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Archivé COMMANDEMENT DE LA FORMATION DE L'ARMÉE DE TERRE : division enseignement formation ; bureau coordination

CIRCULAIRE N° 12356/DEF/COFAT/DEF/B/COORD/FORM relative à la formation de spécialité élémentaire des militaires du rang du domaine de spécialités sécurité.

Abrogé le 26 janvier 2010 par : DÉCISION N° 270454/DEF/RH-AT/SDFE/IF/FORM/MDR portant abrogation de textes. Du 06 octobre 2003
NOR D E F T 0 3 5 2 5 2 4 C

Référence(s) : Instruction N° 953/DEF/EMAT/BPRH/EG/NO du 19 juin 2000 relative à la formation individuelle des militaires du rang sous contrat.

Circulaire n° 900/DEF/COFAT/DEF/BFG/FI/S/OFF/EVAT du 19 janvier 1999 (BOC/PA, p. 1719) modifiée.

Directive générale provisoire n° 1300/DEF/EMAT/PRH/PEG du 29 juillet 1999 (n.i. BO) modifiée.

Pièce(s) jointe(s) :     Six annexes et quinze appendices.

Classement dans l'édition méthodique : BOEM  630.2.23.4.

Référence de publication : BOC, 2003, p. 6899.

Préambule.

Cette circulaire a pour objet de définir le cadre d'exécution de la formation de spécialité élémentaire (FSE) des militaires du rang (MDR) du domaine de spécialités sécurité (SEC). Elle fixe le programme de la FSE et les modalités de contrôle. Elle précise, en outre les conditions d'attribution du certificat technique élémentaire (CTE) et les modalités de mise en formation.

1. Le cadre général.

1.1. Le but.

Définie par la directive générale provisoire de troisième référence, la formation de spécialité élémentaire (FSE) est le point de départ de la véritable spécialisation.

Dans la continuité de la formation de spécialité initiale (FSI), elle vise à faire acquérir les compétences nécessaires pour occuper un emploi de niveau 12, dans le cadre de la mission de l'unité d'appartenance.

1.2. Les généralités.

1.2.1. Cas général.

La FSE est précédée d'une évaluation des acquis professionnels, correspondant à une période de mise en situation dans l'emploi, d'une durée minimale de six mois après l'obtention du certificat pratique (CP). Sa durée est variable selon la nature de filière, voire les options.

Elle est sanctionnée par l'attribution du certificat technique élémentaire.

1.2.2. Cas de la filière sapeurs-pompiers de Paris.

Conformément aux attributions fixées par l'instruction de première référence, le général commandant la brigade de sapeurs-pompiers de Paris (BSPP) est responsable des certificats spécifiques à la formation de son personnel.

Dans le cadre des principes énoncés par cette instruction, il définit la préparation, l'organisation, le contenu, la nature des épreuves et les coefficients.

Il désigne le personnel autorisé à suivre la FSE et prononce les dérogations et exemptions totales ou partielles.

1.2.3. Cas de la légion étrangère.

Conformément aux attributions fixées par l' instruction 950 /DEF/EMAT/EP/L du 25 juin 1984 (BOC, p. 3448), le général commandant la légion étrangère est responsable des aménagements relatifs à l'organisation générale de la formation, imposés par la spécificité du recrutement et le statut particulier des militaires servant à titre étranger.

2. Les conditions d'accès.

2.1. Cas général.

Le candidat à la FSE devra être titulaire du CP de la nature de filière considérée et posséder une certaine pratique professionnelle (6 mois au moins à compter de la date d'attribution du CP). Le nombre de présentations est limitée à deux. Aucun lien au service n'est exigé à l'issue de la FSE.

2.2. Cas particuliers.

Le candidat à la FSE « risques naturels », « risques technologiques » ou « chef d'équipe pompiers des forces terrestres » doit être titulaire du « certificat de formation aux activités de premiers secours en équipe » (CFAPSE) en cours de validité.

Pour répondre aux besoins des interventions, les unités de valeur (UV) des FSE « risques naturels » et « risques technologiques » peuvent être suivies dès la fin de la FSI (aspect juridique).

Le candidat à la FSE « chef d'équipe sapeurs-pompiers de Paris » doit être titulaire du CP « sapeurs-pompiers de Paris » (SPP) et le nombre de présentations est limité à 3.

3. Les principes pédagogiques.

3.1. Le style de commandement.

Les cadres formateurs doivent impérativement appliquer le style de commandement prescrit par la circulaire de deuxième référence. Ils devront être exemplaires, soucieux du respect de la dignité humaine et ils chercheront aussi à responsabiliser les militaires du rang (MDR) en encourageant les initiatives. Il s'agit d'inculquer aux MDR, au-delà des règles fondamentales de rigueur, de disponibilité et d'ouverture d'esprit, les principes de comportement militaire indispensables à l'exercice de leur fonction :

  • l'engagement individuel ;

  • le souci du compte rendu ;

  • le professionnalisme ;

  • l'esprit d'équipe.

