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Archivé ÉTAT-MAJOR DE LA MARINE : division « opérations/logistique » ; bureau « soutien des bâtiments et formations à terre »

CIRCULAIRE N° 405/DEF/EMM/OPL/STN relative à l'immatriculation des véhicules militaires et à leur carte d'identité.

Abrogé le 30 novembre 2017 par : CIRCULAIRE N° 1720/ARM/EMM/MCO/LOGGEN relative à l'organisation générale du parc automobile de la marine (véhicules « métier marine ») et aux tableaux de dotations associés. Du 28 août 2003
NOR D E F B 0 3 5 2 1 2 3 C

1. Immatriculation militaire.

1.1. Généralités.

Tout véhicule automobile, toute remorque ou semi-remorque de poids total autorisé en charge supérieur à 500 kilogrammes reçoit un numéro d'immatriculation à 8 chiffres et doit être pourvu de plaques d'identité portant ce numéro. Porteurs et remorques ou tracteurs et semi-remorques doivent avoir des numéros matriculés et des cartes d'identité distinctes.

Le principe d'immatriculation des véhicules défini par l'instruction citée en référence a) est complété par les dispositions de l'annexe IV de la présente circulaire pour les véhicules de la marine.

Tous les numéros matricules des véhicules de la marine sont attribués par la division « opération/logistique » de l'état-major de la marine, bureau « soutien des bâtiments et des formations à terre » (EMM/OPL/STN).

1.2. Exceptions.

Ne sont pas immatriculés sous numéros à 8 chiffres, mais peuvent recevoir un numéro repère marine attribué par les autorités maritimes locales :

1.2.1.

Les remorques dont le poids total autorisé en charge est inférieur à 500 kilogrammes. Toutefois les remorques des véhicules tactiques sont immatriculées.

1.2.2. Les véhicules sur rail.

1.2.3.

Les appareils à usage industriel non fixés à demeure sur camion ou remorque routière :

  • les groupes moto-pompes et les dévidoirs directement montés sur pneus ou bandages pleins, à l'exception des moto-pompes remorquables qui seront toutes immatriculées ;

  • les groupes électrogènes mobiles, les groupes convertisseurs ou transformateurs mobiles et les postes de soudure montés directement sur pneus ou bandages pleins.

1.2.4. Les transporteurs mobiles ou chariots élévateurs.

1.2.5. Les tracteurs d'atelier.

1.2.6. Le matériel de terrassement à l'exception des camions à benne basculante.

1.2.7. Les matériels d'artillerie tractés.

1.2.8.

Les cyclomoteurs : un numéro repère marine doit être attribué dans certains territoires d'outre-mer pour répondre aux exigences de la réglementation civile locale.

2. Carte d'identité.

Une carte d'identité qui constitue la pièce officielle de propriété du véhicule, mentionne le numéro d'ordre, le numéro d'immatriculation, le numéro du châssis, la formation d'affectation, le tableau d'allocation de référence, la marque, le type, le code genre et la date de première immatriculation du véhicule.

Cette carte, de couleur blanche, est l'équivalent de la carte grise des véhicules civils. Elle n'est valable que si elle a reçu l'apposition du timbre sec de l'état-major de la marine (EMM).

2.1. Établissement de la carte d'identité.

Les cartes d'identité des véhicules sont établies automatiquement pour les véhicules achetés par l'échelon central à la confirmation par message de la réception du véhicule. Dans les autres cas, les demandes d'immatriculation et de cartes d'identité sont établies par les services détenteurs par courrier vers l'état-major. Pour éviter toute erreur de recopie ou d'interprétation, il est joint à ce courrier une copie du certificat de conformité et/ou du certificat de carrossage du véhicule.

Ces courriers sont ensuite transmis à l'état-major de la marine (EMM/OPL/STN) par l'intermédiaire des autorités territoriales locales.

2.2. Remplacement de la carte d'identité.

La carte d'identité doit être remplacée en cas de mutation du véhicule. A la réception du véhicule, l'ancien service détenteur fait parvenir à l'EMM (EMM/OPL/STN), la carte à modifier et toutes les indications permettant l'établissement de la nouvelle (copie de la décision de mutation). Il convient de veiller à ce que les mentions figurant au verso des cartes soient bien renseignées. Une carte détériorée est à renouveler dans les mêmes conditions en joignant une demande de renouvellement pour cause de détérioration. Une carte ne mentionnant pas le service détenteur est sans valeur.

