEMPN.

Second notateur.

IMTSSA, Marseille.

Chef de service.

Chef de corps.

Second notateur.

IMNSSA, Toulon.

Chef de service.

Chef de corps.

Second notateur.

IMASSA, Brétigny-sur-Orge.

Chef de service.

Chef de corps.

Second notateur.

CTSA, Clamart.

Chef de service.

Directeur du CTSA.

Second notateur.

SPRA, Clamart.

Chef de service.

Chef de corps.

Second notateur.

EPPA, Toulon.

Chef de service.

Chef de corps.

Second notateur.

Personnels mis pour emploi à l'EPPA, Toulon.

Commandant l'EPPA.

Médecin-chef de l'HIA Toulon.

Second notateur.

 

2 Personnel servant au sein d'autres formations.

Formations.

Premier notateur (feuille de notes).

Second notateur (feuille de notes).

Autorité chargée de centraliser les feuilles de notes et d'effectuer le fusionnement des travaux d'avancement.

4e ACA/121e RTRN, Montlhéry.

Chef de service + feuillet intercalaire du médecin-chef de l'ACA.

Médecin-chef de l'HIA Saint-Mandé ou de l'HIA Paris.

Second notateur.

9e ACA/121e RTRN, Montlhéry.

Chef de service + feuillet intercalaire du médecin-chef de l'ACA.

Médecin-chef de l'HIA Toulon.

Second notateur.

Prés. République, Paris 08.

Chef de service.

Chef de corps.

DSS/RT IDF.

CMP CTGN, Rosny-sous-Bois.

Chef de service.

Chef de corps.

DSS/RT IDF.

DGGN, Paris 16.

Chef de service.

Chef de corps.

DSS/RT IDF.

École polytechnique, Palaiseau.

Chef de service.

Chef de corps.

DSS/RT IDF.

CMP DGGN, Paris 16.

Chef de service.

Chef de corps.

DSS/RT IDF.

CMP LGD IDF, Paris 03.

Chef de service.

Chef de corps.

DSS/RT IDF.

CMP garde républicaine, Paris 04.

Chef de service.

Chef de corps.

DSS/RT IDF.

CMP LGM IDF, Maisons-Alfort.

Chef de service.

Chef de corps.

DSS/RT IDF.

CMP EOGN, Melun.

Chef de service.

Chef de corps.

DSS/RT IDF.

CMP ESOGN, Fontainebleau.

Chef de service.

Chef de corps.

DSS/RT IDF.

CM garde républicaine, Paris 13.

Chef de service.

Chef de corps.

DSS/RT IDF.

CM garde républicaine, Nanterre.

Chef de service.

Chef de corps.

DSS/RT IDF.

CM LGD IDF, Issy-les-Moulineaux.

Chef de service.

Chef de corps.

DSS/RT IDF.

CM LGM IDF, Aubervilliers.

Chef de service.

Chef de corps.

DSS/RT IDF.

CM LGM IDF, Beynes.

Chef de service.

Chef de corps.

DSS/RT IDF.

CM LGM IDF, Versailles.

Chef de service.

Chef de corps.

DSS/RT IDF.

CM Dugny, Dugny.

Chef de service.

Chef de corps.

DSS/RT IDF.

Mission mob. prof., Paris 15.

Chef de service.

Chef de corps.

DSS/RT IDF.

44e RI, Paris 20.

Chef de service.

Chef de corps.

DSS/RT IDF.

Personnels mis pour emploi au GTAPI BAG, Rueil-Malmaison.

Chef de service.

Chef de corps.

DSS/RT IDF.

CMP CNEFG, Saint-Astier.

Chef de service.

Chef de corps.

DSS/RT SO.

CMP LGD Midi-Pyrénées, Toulouse.

Chef de service.

Chef de corps.

DSS/RT SO.

CMP LGD Aquitaine, Bordeaux.

Chef de service.

Chef de corps.

DSS/RT SO.

CMP ESOGN, Libourne.

Chef de service.

Chef de corps.

DSS/RT SO.

CMP ESOGN, Tulle.

Chef de service.

Chef de corps.

DSS/RT SO.

CMP ESOGN, Châtellerault.

Chef de service.

Chef de corps.

DSS/RT SO.

CMP LGD Limousin, Limoges.

Chef de service.

Chef de corps.

DSS/RT SO.

CMP LGD Poitou-Charentes, Poitiers.

Chef de service.

Chef de corps.

DSS/RT SO.

CM LGD Aquitaine, Bouliac.

Chef de service.

Chef de corps.

DSS/RT SO.