3.2. La pédagogie.

Indissociable du style de commandement, la pédagogie à mettre en œuvre est décrite dans le TTA 193.

Les formateurs doivent ainsi employer les procédés adaptés aux savoir-être et savoir-faire à acquérir, afin d'atteindre les objectifs fixés en fin de formation.

L'instruction doit être dispensée de manière la plus réaliste possible. Elle vise notamment à mettre les MDR dans les conditions de leur service quotidien. En outre, un effort sera porté sur l'étude de cas concrets, dans laquelle la réflexion des stagiaires sera guidée par les témoignages des instructeurs.

Le respect des règles de sécurité sera omniprésent pendant toute la période de formation.

4. L'objectif et le contenu.

4.1. L'objectif.

L'objectif de la FSE est de former les MDR dans le domaine de spécialités sécurité, leur permettant ainsi de tenir un emploi de niveau 12 au sein d'une unité susceptible d'être engagée en opérations ou en interventions.

4.2. Le contenu.

Le volume horaire disponible est de trente-huit heures par semaine. Le contenu détaillé des FSE figure en appendices III.A à III.D.

5. Le contrôle individuel.

5.1. Le principe.

Afin de mesurer le niveau atteint par les MDR, il est institué un système d'évaluation continue associé à un contrôle final. Ce système a un triple but :

  • vérifier l'assimilation des connaissances ;

  • mesurer le niveau atteint par les MDR et recueillir les premiers éléments utiles pour leur orientation ultérieure ;

  • évaluer la qualité de la formation.

Une note d'aptitude vient compléter ce dispositif.

5.2. Les modalités.

5.2.1. Cas général.

Une grille détaillant la nature des épreuves et les systèmes de notation est proposée en appendices IV.A à IV.D. Les évaluations continues sont organisées en fonction de la progression hebdomadaire.

En revanche, la réalisation des épreuves sportives (APPENDICE IV.E) est échelonnée au cours des deux dernières semaines.

Les barèmes des épreuves sportives applicables aux hommes et aux femmes figurent en appendice IV.F.

Le contrôle final sera effectué selon les modalités définies en appendices IV.A à IV.D.

La note d'aptitude est établie à l'aide d'une grille type comportant différentes qualités à apprécier (cf. APPENDICE IV.G). Cette note d'aptitude résulte d'une observation attentive et permanente, par l'encadrement, du comportement de chaque candidat. Une note d'aptitude inférieure à 7 sur 20 est éliminatoire.

Le contrôle donne lieu à l'établissement d'une moyenne qui permet d'attribuer ou non le CTE sanctionnant la FSE. Une feuille individuelle de résultats est proposée en appendices IV.H à IV.K.

5.2.2. Cas de la filière sapeurs-pompiers de Paris.

S'agissant de la FSE « chef d'équipe sapeurs-pompiers de Paris », l'évaluation du niveau atteint en formation physique militaire et sportive est effectuée à partir des résultats obtenus aux épreuves du dernier contrôle obligatoire de la valeur et de l'aptitude physique individuelle (COVAPI).

La FSE « chef d'équipe sapeurs-pompiers de Paris » fait l'objet d'un contrôle continu et d'un contrôle final dont les modalités et les coefficients sont définis par le général commandant la BSPP.

5.2.3. Cas de la filière sécurité civile.

Le contrôle des UV des FSE « risques naturels » et « risques technologiques » est effectué selon les prescriptions des guides nationaux de référence de formation sapeurs-pompiers cités en annexe VI.

6. Le certificat technique élémentaire.

6.1. L'attribution du certificat.

Le certificat technique élémentaire (CTE) est attribué par le commandant de la formation dans laquelle s'est déroulé l'examen.

Est déclaré titulaire du CTE, tout MDR ayant une moyenne supérieure ou égale à 10 sur 20 sans note éliminatoire.

Pour les certificats de la filière sécurité civile, la réussite à toutes les UV est exigée selon les modalités fixées en appendices IV.B et IV.C.

6.2. Les mentions.

Les titres des certificats se voient assortis d'une mention déterminée selon le barème précisé ci-dessous :

TRES BIEN : note moyenne générale de 16 à 20.

BIEN : note moyenne générale de 14 à 16 exclu.

ASSEZ BIEN : note moyenne générale de 12 à 14 exclu.

Sans mention : note moyenne générale de 10 à 12 exclu.

6.3. Les notes éliminatoires.

Les notes éliminatoires pour l'attribution du CTE sont définies comme suit :

  • note d'aptitude inférieure à 7 sur 20 ;

  • note inférieure à 10 sur 20 pour les épreuves ou sous-matières engageant la sécurité ;

  • note inférieure à 6 sur 20 pour chacune des épreuves ou sous-matières n'engageant pas la sécurité.