En cas de perte de la carte, le véhicule ne doit plus circuler jusqu'à remplacement de ce document. Un compte rendu succinct mentionnant les résultats de l'enquête effectuée par la gendarmerie maritime locale doit être adressé dans les meilleurs délais à l'EMM (EMM/OPL/STN). Un procès-verbal de déclaration de perte de la carte d'identité du véhicule seront joint à la demande.

Le remplacement de la carte s'effectue dans les conditions suivantes :

  • EMM/OPL/STN attribue un nouveau numéro d'immatriculation correspondant à l'année en cours ;

  • la direction ou le service détenteur du véhicule communique l'ancien numéro à la gendarmerie maritime locale en tenant informée sont autorité organique ;

  • à la réception de la nouvelle carte, le véhicule est remis en circulation sous sa nouvelle immatriculation.

2.3. Retrait des cartes d'identité.

Lors de la réforme ou du déclassement d'un véhicule, sa carte d'identité est à retourner à l'EMM (EMM/OPL/STN) dans les meilleurs délais avec la copie de la décision de réforme correspondante. Une copie du bordereau de transmission est à adresser aux directions centrales intéressées pour la tenue à jour de leur fichier.

Les autorités ayant la compétence pour le déclassement des véhicules sont recensées par tableau d'allocation en annexe V.

3. Immatriculation civile.

3.1.

En plus de leur immatriculation militaire obligatoire, certains véhicules de liaison peuvent recevoir, pour des raisons de discrétion et de sécurité, des immatriculations civiles. Dans ce cas, les véhicules possèdent une double immatriculation.

3.1.1.

Une immatriculation civile apparente impliquant :

  • une carte grise ;

  • la « vignette » de taxe différentielle correspondant à la catégorie du véhicule ;

  • un certificat d'assurance apposé sur le pare-brise ;

  • éventuellement, un macaron de contrôle technique.

3.1.2.

Une immatriculation militaire sous le capot ou dans le coffre et la carte d'identité mécanographique.

3.2.

Les règles d'utilisation des véhicules automobiles des armées font l'objet de l'instruction citée en référence a).

Par ailleurs, l'instruction citée en référence b) définit les critères qui sont retenus pour l'attribution des voitures de fonction et des voitures de liaison affectées.

L'attribution d'une immatriculation civile relève d'une autorisation délivrée par le cabinet du ministre ; les demandes d'immatriculation civile sont centralisées par l'EMM (EMM/OPL/STN).

3.3.

Les modalités d'application des dispositions ci-dessus sont les suivantes :

3.3.1. Cartes grises.

Les véhicules des armées bénéficient de l'exemption des droits d'immatriculation.

Les demandes de cartes grises des véhicules immatriculés sont effectuées localement après accord de l'EMM (EMM/OPL/STN). Une copie de la carte grise est envoyée à EMM/OPL/STN.

En cas de remplacement, suivi ou non de réforme d'un véhicule portant une immatriculation civile, la carte grise correspondante est aussitôt renvoyée à la préfecture concernée en tenant le bureau EMM/OPL/STN informé.

3.3.2. Assurances.

L'affichage d'un certificat d'assurance sur tout véhicule doté d'une immatriculation civile de poids total autorisé en charge inférieur à 3,5 t est obligatoire. Les véhicules à immatriculation civile se classent en deux catégories :

  • véhicules de fonction : l'État est son propre assureur : le bénéficiaire est toutefois tenu de souscrire une assurance illimitée aux tiers et couvrant les risques de vol (y compris autoradio) et d'incendie pour tout usage non rattaché au service. Le certificat d'assurance délivré par la compagnie est alors affiché ; le véhicule est ainsi banalisé ;

  • véhicules non attribués (véhicules de l'administration centrale en réserve technique ou en réserve ministérielle) ou affectés bénéficiant par dérogation de l'immatriculation civile : l'État est son propre assureur. Aucune assurance n'ayant cependant été souscrite aucun certificat ne peut être en principe affiché.

Dans ce cas précis et dans le seul but de garantir l'anonymat du véhicule, un certificat d'assurance, remis par une compagnie agréée par la direction des assurances du ministère des finances et astreinte au secret en ce domaine, est alors affiché. Ce certificat est établi par le service automobile de l'administration centrale du ministère de la défense sur demande des autorités concernées transmise par l'EMM (EMM/OPL/STN).

3.3.3. Vignette de taxe différentielle.

Conformément au code des impôts, dans la marine, tout véhicule à immatriculation civile est soumis à une taxe différentielle annuelle (vignette).

