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Archivé DIRECTION DE L'ADMINISTRATION GÉNÉRALE : sous-direction des affaires administratives ; bureau de la réglementation générale

INSTRUCTION N° 10372/DEF/DAG/AA/2 relative à l'immatriculation au sein du répertoire SIRENE des organismes et établissements relevant du ministère de la défense.

Du 27 mai 1994
NOR D E F D 9 4 5 3 0 2 1 J

Autre(s) version(s) :

 

Pièce(s) jointe(s) :     Six annexes et deux modèles de fiches.

Texte(s) abrogé(s) :

Instruction n° 13050/DEF/DAG/AA/2 du 12 juillet 1990 (BOC, p. 2805).

Classement dans l'édition méthodique : BOEM  113.14., 160.6.4., 510-0.3.3., 113.2.1., 111.1.

Référence de publication :  BOC, p. 2430.

Références :

  • Décret 73-314  du 14 mars 1973 (BOC, 1990, p. 2796) portant création d'un système national d'identification et d'un répertoire des entreprises et de leurs établissements, modifié par les décret no 83-121 du 17 février 1983 (1) et décret no 90-1125 du 18 décembre 1990 (2).

  • Arrêté du 02 mai 1983 (3) fixant la liste des administrations ou organismes habilités à demander l'inscription au répertoire national des entreprises et de leurs établissements, et notamment son article 4.

  • Arrêté du 03 avril 1984 (4) fixant les modalités particulières pour l'inscription des établissements relevant du ministère de la défense au répertoire des entreprises et de leurs établissements institué par le décret 73-314 du 14 mars 1973 modifié.

  • Arrêté du 13 mai 1987 (5) relatif au traitement informatisé du système national d'identification et du répertoire des entreprises créé par le décret 73-314 du 14 mars 1973 modifié.

La présente instruction a pour objet de définir les modalités de l'immatriculation au sein du répertoire SIRENE des établissements et organismes relevant du ministère de la défense ainsi que le suivi au plan administratif des immatriculations concernant l'ensemble du département.

1. Objets du répertoire SIRENE.

1.1.

La création du répertoire SIRENE, dont la gestion est assurée par l'INSEE, répond à un double besoin :

  • d'une part, faciliter la connaissance des agents composant le tissu économique français, non seulement par les services de l'Etat, mais également par les particuliers ou les entreprises, notamment grâce aux facilités d'accès de ce répertoire informatisé (accès par minitel) ;

  • d'autre part, permettre à l'INSEE d'effectuer des études statistiques dans le cadre des attributions de cet organisme.

Institué par le décret du 14 mars 1973 modifié, cité en première référence, le répertoire SIRENE a initialement pour objet de répertorier les agents économiques relevant du secteur privé (entreprises ou personnes physiques), au même titre que les personnes physiques sont identifiées dans le cadre du numéro de sécurité sociale. (Les modalités d'application du décret du 14 mars 1973 modifié sont précisées par l' arrêté du 13 mai 1987 cité en quatrième référence.)

1.2.

L'application de ce répertoire a été étendue par un décret du 17 février 1983 aux personnes morales de droit public ainsi qu'aux services de l'Etat, notamment, mais ce n'est pas exclusif, lorsque ces derniers emploient du personnel salarié, ou sont soumis à des obligations fiscales, ou bénéficient de transferts financiers publics.

S'agissant d'organismes du secteur public, le répertoire SIRENE a essentiellement pour objet, grâce à l'utilisation d'identifiants chiffrés, de faciliter les correspondances administratives échangées avec des organismes à vocation sociale extérieurs au département (ex. : organismes de sécurité sociale, de retraite…) en matière de gestion de personnels, ou lors de l'imposition fiscale de certains établissements : à ce titre, l'utilisation de ce répertoire est rendue nécessaire par l'existence de procédures informatisées inter-administratives (ex. : réseau « transmission de données sociales » géré par la caisse nationale d'assurance vieillesse), ou lors de toute déclaration d'emploi de salariés aux organismes de sécurité sociale (ex. : URSSAF).

1.3.

Un arrêté en date du 03 avril 1984 prévoit l'application de ce répertoire au sein du ministère et fixe des modalités spécifiques au département, compte tenu des impératifs de confidentialité propres à la défense.

Ainsi, la partie du fichier concernant les établissements de la défense fait l'objet d'une protection et ne peut être accessible au public.

1.4.

Le département des finances a créé, dans le cadre du nouveau régime de TVA européen, sur la base du numéro SIREN inscrit au répertoire SIRENE, un numéro individuel d'identification communautaire (NIC) attribué à toute personne morale de droit public réalisant des acquisitions et des livraisons intracommunautaires.

Les organismes relevant de la défense, dotés, depuis le 1er janvier 1993, d'un tel identifiant, acquièrent désormais toute autonomie en matière d'immatriculation au sein du répertoire SIRENE.