6.4. La gestion des échecs.

En cas de résultats insuffisants, la commission d'examen peut décider du redoublement d'un candidat ; dans le cas d'un deuxième échec, il appartient au chef de corps de réorienter les MDR concernés en fonction des examens détenus et conformément aux directives annuelles de gestion.

7. La mise en formation.

7.1. Pour les formations de spécialités élémentaires décentralisées.

Les FSE « chef d'équipe sapeurs-pompiers de Paris », « risques naturels » et « risques technologiques » étant mise en œuvre dans les unités, la mise en formation est réalisée au sein de chaque corps selon les modalités précisées par le chef de corps.

7.2. Pour la formation de spécialité élémentaire centralisée.

La FSE « chef d'équipe pompiers des forces terrestres » est centralisée et dispensée par le groupement de camp de Canjuers. La mise en formation est réalisée au sein de cet organisme selon les modalités précisées ci-après.

A étant l'année de formation, les régiments « demandeurs » expriment leur besoin en mars A — 2 à la région terre (RT) qui fait la synthèse des besoins exprimés pour la totalité de sa zone de compétence.

En mai A — 2, les RT adressent au commandement de la formation de l'armée de terre (CoFAT) pour action (groupement de camp de Canjuers pour information) leur besoin en formation pour l'action de formation concernée.

En mars A— 1, les RT fournissent les données définitives au CoFAT pour inscription au calendrier des actions de formation (CAF) de l'année A.

Entre mars et juin A — 1, le groupement de camp de Canjuers prépare le CAF en liaison avec le CoFAT.

En juillet A — 1, le CoFAT fait paraître le CAF.

En octobre A — 1, les éventuelles corrections sont présentées au CoFAT pour inscription au CAF rectifié de l'année A.

En novembre A — 1, le CoFAT fait paraître le CAF rectifié. Par la suite, le groupement de camp de Canjuers adresse aux RT (CoFAT pour information) la lettre annuelle sur la formation des spécialistes du domaine de spécialités sécurité pour l'année A, en précisant la répartition des places par session et par RT.

Cette lettre annuelle est amendée, autant que nécessaire, par des modificatifs bimestriels paraissant en décembre A — 1, février A, avril A, août A et octobre A.

Dans l'éventualité où un différend ne pourrait pas être réglé entre le groupement de camp de Canjuers et la RT, les parties saisissent le CoFAT qui rend un arbitrage.

Quinze jours avant le début du stage, les RT adressent au groupement de camp de Canjuers (CoFAT pour information) la liste nominative des stagiaires retenus pour la session. Cette liste vaut décision d'admission en formation (DAF).

8. L'évaluation de l'action de formation.

8.1. Au sein de l'organisme de formation ou du corps.

L'évaluation directe est exercée par le commandant de la formation qui a dispensé l'enseignement. A ce titre, il approuve le programme détaillé découlant de la présente circulaire.

Il communique la planification des stages, rend compte des résultats obtenus, du déroulement du stage et des évolutions envisageables en matière de programme aux organismes suivants :

  • la RT pour la FSE « chef d'équipe pompiers des forces terrestres » ;

  • le COMFORMISC pour les FSE « risques naturels » et « risques technologiques ».

8.2. Au sein de la région terre, du commandement des formations militaires de la sécurité civile et de la brigade des sapeurs-pompiers de Paris.

A partir des comptes rendus adressés par les formations, un contrôle a posteriori sera exercé par les RT (FSE « chef d'équipe pompiers des forces terrestres »)et le COMFORMISC (FSE « risques naturels » et « risques technologiques ») en vue d'un suivi quantitatif et qualitatif.

Les RT, le commandement des formations militaires de la sécurité civile (COMFORMISC) et la BSPP adressent au commandement de la formation de l'armée de terre les évolutions qu'ils estimeraient souhaitables.

9. Les équivalences.

9.1. Diplômes civils.

Les MDR détenteurs d'un diplôme civil équivalent de la spécialité dans laquelle ils sont employés, peuvent, après avoir fait la preuve de leur qualification, être déclarés titulaires du CTE de la même spécialité ou d'une des UV de la FSE « risques technologiques ».

Pour que le chef de corps de l'unité d'affectation puisse prononcer l'attribution du CTE ou d'une UV, les trois conditions suivantes doivent être satisfaites. Le MDR doit :

  • être titulaire de l'un des diplômes mentionnés en annexe V dont la liste, fixée par le pilote du domaine de spécialités SEC et révisable annuellement, est entérinée par le CoFAT ;

  • être employé dans la spécialité correspondante ;

  • subir une période de vérification d'aptitude de six mois à compter de la date d'attribution du CP sanctionnant sa formation initiale.