Cette taxe n'est pas due lorsqu'un véhicule cesse en cours d'année d'être en situation de bénéficier d'une exonération (art. 306 de l'annexe II du code des impôts).

En conséquence, tout véhicule en immatriculation militaire qui reçoit une immatriculation civile durant la période d'imposition (1er décembre-15 août) est exonéré du paiement de la taxe pour l'année considérée.

Il faut cependant noter que l'exonération du paiement ne dispense pas de l'affichage de la vignette qui reste obligatoire.

Les véhicules soumis à une telle exonération peuvent disposer d'une vignette gratuite (demande à formuler auprès de l'hôtel des impôts du département).

Dans le cas des renouvellements, les dépenses résultant de l'obtention de ces vignettes sont imputées sur les crédits de fonctionnement mis en place localement au titre du soutien des forces (autorités maritimes) ou des directions et services (directeurs locaux).

3.3.4. Macaron de contrôle technique.

Les véhicules militaires de la gamme commerciale sont soumis au contrôle technique institué par l'arrêté du 18 juin 1991 (n.i. BO, JO du 18 juillet, p. 9473), dans les mêmes conditions que les véhicules civils.

Conformément à l'article 10 de l'arrêté précité, à l'issue de la visite technique, et lorsqu'une contre-visite n'est pas prescrite, un macaron est apposé par le contrôleur sur le côté droit du pare-brise du véhicule.

4. Textes abrogés.

Les textes suivants sont abrogés :

  • circulaire 296 /DEF/EMM/LOG/TAR du 04 décembre 1992 relative à l'immatriculation des véhicules militaires et à la carte d'identité ;

  • note-circulaire n170/DEF/EMM/LOG/TAR du 5 avril 1991 relative aux cartes d'identité des véhicules du service général ;

  • note-circulaire n105/DEF/EMM/OPL/STN du 10 janvier 1994 relative à l'immatriculation provisoire militaire W.

Pour la ministre de la défense et par délégation :

Le vice-amiral d'escadre, major général de la marine,

Alain OUDOT DE DAINVILLE.

Annexes

ANNEXE I. Prescriptions servant à l'établissement des cartes d'identité des véhicules automobiles.

1 Plan d'armement en véhicule.

Indiquer la direction ou le parc d'appartenance du véhicule.

2 Région maritime.

Indiquer la région maritime d'affectation du véhicule.

3 Affectation

ou formation utilisatrice finale.

4 Genre.

Les véhicules devront être classés dans l'une des catégories et sous-catégories du code des genres de véhicules (ANNEXE II).

Tout changement de genre sera signalé à l'état-major de la marine (et à la direction intéressée).

Certaines modifications de genre entraînant le changement d'immatriculation (ex. ambulance transformée en camionnette). L'état-major de la marine établira de nouvelles cartes d'identité le cas échéant.

5 Type.

La désignation du véhicule doit être faite d'après son appellation commerciale. Il ne sera pas délivré de carte d'identité pour les véhicules dont le type indiqué ne correspondrait pas à un type existant.

Au cas où la plaque du constructeur portant indication du type aurait disparue, il appartiendrait au centre automobile chargé du véhicule de la faire identifier par un organisme compétent.

6 Marque.

7 Année de fabrication.

Indiquer le mois et le millésime en entier.

8 Charge utile

(utilitaire seulement).

Très importante pour désigner le code genre du véhicule.

En kilogrammes pour les camionnettes.

En tonnes pour les camions.

Pour les autocars, indiquer ici le nombre de places y compris les strapontins.

Pour les camions-citernes, indiquer la nature du liquide et la capacité.

9 PTAC

(poids total autorisé en charge).

En kilogrammes pour les camionnettes.

En tonnes pour les camions.

10 PTR

(poids total roulant).

PTRA (poids total roulant autorisé).

Pour les véhicules tractant une remorque, indiquer le tonnage maximum susceptible d'être remorqué.

11 Carburant.

Les indications à porter sont les suivantes :

Essence : E.

Gazole : GO.

Électricité : EL.

Gaz de pétrole liquéfié : GPL.

Sans carburant : S (cas des remorques).

12 Voltage.

13 Numéro chassis.

Numéro dans la série du type.

Joindre une copie du certificat de conformité et/ou du certificat de carrossage du véhicule.

14 Équipements particuliers.

Nombre de roues, d'essieux, treuil, etc.

ANNEXE II. Code genre.

Catégorie.

Sous-catégorie.

Abréviation.