La procédure relative à l'attribution du numéro individuel d'identification communautaire est définie en annexe III [cf. note no 259/DEF/DSF/F/9045 du 12 février 1993 (N.i. BO)].

2. Constitution de l'identifiant et modalités particulières d'immatriculation.

2.1.

Tout établissement, ayant fait l'objet d'une immatriculation au sein du répertoire SIRENE, se voit attribuer par les services de l'INSEE un identifiant, composé de 14 chiffres et dénommé numéro « SIRET », lequel comprend :

  • une racine, appelée numéro « SIREN » constituée des 9 premiers chiffres (dont les 2 premiers sont le 15 pour les organismes du ministère de la défense) désignant l'organisme dont dépend l'établissement : ainsi l'identifiant d'un établissement technique de la délégation générale pour l'armement comprend le numéro SIREN désignant la direction technique dont il relève ;

  • un suffixe de 5 chiffres, permettant l'identification dudit établissement : si un établissement-siège est immatriculé, son identifiant comprend, outre la racine « SIREN » le concernant, un suffixe qui lui est propre.

L'annexe I donne deux exemples de constructions de l'identifiant.

2.2.

A l'exception des établissements dotés ou ayant à se doter d'un numéro individuel d'identification communautaire (§ 14), l'immatriculation des établissements de la défense s'ordonne selon un « système d'immatriculation », propre à chaque secteur, dont l'adoption est prononcée par la direction de l'administration générale après avis des services concernés et accord de l'INSEE.

Les systèmes d'immatriculation retenus et les modalités qui s'y attachent, notamment en ce qui concerne l'adresse des établissements devant être déclarée à l'INSEE, font l'objet de l'annexe II de la présente instruction.

Seuls, les cercles et foyers qui sont dotés de la personnalité morale, situés en dehors des infrastructures militaires, peuvent être immatriculés en propre, en tant qu'organismes distincts du ministère de la défense. Les cercles et foyers fonctionnant exclusivement avec la logistique des armées et situés dans les mêmes enceintes que les unités doivent, dans leurs relations avec les tiers et en particulier avec les organismes de sécurité sociale, utiliser le numéro SIRET de l'établissement militaire au sein duquel ils sont intégrés.

Toutefois, lorsque les cercles et foyers se trouvent implantés au sein d'un « établissement militaire » non immatriculé lui-même, ils utilisent le numéro SIRET de l'organisme d'administration auquel ils sont rattachés.

2.3.

Au sein du répertoire SIRENE, les établissements reçoivent un code APE (activité principale exercée) en fonction de leur type d'activité : la liste des codes APE utilisés selon le secteur est fixée en annexe IV de la présente instruction.

3. Rôle de la direction de l'administration générale et des « correspondants ministériels SIRENE ».

3.1.

Conformément aux dispositions de l' arrêté du 03 avril 1984 , les modalités et le suivi des immatriculations des établissements de la défense au sein du répertoire sont définies par la direction de l'administration générale (DAG), en liaison avec les services centraux de l'INSEE.

A ce titre, la DAG (sous-direction des affaires administratives) est seule compétente pour transmettre à l'INSEE (direction générale) toute correspondance relative à l'immatriculation des établissements de la défense.

3.2.

L'immatriculation des établissements de la défense s'effectue systématiquement par le canal des autorités dont ils relèvent au niveau de l'administration centrale (chefs d'état-major de l'armée de terre, de la marine, de l'armée de l'air, délégué général pour l'armement, directeur général de la gendarmerie nationale, directeur central du service de santé des armées, directeur central des essences, etc.).

Chacune de ces autorités désigne à cet effet un correspondant qui assure, en liaison avec la DAG, le suivi tant administratif qu'informatique des immatriculations.

La liste des correspondants SIRENE figure en annexe V.

3.3.

Toute demande d'immatriculation, de radiation du fichier ou de modification des informations répertoriées au sein de ce fichier, émanant d'un service ou d'un établissement de la défense, devra être exclusivement adressée au correspondant SIRENE dont il relève et, en aucun cas, directement à l'INSEE, encore moins à l'URSSAF.

Lorsque le service ou l'établissement demandeur est dans l'obligation de fournir un identifiant SIRENE lors de correspondances avec des organismes extérieurs au département, notamment dans le cadre de la gestion du personnel (ex. : organismes de sécurité sociale…), le correspondant concerné doit :

  • soit lui indiquer s'il figure déjà au sein du répertoire et lui communiquer, dans l'affirmative, l'identifiant (SIRET) devant être déclaré ;

  • soit faire procéder à son immatriculation en transmettant une demande à la DAG ;

  • soit lui indiquer à quel établissement ou service il devra être rattaché, ainsi qu'à l'identifiant devant être utilisé.

3.4.