En ce qui concerne l'attribution du CTE « risques technologiques », et pour répondre aux besoins des interventions, le candidat titulaire par équivalence d'une UV acquise antérieurement, peut suivre la formation liée à la deuxième UV dès la fin de la FSI (aspect juridique).

9.2. Cas du militaire du rang titulaire d'un diplôme non répertorié pour une équivalence.

Si un chef de corps estime qu'un diplôme, détenu par un MDR et non référencé sur la liste arrêtée en annexe V, peut néanmoins être admis en équivalence à un CTE, il est autorisé à saisir le pilote du domaine de spécialités SEC (CoFAT pour information), pour valider cette équivalence.

Le pilote du domaine de spécialités SEC est habilité à se prononcer sur l'acceptation de l'équivalence. Il peut également exiger de faire passer un examen de vérification d'aptitude à l'intéressé, selon une procédure qu'il définit.

Le pilote du domaine de spécialités SEC fait entériner l'équivalence par le CoFAT en proposant une modification de l'annexe V.

9.3. Cas du militaire du rang non titulaire d'un diplôme répertorié pour une équivalence mais disposant d'une expérience professionnelle.

Cette mesure ne s'applique qu'aux FSE qui font l'objet d'une attribution de CTE ou d'UV par équivalence (cf. ANNEXE V). En outre, le MDR doit pouvoir faire la preuve qu'il a suivi une formation de type sapeur-pompier et qu'il a été employé dans un service de secours aux personnes ou de lutte contre l'incendie, avec un nombre d'heures effectives à son actif de lutte contre le sinistre.

Le chef de corps peut délivrer le CTE après une période de mise en situation dans l'emploi, d'une durée au moins égale à six mois après l'obtention du CP, augmentée de la durée de la FSE concernée. Cette mise en situation sera précédée d'un bilan professionnel réalisé au sein du corps et sur la base des compétences à détenir en fin de FSE, dont le but sera de préciser l'expérience professionnelle acquise. A l'issue de ce bilan, la mise en situation professionnelle sera mise à profit pour étudier les parties de programmes non maîtrisée par le MDR.

Il conviendra de s'appuyer sur le programme détaillé de la FSE concernée (cf. APPENDICE III.B et APPENDICE III.C) et sur ses modalités d'évaluation (cf. APPENDICE IV.B et APPENDICE IV.C) pour effectuer le contrôle des connaissances et des savoir-faire.

Nota.

Dans tous les cas cités au présent chapitre, les diplômes civils de secourisme exigés pour l'obtention du CTE devront être détenus par le candidat.

9.4. Suivi des préformés.

Le chef de corps mettra les moyens qu'il jugera nécessaires à l'accompagnement, au suivi et à la notation des MDR recrutés ou réputés préformés (décrits aux points 9.1, 9.2 et 9.3), pendant la période de vérification d'aptitude.

Au terme de celle-ci, il décidera de l'attribution de tout ou partie du CTE par équivalence avec une note comprise entre 10 et 15 sur 20.

Le général, commandant de la formation de l'armée de terre,

Michel POULET.

Annexes

ANNEXE I. Glossaire des sigles.

AFPS

Attestation de formation aux premiers secours.

ARI

Appareil respiratoire isolant.

BNMPS

Brevet national monitorat premiers secours.

BRECCH

Brevet de caporal-chef.

BSPP

Brigade de sapeurs-pompiers de Paris.

CCGI

Certificat de chef de garde incendie.

CCOT

Centre de coordination des opérations et des transmissions.

CFAPSE

Certificat de formation aux activités de premiers secours en équipe.

CFAPSR

Certificat de formation aux activités de premiers secours routier.

CME

Certificat militaire élémentaire.

CMIR/C

Cellule mobile intervention radiologique/chimique.

COD 1/2

Formation à la conduite route/tout chemin.

CFC

Centre de formation des cadres.

CP

Certificat pratique.

CP SPP

Certificat pratique sapeur-pompier de Paris.

CVA

Certificat de valeur.

E2PMS

Éducation et entraînement physiques militaires et sportifs.

ERP

Établissement recevant du public.

FA

Formation d'adaptation au milieu.

FCM

Formation à la conduite militaire.

FDF

Feux de forêt.

FDF 1

Formation feux de forêts premier niveau.

FGI

Formation générale initiale.

FSI

Formation de spécialité initiale.

IMP

Intervention en milieu périlleux.

INC 1/2

Formation incendie équipier/chef d'agrès.

SEC

Sécurité.

SFE

Savoir-faire élémentaires.

SFG

Savoir-faire généraux.

SDE 1/2/3

Sauvetage déblaiement niveau 1 (équipier)/2 (chef de groupe)/3 (chef de sec-tion).

RAD 1/2/3

Risques radiologiques niveau 1 (équi. reco.)/2 (équi. interv.)/3 (chef de CMIR).