Numéro de code genre.

Observations.

Motocyclettes.

Solo.

MOT

01

Indiquer la cylindrée.

  

02

 

Triporteur.

TRI

03

Indiquer la cylindrée.

  

04

 

Scooters.

S

05

 

Voitures de liaison.

Grande liaison.

VGL

10

Puissance égale ou supérieur à 8 CV.

Ordinaire.

VL

11

Puissance inférieure à 8 CV.

Monospace, monocorps.

MONOS

Transport de personnel de 7 à 9 places.

TP

12

 

École de conduite.

EC

13

Double commande.

Break, combi 5 places.

Bk

COMBI

14

 

VL tous chemins.

VLTC

15

 

VL poste de commandement.

VLPC

Véhicules de santé léger (ou VSL 4x4).

VSL

16

 

Véhicule radio-médicalisé.

VRM

VL de servitude.

VLS

17

 

VL de liaison pour marins pompiers.

VL

18

 

Véhicule léger pour section nucléaire bactériologique et chimique (NBC).

VLNBC

VLRAD

19

 

Fourgonnettes et camionnettes de poids total autorisé en charge inférieure ou égale à 3,5 t.

Camionnettes de charge utile (CU) supérieure à 1 tonne.

Cm

20

Abréviation VTU pour les compagnies de marins pompiers et les services sécurité des formations à terre.

Fourgonnettes de charge utile (CU) inférieure à 1 tonne.

Fg

21

 

Véhicule aménagé.

VA

22

Véhicules starter de dépiégeage. Bureaux mobiles, ateliers mobiles, fourgonnettes frigorifiques.

Véhicule secours d'urgence aux asphyxiés et victimes.

VSAV

23

 

Véhicule d'intervention radioactivité ou radiologique.

VLRAD

VIRAD

24

 

Véhicule d'intervention risque technologique.

VRT

Véhicule de piste.

VP

25

 

Camionnette réglementé pour le transport de matières dangereuses.

CmRTMD

26

 

Tous chemins.

CmTC

27

 

Véhicule de 1re intervention.

VPI

28

 

Poste de commandement mobile.

PCM

29

 

Camions de PTAC supérieur à 3,5 t utilitaires et spécialisés.

Camion routier, ridelles bâché ou carrossé, porte-cellule.

CM

30

Indiquer PTAC.

Camion d'intervention NBC.

C NBC

31

 

Véhicule d'intervention risque technologique.

VIRT

32

 

Transmission radio.

TR

33

 

Camion-citerne léger feux de forêt.

CCFL

34

 

Citerne feux de forêt.

CCF

35

 

Camion réglementé pour le transport de matières dangereuses.

CMRTMD

36

 

Camion tous terrains.

CMTT

37

 

École de conduite.

EC

38

Double commande.

Isotherme, frigorifique.

IF

39

 

Transports en commun.

10 à 19 places.

AC

40

 

20 à 39 places.

AC

41

 

40 places et plus.

AC

42

 

Autobus.

Bus

43

 

Autocar, autobus aménagé.

ACA

44

Double commande, aménagement PC.

Véhicules sanitaires.

Sanitaire routière.

Ambulance

45

 

Ambulances de secours et soins d'urgence.

ASSU

46

 

Sanitaires tous chemins.

ATC

47

 

Camions spécialisés.

Citerne incendie lourd.

CCIL

48

 

Poubelle.

P

49

 
 

Benne.

B

50

 
 

Véhicule d'intervention rapide « poudre-mousse ».

VIRPM

51

 
 

Véhicules à projection simultanée.

VIMPS

 

Fourgon pompe tonne.

FPT

52

 
 

Citerne incendie.

CCI

53

 
 

Citerne eau ou vin.

C

54

Préciser la nature du liquide et la capacité.

 

Citerne combustible ou lubrifiant.

C

55

Préciser la nature du liquide et la capacité.

 

Fourgon pompe tonne léger.

FPTL

56

 
 

Fourgon mousse grande puissance.

FMOGP

57

 
 

Citerne à mousse pour intervention rapide des bases aéronautiques navales (BAN).

CCIMR

 

Véhicule d'intervention massive.

VIM

 

Échelle ou nacelle automatique de 30 mètres.

EPA 30

58

 
 

Échelle pivotante semi-automatique.

EPS

 

Fourgon d'éclairage et de ventilation et de désincarcération.

FEVD

59

 
 

Dépannage.

D

60

 
 

Atelier.

CA

61

 
 

Véhicule d'intervention rapide à mousse pour BAN.