Toute demande de création, modification ou radiation devra être transmise à la DAG par le correspondant ministériel sur une fiche SIRAD (1 ou 2 selon le type d'immatriculation à réaliser) dont le modèle, permettant duplication, figure en annexe VI à la présente instruction.

3.5.

Enfin les services pourront s'adresser à la DAG pour toute question relevant des principes généraux d'immatriculation ou pour tout litige avec des organismes extérieurs au département.

3.6.

L'instruction no 13050/DEF/DAG/AA/2 du 12 juillet 1990 est abrogée.

3.7.

Le directeur de l'administration générale est chargé de l'application de la présente instruction qui sera publiée au Bulletin officiel des armées.

Le contrôleur des armées, directeur de l'administration générale,

Olivier ROCHEREAU.

Annexes

ANNEXE I. Structures de l'identifiant attribué dans le cadre de l'immatriculation au répertoire SIRENE (numéro SIRET).

Figure 1.  

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ANNEXE II. Schéma général relatif à l'immatriculation des établissements de la défense au répertoire SIRENE.

Secteur et système d'immatriculation.

Organisme (no SIREN).

Etablissements (no SIRET).

Adresse.

EMAT système « gestion paye » (1).

CTAC (*) + organismes particuliers.

Etablissement par département + établissement pour le personnel de droit privé au niveau régional.

DMD (délégué militaire départemental).

EMAA système (1) « gestion paye ».

CATA (*) ou SERPECA*.

Bases aériennes employant des personnels civils de droit privé (*).

Bases aériennes employant des personnels civils « Etat » (*).

Zone militaire départementale de la base.

EMM système « gestion paye » (1).

DCCM (*).

DCM locales (*).

CMAS (*).

Etablissement régional pour tout le personnel (personnel de droit privé compris).

CMAS.

DCM.

« Système structurel » (2).

SHOM (*).

SCADOM (*).

DTM locales (*) (directions techniques).

EPSHOM (*).

SAO (*) et SAM (*).

Etablissement unique.

EPSHOM.

DGGN (2) système « structurel ».

Circonscription de gendarmerie (3).

Organismes payeurs (4).

Groupements.

LGM.

Adresses réelles.

DCSSA système « structurel » (2).

DCSSA.

Tous établissements.

Adresses réelles.

SEA système (1) « gestion paye ».

DCSEA.

Etablissement administratif et technique (payeur) et autres établissements.

Adresses réelles.

DGA système « structurel » (2).

Direction ou ordonnateur secondaire nécessitant un NIC.

Etablissements ne nécessitant pas de NIC.

Adresses réelles.

Administration centrale système « gestion paye » (1).

DFP.

Etablissement par catégorie de personnel.

DFP.

DIRCEN système « gestion paye ».

DIRCEN (établissement de Montlhéry).

Etablissement de Villacoublay.

Adresses réelles.

(*) Sigles usités :

CTAC : centre territorial d'administration et de comptabilité.

CATA : centre administratif territorial de l'air.

DCCM : direction centrale du commissariat de la marine.

DCM : direction du commissariat de la marine.

DTM : direction des travaux maritimes.

SHOM : service hydrographique et océanographique de la marine.

EPSHOM : établissement principal du SHOM.

SCADOM : service central d'approvisionnement des ordinaires et des marins.

SAO : service d'approvisionnement des ordinaires.

SAM : service d'approvisionnement des marins.

CMAS : centre mécanographié d'administration de la solde.

SERPECA : service des rémunérations et des pensions du commissariat de l'air.

LGM : légion de gendarmerie mobile.

(1) Système « gestion paye » : schéma d'immatriculation ne concernant que les organismes responsables de l'administration générale et de la gestion du personnel.

(2) Système « structurel » : schéma d'immatriculation calqué sur l'organigramme des forces et services.

(3) Application liée à la mise en œuvre du plan « Armées 2000 ».

(4) Immatriculation en qualité d'organisme principal consécutive à la procédure d'octroi d'un numéro individuel d'identification communautaire.

 

ANNEXE III. Fiche relative à l'attribution du NIC aux organismes relevant du ministère de la défense.

I Objet du NIC.

11

Le numéro individuel d'identification communautaire (NIC) attribué à tout organisme ordonnateur principal ou secondaire, permet à celui-ci d'acquérir une autonomie dans la réalisation d'acquisitions intracommunautaires.

12

L'attribution d'un NIC génère toutefois pour le titulaire des obligations définies par des directives européennes en matière de TVA et de grand marché : la TVA n'est plus acquittée, pour les produits en provenance d'autres Etats membres, au passage des frontières, mais globalisée et réglée mensuellement auprès des comptables de la direction générale des impôts.