RCH 1/2/3

Risques chimiques niveau 1 (équi. reco.)/2 (équi. interv.)/3 (chef de CMIC).

SDIS

Service départemental d'incendie et de secours.

UIISC

Unités d'instruction et d'intervention de la sécurité civile.

VIC

Véhicule incendie des camps.

VIP

Véhicule incendie polyvalent.

ANNEXE II. Descriptif des formations de spécialité élémentaire du domaine de spécialités sécurité.

Pilote du domaine de spécialités sécurité : général commandant l'école supérieure et d'application du génie.

Filières.

Intitulé des FSE.

Durée.

Mode.

Localisation.

Sapeurs-pompiers de Paris.

Chef d'équipe sapeurs-pompiers de Paris.

4 semaines et 5 jours.

Décentralisé.

BSPP/CFC.

Fort de la Briche.

Sécurité civile.

Risques naturels.

1 semaine et 4 jours.

Décentralisé.

UIISC.

Risques technologiques.

2 semaines et 4 jours.

Décentralisé.

UIISC.

Pompiers des forces terrestres.

Chef d'équipe pompiers des forces terrestres.

3 semaines et 4 jours.

Centralisé.

Groupement de camp de Canjuers.

 

ANNEXE III. Programme détaillé des formations de spécialité élémentaire du domaine de spécialités sécurité.

APPENDICE III.A. Programme détaillé de la formation de spécialité élémentaire « chef d'équipe sapeurs-pompiers de Paris ».

Objectifs.

Programme, volume horaire.

COMPOSANTE A.

FORMATION AU COMPORTEMENT MILITAIRE.

19 heures (10 p. 100).

Buts :

  • connaître les textes fondamentaux de la BSPP ;

  • développer les qualités pédagogiques des gradés en unité.

Connaissance des textes BSPP dont contrôle continu (11 h).

Les instructions.

Les règlements (organisation et fonctionnement du service d'incendie et de secours, le service intérieur).

Actions techniques pédagogiques (8 h).

Pédagogie.

Formation à l'exercice de l'autorité.

COMPOSANTE B.

FORMATION À LA MISSION OPÉRATIONNELLE.

139 heures (72 p. 100).

But : connaître les bases techniques du chef d'équipe en intervention.

Hydraulique et contrôle continu (13 h).

Instruction sur les hydrants (BI - PI).

Formation générale.

Formation technique dont contrôle continu (10 h).

Instruction sur le gaz.

Instruction sur le métro.

Instruction NRBC.

Instruction sur les ascenseurs.

Prévention. Prévision (4 h).

Formation générale.

Visite d'un IGH.

But : être capable d'assurer la fonction de stationnaire au bureau des opérations et de transmissions (BOT) en compagnie.

Formation stationnaire (42 h).

Procédure radio.

Les différents appels.

Les procédures.

Les départs de secours.

Les messages.

Les rapports.

Les plans particuliers.

Visite du CCOT.

But : acquérir les savoir-faire du chef d'équipe en intervention.

Secourisme (12 h).

Les interventions pour secours à victime.

Les interventions pour secours routier.

Formation au commandement (42 h).

Les engins de première intervention.

Le chef d'équipe en intervention.

Contrôle final (16 h).

COMPOSANTE C.

FORMATION PHYSIQUE MILITAIRE ET SPORTIVE.

27 heures(14 p. 100).

Buts :

  • entretenir et développer la condition physique des gradés ;

  • développer les qualités pédagogiques des gradés en E2PMS.

Activités physiques et contrôle continu (22 h).

Entraînement par la musculation.

Entraînement par la course.

Grimper de corde.

Natation.

Théorie E2PMS (4 h).

Les devoirs du moniteur E2PMS.

L'échauffement et la méthode naturelle.

Contrôle final écrit (1 h).

COMPOSANTE E.

FORMATION AU MANAGEMENT AU SEIN D'UNE UNITÉ ÉLÉMENTAIRE.

3 heures (2 p. 100).

Buts :

  • connaître les fonctions de chef d'agrès en intervention ;

  • connaître le rôle et les missions du gradé de jour.

Rôle du chef d'agrès (2 h).

Rôle du gradé de jour (1 h).

COMPOSANTE F.

ENVIRONNEMENT DE LA FORMATION.

4 heures (2 p. 100).

Buts :

  • accueil, ouverture du stage ;

  • proclamer les résultats et clôturer le stage.

Ouverture du stage (1 h).

Proclamation des résultats et clôture du stage (3 h).

 

 

APPENDICE III.B. Programme détaillé de la formation de spécialité élémentaire « risques naturels ».

Objectifs.

Programme, volume horaire.

COMPOSANTE A.

FORMATION AU COMPORTEMENT MILITAIRE.

7 heures (11 p. 100).

Comportement des militaires dans l'armée de terre.

