Préambule.

Définie par l'instruction de référence, la formation initiale (FI) des militaires du rang (MDR) a pour but de faire acquérir aux jeunes engagés les savoir-faire fondamentaux du métier des armes et les savoir-être liés à l'état de militaire, en les intégrant progressivement au sein de la communauté militaire.

La FI s'articule en deux volets : la formation générale initiale (FGI) et la formation de spécialité initiale (FSI).

Cette circulaire a pour objet de définir le cadre d'exécution de la formation générale initiale (FGI) du militaire du rang de l'armée de terre sous contrat (MDR/C), à l'exception du personnel de la brigade des sapeurs pompiers de Paris (BSPP), de la sécurité civile (FORMISC), du service militaire adapté (SMA) et de la légion étrangère (LEG). Elle fixe le programme de la formation ainsi que les modalités de contrôle.

1. Cadre général et objectifs.

1.1. Déroulement.

La FGI, commune à tous les engagés initiaux, se déroule en quinze semaines. Une semaine correspond à 38 heures d'activités programmées auxquelles s'ajoute au moins une nuit sur le terrain en horaires non décomptés (HND). La première semaine qui suit l'arrivée des jeunes recrues est consacrée à l'accueil, à la présentation du cadre de vie et aux formalités administratives obligatoires. La deuxième semaine sera consacrée à des activités permettant aux jeunes recrues de découvrir, sous un angle attrayant, leur nouvel environnement et à évaluer leur capacité physique individuelle sous réserve de l'aptitude médicale. L'instruction plus formelle débute de façon progressive à partir de la troisième semaine.

L'évaluation finale est effectuée, au cours de la treizième semaine, sous la forme d'un rallye, et est suivie d'une cérémonie officielle. La FGI est sanctionnée par une attestation de fin de formation initiale militaire (AFFIM) qui confère à la jeune recrue le titre de « soldat des forces terrestres ».

La quatorzième semaine, les jeunes recrues sont placées en permission par leurs formations d'emploi (FE).

La quinzième semaine est dédiée exclusivement à l'acculturation au sein de la FE.

Les quinze semaines consacrées à la FGI sont prioritaires et doivent être sanctuarisées. Les recrues ainsi que l'encadrement doivent être préservés de tout service ou prestation.

La circulaire décrit le programme, commun à toute l'armée de terre, qui doit être mis en œuvre pendant la FGI. Les chefs de centre de formation initiale militaire (CFIM) peuvent adapter les volumes horaires en fonction de l'atteinte des objectifs pédagogiques, de la situation du moment, des moyens d'instruction à leur disposition ou encore de la saison. En outre, ils ont toute latitude pour définir le régime de travail et de présence les soirs et les week-ends. Les activités effectuées à ces occasions doivent répondre à un besoin de formation et être conduites par l'encadrement habituel.

Le programme de la FGI doit être mené dans sa totalité avant toute mise en formation complémentaire [FSI, formation d'adaptation (FA) ou formation à la conduite militaire (FCM)].

1.2. Objectifs.

Les trois objectifs majeurs de la FGI sont :

• intégrer progressivement le jeune engagé à la communauté militaire par l'adaptation au mode de vie spécifique des militaires et l'appropriation du code du soldat ;
  
• fournir au jeune engagé le socle d'aptitudes nécessaires à l'exécution des missions de service courant dans le premier emploi tenu ;
  
• délivrer au jeune engagé l'instruction militaire fondamentale nécessaire à la mise en œuvre, au sein du groupe ou de la section PROTERRE, des missions communes de l'armée de terre (MICAT).