121

Il en résulte donc une obligation de dépôt mensuel auprès du centre des impôts territorialement compétent, par l'organisme doté d'un NIC, d'une déclaration de TVA modèle CA 3, accompagnée du règlement auprès de la recette des impôts qui lui est rattachée, du montant de la taxe correspondante. Cette déclaration doit être souscrite le 15 du mois suivant la réalisation des acquisitions.

122

Parallèlement à la déclaration de TVA, l'organisme concerné est également tenu par une autre obligation vis-à-vis de l'administration des douanes : déposer une déclaration de statistiques communautaires (déclaration d'échanges de biens) récapitulant les mêmes acquisitions intracommunautaires soumises mensuellement à TVA.

II Procédure d'attribution du NIC.

21 Organisme détenteur d'un SIREN propre.

Il est doté, par la direction générale des impôts, via la direction des services financiers, d'un numéro individuel d'identification communautaire.

22 Organisme non détenteur d'un SIREN propre.

Pour l'établissement habilité à réaliser des achats intracommunautaires et ne possédant pas un SIREN spécifique, il doit être établi :

  • une demande de radiation en tant que SIRET (imprimé SIRAD 2) ;

  • une demande d'immatriculation en tant qu'organisme principal (imprimé SIRAD 1) lui permettant d'obtenir son propre SIREN.

Ces demandes sont transmises à la direction de l'administration générale, seule correspondante de l'INSEE.

Dès l'obtention du numéro SIREN considéré, une demande d'attribution du NIC est alors transmise, par l'état-major ou la direction dont relève l'établissement concerné, à la direction générale des impôts via la direction des services financiers, seule compétente en ce domaine.

ANNEXE IV. Liste des codes APE (activité principale exercée) utilisés par les établissements relevant du ministère de la défense.

I Code spécifique à la défense.

752 C Défense.

II Codes concernant à la fois la défense et le secteur civil.

  • 296 A Fabrication d'armement.

  • 351 A Construction de bâtiments de guerre.

  • 353 A Construction de moteurs pour aéronefs.

  • 353 B Construction de cellules d'aéronefs.

  • 555 A Cantines et restaurants d'entreprises.

  • 731 Z Recherche, développement en sciences physiques et naturelles.

  • 802 A Enseignement secondaire général.

  • 802 C Enseignement secondaire technique ou professionnel.

  • 803 Z Enseignement supérieur.

  • 851 A Activités hospitalières.

  • 921 B Production de films institutionnels et publicitaires.

ANNEXE V. Liste des secteurs et des correspondants ministériels SIRENE.

1 Organismes relevant du secrétaire général pour l'administration.

Direction de l'administration générale/sous-direction des affaires administratives/bureau de la réglementation générale.

2 Délégation générale pour l'armement.

Direction des personnels et des affaires générales/bureau « organisation, méthodes et automatisation ».

3 État-major de l'armée de terre (A).

Bureau management et systèmes d'information.

Centre d'études et de développements informatiques du commissariat de l'armée de terre (organisme extérieur de la direction centrale du commissariat de l'armée de terre).

4 État-major de la marine.

Bureau « organisation, réglementation, administration ».

5 État-major de l'armée de l'air (A).

Bureau de l'organisation et des ressources humaines (BORH).

Direction centrale du commissariat de l'air : sous-direction « organisation-personnel ».

6 Direction générale de la gendarmerie nationale.

Sous-direction logistique, bureau administration.

7 Direction des centres d'expérimentation nucléaires.

Bureau « personnel » (Villacoublay).

8 Direction centrale du service de santé des armées.

Sous-direction « organisation-logistique ».

9 Direction centrale du service des essences des armées.

Sous-direction administration bureau « organisation, méthodes, informatique ».

ANNEXE VI. Modèles de fiches d'immatriculation (permettant duplication).

Les deux modèles de fiches joints à la présente annexe doivent être utilisés à l'exclusion de tous autres :

  • SIRAD I : pour les organismes ou établissements principaux ;

  • SIRAD II : pour les établissements (secondaires).

Ces fiches doivent être dûment remplies par le correspondant ministériel SIRENE avant leur transmission à la direction de l'administration générale.

En particulier :

  • l'adresse postale et géographique ainsi que le numéro de téléphone du service responsable doivent être précisés (les adresses en « boîtes postales » ou « secteurs postaux » doivent être évitées dans la mesure du possible) ;

  • il convient d'indiquer s'il s'agit d'une création, d'une modification ou d'une suppression d'immatriculation au sein du répertoire : dans ces deux derniers cas, la situation au sein du répertoire doit être mentionnée ;

  • lors de l'utilisation de la fiche SIRAD II (immatriculation d'un établissement), l'organisme dont dépend l'établissement doit être indiqué.

Figure 2. Déclaration initiale, modification, transfert ou radiation d'un organisme public et de son établissement principal.

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Figure 3. Déclaration initiale, modification, transfert ou radiation d'un établissement secondaire.

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