But : cultiver et pratiquer des règles de conduite ayant pour objectifs de :

  • faire vivre des communautés militaires unies dans la discipline et la fraternité d'armes ;

  • cultiver des liens forts avec la communauté nationale ;

  • développer les qualités morales et comportementales requises dans l'exécution de la mission, au service de la France et des valeurs universelles dans lesquelles elle se reconnaît.

Comportement des militaires dans l'armée de terre (6 h).

Le comportement du soldat dans l'exercice quotidien de son métier (2 h).

Le comportement du soldat dans le milieu civil (2 h).

Le comportement du soldat dans l'exécution de sa mission (2 h).

Évaluation (1 h).

COMPOSANTE B.

FORMATION À LA MISSION OPÉRATIONNELLE.

45 heures (64 p. 100).

UV. Sauvetage déblaiement SDE 1.

Buts :

  • identifier les différents types de catastrophes provoquant des effondrements, et connaître leurs conséquences et les mesures de sécurité à mettre en œuvre ;

  • utiliser les matériels et techniques permettant de rechercher, de secourir et d'évacuer des victimes ensevelies ;

  • adapter son comportement et ses actes en fonction des victimes, des impliqués et du travail à réaliser dans un milieu inhabituel et hostile.

UV. Sauvetage déblaiement SDE 1 (45 h).

Maîtriser son environnement (7 h).

Mise dans l'ambiance (1 h).

Les différents types de catastrophes (1 h).

Les facteurs aggravants et les mesures de protection (3 h).

Organisation de la spécialité SD (2 h).

Rechercher des victimes ensevelies (7 h dont 2 h de nuit).

Evolution dans les décombres (3 h dont 2 h de nuit).

Les appareils de recherche (4 h).

Dégager une victime ensevelie (17 h).

Etaiement (8 h).

Moyens de forcement et de percement (3 h).

Moyens de levage et de traction (4 h).

Nœuds et brelages (2 h).

Evacuer les victimes hors de la zone dangereuse (11 h).

Secourisme (1 h).

Méthodes de sauvetage en décombres (10 h).

Evaluation théorique et pratique (3 h).

COMPOSANTE C.

FORMATION PHYSIQUE MILITAIRE ET SPORTIVE.

12 heures (17 p. 100).

Activités physiques fondamentales.

Activités physiques spécifiques.

Compétitions et divers.

Contrôle final.

But : développer la condition physique pour être capable de réaliser selon les modalités précisées en appendice IV.E :

  • un 100 mètres nage libre ;

  • un grimper de corde de 7 mètres ;

  • une marche course.

Modalités :

  • prendre en compte le niveau atteint, classer par groupe de force et organiser le travail ;

  • programmées sur une base de 6 heures hebdomadaires d'activités physiques, les séances d'entraînement permettent le perfectionnement des plus aptes et la progression des moins performants ;

  • la préparation de fond privilégie les entraînements en tenue de combat et rangers ;

  • la course d'orientation exécutée par binôme en FGI devient sport individuel et entre dans le domaine des activités physiques fondamentales ;

  • les cadres chargés de cette formation appliqueront les directives prescrites dans le BOEM 683* relatif à la réglementation générale du sport militaire.

Activités physiques fondamentales (8 h).

Entraînement par la musculation.

Travail d'adaptation.

Entraînement par la course (entraînement continu et grimper, entraînement alterné).

Natation.

Course d'orientation.

Activités physiques spécifiques (1 h).

Marche course.

Compétitions et divers (1 h).

Compétitions et divers.

Contrôle final (2 h).

COMPOSANTE F.

ENVIRONNEMENT DE LA FORMATION.

6 heures (8 p. 100).

Buts :

  • accueillir les stagiaires ;

  • proclamer les résultats et clôturer le stage.

Formalités administratives (3 h).

Travaux personnels (3 h).

 

 

APPENDICE III.C. Programme détaillé de la formation de spécialité élémentaire « risques technologiques ».

Objectifs.

Programme, volume horaire.

COMPOSANTE A.

FORMATION AU COMPORTEMENT MILITAIRE.

7 heures (6 p. 100).

Comportement des militaires dans l'armée de terre.

But : cultiver et pratiquer des règles de conduite ayant pour objectifs de :

  • faire vivre des communautés militaires unies dans la discipline et la fraternité d'armes ;

  • cultiver des liens forts avec la communauté nationale ;

  • développer les qualités morales et comportementales requises dans l'exécution de la mission, au service de la France et des valeurs universelles dans lesquelles elle se reconnaît.

Comportement des militaires dans l'armée de terre (6 h).

Le comportement du soldat dans l'exercice quotidien de son métier (2 h).

Le comportement du soldat dans le milieu civil (2 h).

Le comportement du soldat dans l'exécution de sa mission (2 h).

Évaluation (1 h).