À cet effet, il s'agit de former :

• un professionnel aux motivations enrichies par :
  
• l'acquisition d'un esprit de défense ;
  
• la connaissance de l'institution ;
  
• le développement de la cohésion ;

• un combattant apte à remplir des missions simples par :
  
• l'acquisition d'une première capacité à vivre en campagne ;
  
• l'apprentissage des actes élémentaires au sein du trinôme ;
  
• la pratique du tir ;
  
• l'application des règles et des mesures de sécurité ;

• un soldat à l'endurance et à la résistance améliorées par :
  
• la pratique sportive progressive et régulière ;
  
• l'acquisition du goût de l'effort ;
  
• l'exercice de techniques de base concourant à l'aguerrissement ;

• un engagé responsabilisé par la connaissance :
  
• de ses droits, de ses devoirs et du règlement militaire ;
  
• de sa condition et de ses perspectives d'avenir ;
  
• de sa place dans l'institution.

Il ne s'agit donc en aucun cas de sélectionner encore moins d'éliminer mais de former et de faire progresser.

1.3. Principes pédagogiques.

1.3.1. Le style de commandement.

Le choix des officiers, des sous-officiers et des gradés d'encadrement, leur préparation à cette mission d'accueil et de formation, ainsi que la conduite de la FGI sont essentiels pour valoriser le métier des armes et fidéliser les engagés volontaires. Au contact de leurs cadres, les recrues doivent pouvoir se situer et avoir une idée précise de leur cursus à court et moyen termes. Cette période concourt essentiellement à enrichir l'image de l'armée de terre.

Les formateurs doivent appliquer le style de commandement prescrit par les « directives relatives à l'exercice au commandement dans l'armée de terre » et à « l'exercice du commandement au quotidien ». Ils doivent être exemplaires, soucieux du respect absolu de la dignité humaine. Ils observent l'aptitude des MDR à prendre des initiatives et les guident en ce sens. Il s'agit d'inculquer aux jeunes engagés, au-delà des règles fondamentales de rigueur, de disponibilité et d'ouverture d'esprit, les principes de comportement militaire indispensables à l'exercice du métier des armes. Le chef, à chaque échelon, manifeste en toutes circonstances à chacun de ses subordonnés l'estime due à un compagnon d'armes.

1.3.2. La pédagogie.

Indissociable du style de commandement, la pédagogie à mettre en œuvre est décrite dans le TTA 193. S'agissant d'inculquer des comportements et des capacités en vue d'une action collective, l'instruction est essentiellement concrète pour permettre à tous d'arriver au niveau fixé. Les cadres doivent ainsi mettre en œuvre une pédagogie attrayante et pratique, utilisant les procédés adaptés à la population concernée et aux savoir-faire à acquérir, en limitant le plus possible les cours théoriques en salle. Ils s'appuieront sur les fiches pédagogiques insérées dans le recueil pédagogique ⁽¹⁾. La progressivité et le suivi individuel doivent guider l'action des formateurs.

En outre, un effort sera porté sur le témoignage des instructeurs destiné à permettre aux MDR de mieux appréhender le milieu militaire et de s'y intégrer plus facilement. À ce titre, les cadres privilégieront une pédagogie interactive qui favorise l'échange et la connaissance mutuelle, sous la forme de réunion-discussion.

Enfin, les jeunes ont la volonté de savoir et de comprendre : les cadres prendront donc le temps nécessaire pour expliquer, informer, voire rassurer, quand cela est nécessaire.

Les règles de l'intervention pédagogique lors des séances d'éducation et entraînement physiques, militaires et sportifs (E2PMS) sont décrites au point 2.1.

1.4. Modalités pratiques.

1.4.1. Encadrement.

L'encadrement est articulé en deux composantes.

Une composante permanente « commandement-soutien ».

Les qualifications détenues par le personnel permanent, affecté au CFIM, sont définies dans la directive relative au fonctionnement des CFIM ; il s'agit notamment de qualifications dans les domaines de la formation, de l'instruction sur le tir de combat (IST-C), du secourisme et de l'E2PMS.

Cet encadrement bénéficie d'un stage de formation des formateurs permanents des CFIM inscrit au calendrier des actions de formation (CAF).

Une composante de circonstance « fournie par les régiments pour la durée de la FGI ».