VIRAM

62

 
 

Fourgon pompe dévidoir.

FPD

63

 
 

Grue automobile puissance inférieure ou égale à 10 tonnes.

G

64

Indiquer la puissance de levage.

 

Grue automobile puissance supérieure à 10 tonnes.

G

65

Indiquer la puissance de levage.

 

Balayeuse de piste.

 

66

 
 

Véhicule amphibie.

VA

67

 
 

Camion-citerne avitailleur à débit filtré et mesuré.

 

68

 
 

Camion de première intervention.

PI

69

 

Tracteurs.

Routier pour semi-remorque.

TR

70

Indiquer le poids total roulant autorisé (PTRA).

Agricole.

TA

71

 

Routier ravitailleur pour semi-remorque combustible.

TRA

72

 

Routier réglementé pour le transport de matière dangereuse.

TR ADR

Léger aérodrome.

TLA

73

 

Moyen aérodrome.

TMA

74

 

Routier auto-école.

TRAE

75

 

Remorques et semi-remorques.

Motopompe remorquable.

MPR

76

 

Dévidoir remorquable.

DR

77

 
 

Échelle remorquable de 18 mètres.

ER

78

 
 

Remorque agricole.

 

79

 
 

Remorque pour embarcation pneumatique.

REP

80

 
 

Remorque pour bateau léger de sauvetage.

RBLS

 

Remorque porte-touret.

 

81

 
 

Remorque de décontamination.

RD

82

 
 

Remorque et semi-remorques réglementés pour le transport de matières dangereuses.

Rem ADR

83

 
 

Remorque à balise de surveillance de l'environnement.

RBSE

 

Remorque de Jeep.

RJ

84

 
 

Remorque et semi-remorque commandement et casernement.

 

85

 
 

Remorque, semi-remorque porte-chars ou aéronefs.

 

86

 
 

Semi-remorque plateau à ridelles, fourgon.

SR

87

CU de 10 tonnes et plus.

 

Semi-remorque plateau à ridelles, fourgon.

SR

88

CU de moins de 10 tonnes.

 

Remorque plateau à ridelles, fourgon.

R

89

CU de 10 tonnes et plus.

 

Remorque plateau à ridelles, fourgon.

R

90

CU de moins de 10 tonnes.

 

Remorque, semi-remorque citerne eau ou vin.

 

91

Préciser la nature du liquide et la capacité.

 

Remorque, semi-remorque citerne combustible.

 

92

Préciser la nature du liquide et la capacité.

 

Remorque, semi-remorque transmission.

RTRANS

93

Préciser radio, radiolocalisation, radar.

 

Remorque, semi-remorque citerne tous usage.

 

94

Préciser la capacité.

 

Remorque, semi-remorque atelier.

 

95

 
 

Remorque et semi-remorque groupe électrogène, convertisseur, redresseur de charge.

 

96

 
 

Remorques et semi-remorque laboratoire, station mobile d'essais.

 

97

 
 

Remorqueur et semi-remorque avitailleuse à débit filtré et mesuré.

 

98

 
 

Remorques diverses ou engins remorquables.

KMR

99

 

Nota. - Pour les codes relatifs au matériel de sécurité, se référer au répertoire de l'instruction sur le gros matériel de sécurité des formations à terre.

 

ANNEXE III. Correspondance entre segment d'emploi et codes genre des véhicules.

Segment d'emploi.Référence. Demande de renouvellement.Référence gamme commerciale.Code. Genre marine.Observations.
VA 1VUG 5.H.10Véhicule de grande liaison (de fonction).
VA 2VUG 4.M 2.11Véhicule de liaison (affecté ou de fonction).
VA 3VUG 3.M 1.Véhicule de liaison (contingent ou affecté).
VL 4VUG 7.Monospace.Véhicule de liaison (contingent).
VUG 6.Monocorps.
VL 5VUG 10 C.Camionnette combi.12Véhicule 9 places dérivé d'utilitaire.
VL 3VUG 3 B.M 1.14Véhicule 5 places carrosserie break dérivé du segment M 1.
VUG 4 B.M 2.Véhicule 5 places carrosserie break dérivé du segment M 2.
VL 2VUG 1.B 1.17Véhicules 5 places.
 VUG 2.B 2.
VU 2VUG 10.Camionnette.20Véhicule utilitaire de CU > 1 tonne. PTAC < 3,5 t.
VU 2VUG 9.Fourgonnette.21Véhicule utilitaire de CU < 1 tonne. PTAC < 3,5 t.
VL 1VUG 8 C.Fourgonnette combi.14Véhicule polyvalent 5 places dérivé de petit utilitaire.
VU 1VUG 8.Fourgonnette.21Véhicule utilitaire de CU < 1 tonne.
 