COMPOSANTE B.

FORMATION À LA MISSION OPÉRATIONNELLE.

84 heures (78 p. 100).

UV 1. Risques radiologiques (RAD 1).

Buts :

- connaître les dangers de la radioactivité ;

- appliquer les méthodes d'intervention propres aux risques radiologiques ;

- s'intégrer dans un dispositif d'intervention en milieu radiologique.

UV 1. Risques radiologiques (RAD 1) (37 h).

Caractéristiques des rayonnements ionisants (8 h 30).

La radioactivité (2 h 30).

Les unités utilisées en radiologie (1 h 30).

Les risques induits par la radioactivité (2 h).

Les différentes sources radioactives (1 h 30).

Le transport des sources radioactives (1 h).

Radioprotection (6 h 30).

Les moyens de radioprotection (1 h 30).

La dosimétrie individuelle (1 h).

Les tenues de protection individuelle (1 h).

Mise en œuvre des tenues de protection individuelle (3 h).

L'équipe de reconnaissance (6 h).

Organisation des cellules mobiles d'intervention radiologique (CMIR) (2 h).

Plans d'urgence radiologiques (0 h 30).

Les matériels de l'équipe de reconnaissance (3 h 30).

L'intervention en milieu radiologique (13 h).

Conduite d'une intervention radiologique (1 h 30).

L'équipe d'intervention (1 h 30).

Intervention sur source scellée (4 h).

Intervention sur source non scellée (6 h).

Evaluation théorique et pratique (3 h).

UV 2. Risques chimiques (RCH 1).

Buts :

  • intervenir lors d'incident ou d'accident comportant des risques chimiques avec les moyens de l'équipe d'intervention ;

  • déterminer l'existence du risque chimique ;

  • réaliser les premières mesures conservatoires.

UV 2. Risques chimiques (RCH 1) (47 h).

Déterminer l'existence du risque chimique (16 h).

Reconnaître (2 h).

Détecter et mesurer (3 h).

Localiser la source du risque (3 h).

Prélever des échantillons/air, eau, sol (3 h).

Mise en œuvre du matériel d'analyse (5 h).

Réaliser les premières mesures conservatoires (28 h).

Réaliser un périmètre de sécurité (3 h).

Mettre en sécurité la population (1 h).

Evacuer ou confiner du public (2 h).

Décontaminer d'urgence des victimes et des intervenants (4 h).

Obturer la fuite (6 h).

Confiner ou récupérer des matières dangereuses (8 h).

Exercice de mise en situation (4 h).

Evaluation théorique et pratique (3 h).

COMPOSANTE C.

FORMATION PHYSIQUE MILITAIRE ET SPORTIVE.

14 heures (13 p. 100).

Activités physiques fondamentales.

Activités physiques spécifiques.

Compétitions et divers.

Contrôle final.

But : développer la condition physique pour être capable de réaliser selon les modalités précisées en appendice IV.E :

  • un 100 mètres nage libre ;

  • un grimper de corde de 7 mètres ;

  • une marche course.

Modalités :

  • prendre en compte le niveau atteint, classer par groupe de force et organiser le travail ;

  • programmées sur une base de 6 heures hebdomadaires d'activités physiques, les séances d'entraînement permettent le perfectionnement des plus aptes et la progression des moins performants ;

  • la préparation de fond privilégie les entraînements en tenue de combat et rangers ;

  • la course d'orientation exécutée par binôme en FGI devient sport individuel et entre dans le domaine des activités physiques fondamentales ;

  • les cadres chargés de cette formation appliqueront les directives prescrites dans le BOEM 683* relatif à la réglementation générale du sport militaire.

Activités physiques fondamentales (8 h).

Entraînement par la musculation.

Travail d'adaptation.

Entraînement par la course (entraînement continu et grimper, entraînement alterné).

Natation.

Course d'orientation.

Activités physiques spécifiques (2 h).

Marche course.

Compétitions et divers (2 h).

Compétitions et divers.

Contrôle final (2 h).

COMPOSANTE F.

ENVIRONNEMENT DE LA FORMATION.

3 heures (3 p. 100).

Buts :

  • accueillir les stagiaires ;

  • proclamer les résultats et clôturer le stage.

Formalités administratives (3 h).

Travaux personnels (h ND).

 

 

APPENDICE III.D. Programme détaillé de la formation de spécialité élémentaire « chef d'équipe pompiers des forces terrestres ».

Objectifs.

Programme, volume horaire.

COMPOSANTE A.

FORMATION AU COMPORTEMENT MILITAIRE.

7 heures (4 p. 100).

Comportement des militaires dans l'armée de terre.

But : cultiver et pratiquer des règles de conduite ayant pour objectifs de :

  • faire vivre des communautés militaires unies dans la discipline et la fraternité d'armes ;

  • cultiver des liens forts avec la communauté nationale ;

  • développer les qualités morales et comportementales requises dans l'exécution de la mission, au service de la France et des valeurs universelles dans lesquelles elle se reconnaît.