L'encadrement des sections est fixé à 1/4/4 ou 0/5/4 pour 40 engagés volontaires initiaux (EVI). Il est désigné au minimum un mois avant l'incorporation selon les modalités précisées dans la directive relative au fonctionnement des CFIM. Le chef de CFIM convoque l'encadrement de chaque section pour un stage de remise à niveau pédagogique et technique d'une semaine, à l'occasion duquel sont élaborés l'emploi du temps de la section ainsi que les modalités d'accueil et d'incorporation des jeunes recrues. Les gradés d'encadrement doivent être associés à l'intégralité de ce stage.

Dans l'éventualité d'un recrutement de personnel féminin, la désignation d'un cadre ou d'un gradé féminin doit être systématique ou, à défaut, un cadre référent pouvant être consulté en cas de problèmes. Ce cadre ou gradé peut-être dégagé de cette mission si le recrutement est exclusivement masculin.

La qualité éprouvée de l'encadrement désigné exclut d'emblée les officiers et sous-officiers sortant d'école, ainsi que les chefs de section sous-officiers en sortie du brevet supérieur de technicien de l'armée de terre (BSTAT).

1.4.2. Programmation.

Le programme de la FGI est élaboré dans le mois qui précède l'incorporation. Il doit être porté à la connaissance des jeunes recrues dès leur arrivée au CFIM. Les modifications apportées en conduite doivent être communiquées au fur et à mesure.                               

Le programme s'articule en quatre temps distincts :

• une semaine d'incorporation au sein du régiment ;
  
• le module de formation (durée douze semaines) au sein du CFIM ;
  
• une permission d'une semaine ;
  
• une semaine d'acculturation au sein du régiment.

Le module de formation de douze semaines comprend trois phases :

• une phase de découverte d'une semaine ;
  
• une phase d'instruction de neuf semaines comportant chacune une sortie terrain ;
  
• une phase d'évaluation et de rattrapage de deux semaines à l'issue de laquelle l'AFFIM est attribuée.

2. Contenu de la formation.

Le détail du programme figure en annexe I. ⁽²⁾.

L'instruction doit être pratique et attractive. D'une manière générale, l'instruction prodiguée n'est pas nécessairement dispensée en salle de cours et peut être adaptée pour profiter de toutes les situations permettant de mettre en œuvre une pédagogie différente et appropriée à la population. Elle peut, par exemple, faire l'objet d'un échange actif entre l'instructeur et la section ou le groupe, à l'occasion d'un bivouac. Dans le même esprit, l'organisation d'une séance de tir inclut nécessairement des ateliers annexes, certains permettant, par exemple, la révision de l'instruction IST-C, d'autres la mise en œuvre d'un équipement de défense nucléaire, radiologique, biologique et chimique (NRBC) ou l'apprentissage de gestes simples du programme de secourisme.

Toute contraction de l'instruction dans le temps est contre productive pour l'assimilation des connaissances par les jeunes recrues. Ainsi, des objectifs intermédiaires précis doivent être fixés par le chef de section lors de l'élaboration du programme afin de cadencer l'instruction de façon progressive. Seront notamment repris chronologiquement les objectifs 1 et 2 de l'E2PMS (composante C), les modules A, B et D de l'IST-C (composante B), ainsi que tous les repères susceptibles d'indiquer les paliers de progressivité ⁽³⁾.

2.1. Éducation et entraînement physiques, militaires et sportifs.

L'E2PMS dispensés pendant la FGI participent à l'intégration des jeunes engagés en suscitant l'intérêt et en faisant concrètement ressentir les bienfaits physiques et psychologiques de la pratique sportive. Durant cette phase, le soldat professionnel acquiert les savoir-faire qui le rendent progressivement autonome dans le cadre d'une pratique d'entretien et qui lui permettront d'assumer sa responsabilité en la matière.

Les séances sont encadrées prioritairement par du personnel spécialisé ou par des cadres de contact dont les aptitudes techniques et pédagogiques sont reconnues.