CM LGD Midi-Pyrénées, Rodez.

Chef de service.

Chef de corps.

DSS/RT SO.

CM LGD Midi-Pyrénées, Tarbes.

Chef de service.

Chef de corps.

DSS/RT SO.

CM LGD Aquitaine, Mont-de-Marsan.

Chef de service.

Chef de corps.

DSS/RT SO.

CM ESOGN, Rochefort.

Chef de service.

Chef de corps.

DSS/RT SO.

CMP LGD Rhône-Alpes, Bron.

Chef de service.

Chef de corps.

DSS/RT SE.

CMP ESOGN, Montluçon.

Chef de service.

Chef de corps.

DSS/RT SE.

CMP LGD PACA, Marseille.

Chef de service.

Chef de corps.

DSS/RT SE.

CMP LGD Corse, Ajaccio.

Chef de service.

Chef de corps.

DSS/RT SE.

CMP LGD Languedoc-Roussillon, Montpellier.

Chef de service.

Chef de corps.

DSS/RT SE.

CMP LGD Auvergne, Clermont-Ferrand.

Chef de service.

Chef de corps.

DSS/RT SE.

CMP CNING, Antibes.

Chef de service.

Chef de corps.

DSS/RT SE.

CM LGD PACA, Digne.

Chef de service.

Chef de corps.

DSS/RT SE.

CM LGD Rhône-Alpes, Lyon.

Chef de service.

Chef de corps.

DSS/RT SE.

CM LGD Languedoc-Roussillon, Perpignan.

Chef de service.

Chef de corps.

DSS/RT SE.

CM LGD Rhône-Alpes, Grenoble.

Chef de service.

Chef de corps.

DSS/RT SE.

CM LGD PACA, Hyères.

Chef de service.

Chef de corps.

DSS/RT SE.

CM LGD Rhône-Alpes, Chambéry.

Chef de service.

Chef de corps.

DSS/RT SE.

CM LGD Rhônes-Alpes, Annecy.

Chef de service.

Chef de corps.

DSS/RT SE.

CM LGD PACA, Orange.

Chef de service.

Chef de corps.

DSS/RT SE.

CMP LGD Bourgogne, Dijon.

Chef de service.

Chef de corps.

DSS/RT NE.

CMP LGD Champagne-Ardenne, Châlons-en-Champagne.

Chef de service.

Chef de corps.

DSS/RT NE.

CMP LGD Alsace, Strasbourg.

Chef de service.

Chef de corps.

DSS/RT NE.

CMP LGD Franche-Comté, Besançon.

Chef de service.

Chef de corps.

DSS/RT NE.

CMP ESOGN, Chaumont.

Chef de service.

Chef de corps.

DSS/RT NE.

CMP LGD Lorraine, Metz.

Chef de service.

Chef de corps.

DSS/RT NE.

CMP LGD Nord-Pas-de-Calais, Villeneuve-d'Ascq.

Chef de service.

Chef de corps.

DSS/RT NE.

CMP LGD Picardie, Amiens.

Chef de service.

Chef de corps.

DSS/RT NE.

CM LGD Picardie, Saint-Quentin.

Chef de service.

Chef de corps.

DSS/RT NE.

CM LGD Champagne-Ardenne, Charleville-Mézières.

Chef de service.

Chef de corps.

DSS/RT NE.

CM LGD Lorraine, Verdun.

Chef de service.

Chef de corps.

DSS/RT NE.

CM LGD Nord-Pas-de-Calais, Valenciennes.

Chef de service.

Chef de corps.

DSS/RT NE.

CM LGD Nord-Pas-de-Calais, Calais.

Chef de service.

Chef de corps.

DSS/RT NE.

CM LGD Franche-Comté, Lure.

Chef de service.

Chef de corps.

DSS/RT NE.

CISAT, Metz.

Chef de service.

Chef de corps.

DSS/RT NE.

CMP LGD Centre, Orléans.

Chef de service.

Chef de corps.

DSS/RT NO.

CMP LGD Basse-Normandie, Caen.

Chef de service.

Chef de corps.

DSS/RT NO.

CMP EOGN, Montargis.

Chef de service.

Chef de corps.

DSS/RT NO.

CMP ESOGN, Châteaulin.

Chef de service.

Chef de corps.

DSS/RT NO.

CMP ESOGN, Le Mans.

Chef de service.

Chef de corps.

DSS/RT NO.

CMP LGD Haute-Normandie, Rouen.

Chef de service.

Chef de corps.

DSS/RT NO.

CMP LGD Bretagne, Rennes.