Table 1. Véhicules de transport en commun.

Segment d'emploi.Code. Genre marine.Observations.
TC 140Transport en commun, autocar de 10 à 19 places.
TC 241Transport en commun, autocar de 20 à 29 places.
TC 341Transport en commun, autocar de 30 à 39 places.
TC 442Transport en commun, autocar de plus de 40 places.
TC 543Transport urbain, autobus de grande capacité.
 

Table 2. Véhicules poids lourds.

Segment d'emploi.Code. Genre marine.Observations.
PL 130Transport de matériel de charge utile de 2 à 5 tonnes.
PL 230Transport de matériel de charge utile de 5 à 10 tonnes.
PL 330Transport de matériel de charge utile de 10 à 18 tonnes.
PL 470Transport de matériel. Camion tracteur de semi-remorque.
 

Table 3. Véhicules industriels.

Segment d'emploi.Code. Genre marine.Observations.
VI 122Camionnette frigorifique.
VI 239Camion frigorifique.
VI 349Benne à ordures ménagères.
VI 449Lave-conteneur.
VI 550Benne.
VI 622Camionnette de dépannage.
VI 760 Camion de dépannage (plateau).
VI 871Tracteur agricole.
 

ANNEXE IV. Plaques minéralogiques.

Pour les véhicules appartenant à la marine, une ancre de marine peinte en noir doit apparaître sur l'insigne tricolore de la plaque minéralogique, être axée sur le blanc et déborder légèrement sur les couleurs bleue et rouge.

L'insigne reproduit par sérigraphie sur support adhésif (1) doit être conforme au modèle ci-dessous :

Figure 1. Insigne.

 image_20943.JPG
 

Notes

    1La première diffusion de cet autocollant vers les services automobiles a été assurée par l'EMM (EMM/OPL/STN). Les approvisionnements ultérieurs seront réalisés localement.

ANNEXE V. Autorités ayant la compétence pour le déclassement des véhicules.

Tableau d'allocation.

Autorités ayant la compétence pour le déclassement des véhicules.

Parc des formations de la marine.

Autorité territoriale (1).

Véhicules de santé.

Autorité territoriale (1).

Véhicules des bâtiments de surface, des flottilles et escadrilles de l'aéronautique navale.

Autorité territoriale (1).

Véhicules des organismes extérieurs à la direction du personnel militaire de la marine.

Direction du personnel militaire de la marine (DPMM).

Véhicules des services de surveillance radiologique.

État-major de la marine, bureau « affaires nucléaires/environnement/hygiène et sécurité des conditions de travail » (EMM/NUC/ENV).

Véhicules de la gendarmerie maritime.

Commandement de la gendarmerie maritime (COMGENDMARINE PARIS).

Véhicules de secours et de lutte contre l'incendie.

Commandement de la zone, la région maritime Méditerranée, division « sécurité-environnement » (CECMED/SECU/ADG).

Véhicules du service de soutien de la flotte.

Direction central e du service de soutien de la flotte (DCSSF) (2).

Véhicules tactiques à roues des fusiliers marins et des commandos marine.

Commandement de la force maritime des fusiliers marins et commandos (ALFUSCO).

Véhicules du service hydrographique et océanographique de la marine.

Direction du service hydrographique et océanographique de la marine (DIRSHOM).

Véhicules d'intervention des groupes plongeurs démineurs et des groupes d'interventions NEDEX.

Commandement de la force d'action navale, expert pour la guerre des mines et la plongée humaine [ALFAN MINES (ADG NEDEX)].

Véhicules du commissariat de la marine.

Direction centrale du commissariat de la marine (DCCM) (3).

Véhicules du service technique des travaux immobiliers et maritimes.

Direction centrale des travaux immobiliers et maritimes (DCTIM) (4).

Véhicules du service des systèmes d'information de la marine.

Direction centrale des systèmes d'information de la marine (DCSIM) (5).

Véhicules du service de l'aéronautique navale.

Direction du service d'approvisionnement en matériel de l'aéronautique navale (SAMAN).

(1) Bases navales si délégations.

(2) Services locaux si délégations.

(3) Services locaux si délégations.

(4) Services locaux si délégations.

(5) Services locaux si délégations.