Le stage organisé par le chef du CFIM à l'attention des cadres des sections FGI doit permettre la formation de ces derniers pour la conduite de l'E2PMS par :

• une évaluation initiale du niveau des recrues ;
  
• une progression adaptée par niveau ;
  
• des objectifs personnalisés ;
  
• la préservation des effectifs.

L'ensemble de la documentation (TTA150 titre 14 et mémento E2PMS à l'usage des cadres de contact) nécessaire à la conduite de l'entraînement et à la mise en œuvre des séances est disponible en téléchargement sur le site E2PMS de l'armée de terre.

2.1.1. Programme.

Pour progresser, le programme doit comporter au moins quatre séances de sport par semaine ⁽⁴⁾. En intégrant les marches, le nombre de séances préconisé pendant la FGI permet cette progression.

Une séance de 2 heures (plus courte pour la natation du fait des déplacements inclus) intègre : la prise en main, l'échauffement, le corps de la séance, le retour au calme, les étirements et la remise en condition (hygiène).

La plupart des séances se prêtent à la réalisation d'un module de renforcement musculaire des bras et du tronc, adapté au niveau physique des recrues : abdominaux, grimper de corde, tractions. La méthode dite « le dépoussiérage » est particulièrement adaptée à ce module.

L'entraînement en tenue de combat peut débuter dès le 2^e mois de service par des séances de méthode naturelle ou d'étude d'obstacles.

En course d'orientation, le travail en équipe ne doit pas dépasser le binôme.

2.1.2. Évaluation en éducation et entraînement physiques, militaires et sportifs.

La mesure de la performance en FGI repose sur le dispositif du contrôle de la condition physique du militaire dans le seul but de situer la jeune recrue par rapport à son premier contrôle sportif (CCPM) dont l'obligation est fixée en deuxième année.

Une évaluation initiale [tests de vitesse maximale aérobie (VMA) et de capacité musculaire générale (CMG)] est réalisée aussitôt après la catégorisation médicale à l'incorporation en deuxième semaine. La première séance de natation donne lieu également à une évaluation en vue de la détection des non nageurs qui doivent bénéficier d'un programme de mise à niveau spécifique. Ces évaluations initiales permettent la découverte des carences et se concrétisent par la réalisation de contrats d'objectifs individuels (si besoin) à atteindre en fin de FGI. Ces contrats initiaux doivent être établis en liaison avec un spécialiste d'E2PMS de la formation.

L'évaluation de la composante C en fin de FGI repose sur :

- la mesure des performances dans les trois aptitudes qui caractérisent la condition physique générale : l'endurance cardio-respiratoire, la capacité musculaire générale et l'aisance aquatique ;

- une appréciation, plus subjective, qui doit prendre en compte la motivation, le goût de l'effort, le comportement général ainsi que les progrès réalisés durant la FGI (contrat d'objectif initial).

Le dispositif d'évaluation proposé en fin de FGI permet l'établissement d'un contrat d'objectif individualisé, au moment de l'affectation en unité d'emploi dont le but est d'atteindre le niveau 3 CCPG avec un note minimale de 4/20 en aisance aquatique.

2.1.3. Règles de l'intervention pédagogique en éducation et entraînement physiques, militaires et sportifs.

Il s'agit de favoriser :

• la dynamisation des séquences d'apprentissage ;
  
• l'acquisition d'attitudes et de comportements adaptés ;
  
• la motivation et l'autonomie de la recrue.

Le détail des règles de l'intervention pédagogique en E2PMS est décrit dans la directive E2PMS pour les cadres non spécialisés issus des écoles de formation ⁽⁵⁾.

2.2. Mise en œuvre de l'instruction sur le tir au combat.

Le programme IST-C doit être mis en œuvre par un encadrement qualifié (moniteur et initiateur) sous couvert de la cellule spécialisée du CFIM.

3. Sanction de la formation.

3.1. Contrôle.

Un système d'évaluation continue, complété d'un contrôle final, mesure le niveau atteint par les jeunes engagés en fin de FGI. Il s'agit bien d'évaluer et non pas de sélectionner.

