1.

Les ordinaires des unités à terre appelées à organiser les épreuves pratiques des examens de la spécialité de cuisinier recevront désormais une indemnité égale à :

• trois fois l'indemnité de vivres de l'unité, sans majoration de faible effectif, pour chaque candidat au brevet élémentaire ;

• six fois la même indemnité pour chaque candidat au brevet supérieur technique ou à l'examen d'admissibilité au grade de second maître.

Le montant des indemnités acquises fera l'objet d'un procès-verbal au registre des procès-verbaux de la comptabilité « vivres » et sera considéré comme une créance envers l'Etat.

2.

Aucun changement n'est, toutefois, apporté au régime forfaitaire défini par la dépêche ⁽¹⁾ dépêche n^o 788/CMa/2 du 5 décembre 1953 (n.i. BO) pour l'école des fourriers, secrétaires militaires, commis aux vivres et cuisiniers.

3.

Les examens de cuisinier subis à bord des bâtiments continueront à ne faire l'objet d'aucune attribution d'indemnité particulière, les candidats étant seulement pris en mouvement à la table de l'état-major comme agents temporaires de cette table pendant la durée des épreuves.