Chef de service.

Chef de corps.

DSS/RT NO.

CMP LGD Pays de Loire, Nantes.

Chef de service.

Chef de corps.

DSS/RT NO.

CM LGD Centre, Chartres.

Chef de service.

Chef de corps.

DSS/RT NO.

CM LGD Centre, Joué-les-Tours.

Chef de service.

Chef de corps.

DSS/RT NO.

Prytanée nat. militaire centre méd., La Flèche.

Chef de service.

Chef de corps.

DSS/RT NO.

CM LGD Bretagne, Brest.

Chef de service.

Chef de corps.

DSS/RT NO.

CM LGD Bretagne, Pontivy.

Chef de service.

Chef de corps.

DSS/RT NO.

GTAPI BAG, Rueil-Malmaison.

Chef de service ou autorité équivalente.

Chef de corps.

Sous-directeur ressources humaines.

CEV LAMAS, Brétigny-sur-Orge + DMAO, Mont-de-Marsan.

Chef de service.

Chef de corps de l'IMASSA.

Second notateur.

CMP LDG Antilles/Guyane, Fort-de-France.

Chef de service.

Chef de corps.

DIASS Fort-de-France.

CMP GEND, Nouvelle-Calédonie, Nouméa.

Chef de service.

Chef de corps.

DIASS Nouméa.

CHA Bouffard, Djibouti.

Chef de service.

Chef de corps.

DIASS FFDJ Djibouti.

 

ANNEXE IV.

ANNEXE V.

ANNEXE VI.

ANNEXE VII. Conditions exigées des militaires infirmiers et techniciens des hôpitaux des armées pour pouvoir postuler à un grade supérieur.

Contenu

Année 2006.

Contenu

Proposition pour le grade :

Personnel proposable.

Ancienneté minimum à détenir dans le grade.

Ancienneté minimum de service à réunir au 1er janvier 2006 (1).

Directeur des soins de 1re classe.

Directeur des soins de 2e classe.

5 ans (avoir été promu antérieurement au 2 janvier 2001).

NB. — L'ancienneté acquise dans le grade de directeur d'école paramédicale ou d'infirmier principal est prise en compte.

Et détenir le 4e échelon antérieurement au 2 janvier 2006.

5 ans.

Cadre supérieur de santé.

Cadre de santé.

3 ans (avoir été promu cadre de santé ou surveillant antérieurement au 2 janvier 2003) et avoir satisfait aux épreuves du concours professionnel.

3 ans.

Sage-femme cadre supérieur.

Sage-femme cadre.

3 ans (avoir été promu antérieurement au 2 janvier 2003).

3 ans.

Sage-femme cadre.

Sage-femme de classe supérieure.

8 ans (avoir été nommé antérieurement au 2 janvier 1998)

ou

8 ans.

5 ans (avoir été nommé antérieurement au 2 janvier 2001 et être titulaire du certificat cadre sage-femme avant le 2 janvier 2005).

5 ans.

Sage-femme de classe normale.

5 ans (avoir été nommé antérieurement au 2 janvier 2001 et être titulaire du certificat cadre sage-femme avant le 2 janvier 2005).

5 ans.

Sage-femme de classe supérieure.

Sage-femme de classe normale.

8 ans (avoir été nommé antérieurement au 2 janvier 1998).

8 ans.

Infirmier de classe supérieure.

Infirmier de classe normale.

10 ans (2) (avoir été nommé antérieurement au 2 janvier 1996) et détenir le 5e échelon antérieurement au 2 janvier 2006.

10 ans (2).

Infirmier de bloc opératoire de classe supérieure.

Infirmier de bloc opératoire de classe normale.

10 ans (3) (avoir été nommé antérieurement au 2 janvier 1996) et détenir le 5e échelon antérieurement au 2 janvier 2006.

10 ans (3).

Infirmier anesthésiste de classe supérieure.

Infirmier anesthésiste de classe normale.

10 ans (3) (avoir été nommé antérieurement au 2 janvier 1996) et détenir le 5e échelon antérieurement au 2 janvier 2006.

10 ans (3).

Masseur-kinésithérapeute de classe supérieure.

Masseur-kinésithérapeute de classe normale.

10 ans (4) (avoir été nommé antérieurement au 2 janvier 1996) et détenir le 5e échelon antérieurement au 2 janvier 2006.

10 ans (4).

Orthophoniste de classe supérieure.

Orthophoniste de classe normale.

10 ans (4) (avoir été nommé antérieurement au 2 janvier 1996) et détenir le 5e échelon antérieurement au 2 janvier 2006.