Ce système doit permettre de :

• vérifier l'assimilation des connaissances ;
  
• mesurer le niveau atteint par les MDR et recueillir les premiers éléments utiles pour leur orientation ultérieure ;
  
• évaluer la qualité de la formation.

La nature des épreuves et les coefficients sont fixés en appendice II.A. Les chefs de CFIM ont toute latitude pour organiser l'évaluation continue. En revanche, la réalisation des épreuves sportives est échelonnée en fin de FGI. Les barèmes des épreuves sportives applicables aux hommes et aux femmes sont définis par l'instruction relative au CCPM ⁽⁶⁾.

Le contrôle final, est effectué sous forme de rallye. Il comporte différents ateliers dont le tir à distance réelle du programme IST-C (TIR.B32 du module bravo).

Le contrôle individuel est complété par une note d'aptitude établie à l'aide d'une grille comportant différentes qualités à apprécier (cf. appendice II.B.). Cette note d'aptitude doit être la résultante d'une observation attentive et permanente du comportement de chaque recrue.

3.2. Attribution de l'attestation de fin de formation initiale militaire.

Le contrôle donne lieu à l'établissement d'une moyenne qui intervient dans l'attribution d'une attestation de fin de formation initiale militaire.

L'AFFIM (cf. appendice II.D.) est attribuée, immédiatement à l'issue de la FGI, par le chef du CFIM au MDR ayant une moyenne égale ou supérieure à 10 sur 20, sous réserve qu'il ait obtenu le certificat de compétences de citoyen de sécurité civile « prévention et secours civiques de niveau 1 » et qu'il soit certifié tireur IST-C au FAMAS.

L'attribution de l'AFFIM sanctionne l'assimilation du programme de la FGI. Elle confère l'appellation de « soldats des forces terrestres » au jeune engagé. Elle délivre une aptitude limitée à la projection à partir du septième mois de service sur des missions de très courte durée de type PROTERRE.

3.3. Attribution du certificat pratique.

Conformément au point 2.1.5. de l'instruction de référence, le certificat pratique (CP) sanctionne l'ensemble de la formation initiale. Le CP prend effet à la date du premier jour suivant la fin de la période probatoire ou à la date d'attribution lorsque celle-ci intervient en cours de renouvellement de la période probatoire. La note obtenue en FGI entre, à part égale, avec la note FSI dans le calcul de la moyenne du CP.

Le certificat pratique est attribué lorsque la moyenne FGI plus FSI est supérieure ou égale à 10 sur 20.

3.4. Gestion des échecs.

En cas d'échec à la FGI (moyenne des épreuves inférieure à 10), le chef de CFIM dispose de trois possibilités :

• rattrapage des épreuves qui ont fait l'objet de notes insuffisantes, après que l'engagé volontaire a bénéficié d'un suivi personnalisé avant la fin de la période probatoire ;
  
• redoublement de la FGI au sein du CFIM ou dans un autre organisme ;
  
• dénonciation de contrat du fait de l'autorité militaire. Cette procédure, s'appuyant sur la convocation du conseil de régiment, ne doit être mise en œuvre que pour les cas d'inaptitude à l'emploi dans une collectivité militaire.

4. Évaluation de l'action de formation.

4.1. Au sein de l'organisme qui a dispensé la formation.

L'évaluation directe est exercée par le commandant de l'organisme qui a dispensé la formation. Il rend compte, au commandement des forces terrestres (CFT), à l'état-major de la brigade ou au service de maintenance industrielle terrestre (SMITer) dont il dépend, des résultats nominatifs et quantitatifs.

4.2. Au sein du commandement des forces terrestres.

Le CFT et/ou le SMITer proposent à la sous-direction de la formation et des écoles de la direction des ressources humaines de l'armée de terre (DRHAT/SDFE) les évolutions de programme souhaitées.

5. Texte abrogé.

La circulaire n° 7532DEF/DRHAT/SDFE/BIF/FISO du 27 juillet 2010 relative à la formation générale initiale des engagés volontaires de l'armée de terre est abrogée.