10 ans (4).

Orthoptiste de classe supérieure.

Orthoptiste de classe normale.

10 ans (4) (avoir été nommé antérieurement au 2 janvier 1996) et détenir le 5e échelon antérieurement au 2 janvier 2006.

10 ans (4).

Diététicien de classe supérieure.

Diététicien de classe normale.

10 ans (4) (avoir été nommé antérieurement au 2 janvier 1996) et détenir le 5e échelon antérieurement au 2 janvier 2006.

10 ans (4).

Technicien de laboratoire de classe supérieure.

Technicien de laboratoire de classe normale.

10 ans (avoir été nommé antérieurement au 2 janvier 1996) et détenir le 5e échelon antérieurement au 2 janvier 2006.

10 ans.

Manipulateur d'électroradiologie médicale de classe supérieure.

Manipulateur d'électroradiologie médicale de classe normale.

10 ans (avoir été nommé antérieurement au 2 janvier 1996) et détenir le 5e échelon antérieurement au 2 janvier 2006.

10 ans.

Puéricultrice de classe supérieure.

Puéricultrice de classe normale.

10 ans (3) (avoir été nommé antérieurement au 2 janvier 1996) et détenir le 5e échelon antérieurement au 2 janvier 2006.

10 ans (3).

Préparateur en pharmacie hospitalière de classe supérieure.

Préparateur en pharmacie hospitalière de classe normale.

10 ans (avoir été nommé antérieurement au 2 janvier 1996) et détenir le 5e échelon antérieurement au 2 janvier 2006.

10 ans.

Aide-soignant de classe exceptionnelle.

Aide-soignant de classe supérieure.

Détenir le 8e échelon antérieurement au 2 janvier 2006.

Sans objet.

Aide-soignant de classe supérieure.

Aide-soignant de classe normale.

Détenir le 6e échelon antérieurement au 2 janvier 2006.

Sans objet.

Aide de laboratoire de classe supérieure.

Aide de laboratoire de classe normale.

Détenir le 5e échelon antérieurement au 2 janvier 2006.

Sans objet.

Aide d'électroradiologie de classe supérieure.

Aide d'électroradiologie de classe normale.

Détenir le 5e échelon antérieurement au 2 janvier 2006.

Sans objet.

Secrétaire médical de classe exceptionnelle.

Secrétaire médical de classe supérieure.

Détenir le 4e échelon antérieurement au 2 janvier 2006

ou

Être titulaire du brevet supérieur (sans condition d'échelon) avant le 2 janvier 2005.

Sans objet.

Secrétaire médical de classe normale.

Détenir le 7e échelon antérieurement au 2 janvier 2006 et être titulaire du brevet supérieur avant le 2 janvier 2005.

Sans objet.

Secrétaire médical de classe supérieure.

Secrétaire médical de classe normale.

5 ans dans le grade de secrétaire médical de classe normale (avoir été nommé antérieurement au 2 janvier 2001) et détenir le 7e échelon antérieurement au 2 janvier 2004.

5 ans.

(1) Il est tenu compte pour le calcul de l'ancienneté de service, des services éventuellement effectués dans le cadre du service militaire actif.

(2) Cette ancienneté peut avoir été acquise dans un ou plusieurs corps des personnels infirmiers.

(3) Cette ancienneté peut avoir été acquise dans un ou plusieurs des corps suivants :

— corps des infirmiers de bloc opératoire ;

— corps des puéricultrices ;

— corps des infirmiers anesthésistes ;

— corps des infirmiers.

(4) Cette ancienneté peut avoir été acquise dans un ou plusieurs des corps suivants :

— corps des masseurs-kinésithérapeutes ;

— corps des orthoptistes ;

— corps des orthophonistes ;

— corps des diététiciens.

 

ANNEXE VIII. Conditions exigées des sous-officiers féminins du service de santé des armées pour être proposables au grade supérieur.

Année 2006.

Proposition pour le grade de:

Ancienneté minimum à détenir dans le grade immédiatement inférieur.

Ancienneté de service au 1er janvier 2006.

Brevets exigés.

Adjudant-chef.

2 ans (avoir été promu antérieurement au 2 janvier 2004).

12 ans (être entré en service antérieurement au 2 janvier 1994).

Brevet supérieur de la spécialité détenu antérieurement au 2 janvier 2005.

 

ANNEXE IX. Relevé global des récompenses, des punitions et des missions extérieures effectuées.

Figure 6. Relevé global des récompenses, des punitions et des missions extérieures effectuées.

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