Comportement des militaires dans l'armée de terre (6 h).

Le comportement du soldat dans l'exercice quotidien de son métier (2 h).

Le comportement du soldat dans le milieu civil (2 h).

Le comportement du soldat dans l'exécution de sa mission (2 h).

Évaluation (1 h).

COMPOSANTE B.

FORMATION À LA MISSION OPÉRATIONNELLE.

80 heures (47 p. 100).

Cadre général de l'intervention du chef d'équipe.

Buts :

  • intervenir comme chef d'équipe sur incendie ;

  • commander le binôme.

Cadre général de l'intervention du chef d'équipe (théorie).

Généralités sur les opérations d'extinction.

Généralités sur les opérations d'extinction (8 h).

La combustion (1 h 30) :

  • la pyrolyse ;

  • le triangle du feu ;

  • causes, propagation et effets.

Les besoins en eau (2 h) :

  • connaissances des besoins et des ressources ;

  • mise en œuvre des systèmes d'alimentation.

Les matériels incendie (4 h 30) :

  • les tuyaux ;

  • les lances ;

  • les pièces de jonction ;

  • les accessoires hydrauliques ;

  • les lances et générateurs de mousse ;

  • les dévidoirs.

La sécurité individuelle et collective en intervention.

La sécurité individuelle et collective en intervention (18 h).

L'équipement individuel.

La protection respiratoire (ARI).

La protection collective.

Les manœuvres d'établissement.

Les manœuvres d'établissement (33 h).

Règles et précautions d'emploi.

Les différentes manœuvres.

Techniques et méthodes particulières.

Techniques et méthodes particulières (21 h).

Techniques et méthodes d'extinction des feux (4 h).

Matériels et engins de sauvetage (9 h).

Méthodes et techniques de sauvetage (8 h).

COMPOSANTE C.

FORMATION PHYSIQUE MILITAIRE ET SPORTIVE.

32 heures (19 p. 100).

Activités physiques fondamentales.

Activités physiques spécifiques.

Contrôle final.

But : développer la condition physique pour être capable de réaliser selon les modalités précisées en appendice IV.E :

  • un 100 mètres nage libre ;

  • un grimper de corde de 7 mètres ;

  • une marche course.

Modalités :

  • prendre en compte le niveau atteint, classer par groupe de force et organiser le travail ;

  • programmées sur une base de 8 heures hebdomadaires d'activités physiques, les séances d'entraînement permettent le perfectionnement des plus aptes et la progression des moins performants ;

  • la préparation de fond privilégie les entraînements en tenue de combat et rangers ;

  • la course d'orientation exécutée par binôme en FGI devient sport individuel et entre dans le domaine des activités physiques fondamentales ;

  • les cadres chargés de cette formation appliqueront les directives prescrites dans le BOEM 683* relatif à la réglementation générale du sport militaire.

Activités physiques fondamentales (11 h).

Entraînement par la musculation.

Travail d'adaptation.

Entraînement par la course (entraînement continu et grimper, entraînement alterné).

Natation.

Course d'orientation.

Activités physiques spécifiques (16 h).

Parcours d'obstacles.

Marche course.

Contrôle final (5 h).

COMPOSANTE E.

FORMATION AU MANAGEMENT AU SEIN D'UNE UNITÉ ÉLÉMENTAIRE.

36 heures (21 p. 100).

Entretien et gestion des matériels techniques.

But : savoir entretenir et gérer les matériels techniques.

Entretien et gestion des matériels techniques (36 h).

Les moyens radio de la section incendie (2 h).

Les matériels légers d'intervention (17 h).

Le matériel lourd d'intervention (17 h).

COMPOSANTE F.

ENVIRONNEMENT DE LA FORMATION.

15 heures (9 p. 100).

Buts :

  • accueillir les stagiaires ;

  • préparer les examens et réviser les connaissances ;

  • évaluer les stagiaires en cours de formation et faire des points intermédiaires ;

  • proclamer les résultats et clôturer le stage.

Formalités administratives (3 h).

Travaux personnels (7 h).

Contrôle continu (5 h).

 

 

ANNEXE IV. Modalités de contrôle des formations de spécialité élémentaire du domaine de spécialités sécurité.

APPENDICE IV.A. Modalités de contrôle de la formation de spécialité élémentaire « chef d'équipe sapeurs-pompiers de Paris ».

Composante.

Epreuve/sous-matière.

Coefficient.

Nature.

A. Formation au comportement militaire.

Connaissances des textes réglementaires.

3

Contrôle continu.

B. Formation à la mission opérationnelle.

Hydraulique.

3

Contrôle continu.

Connaissances techniques (gaz, métro, NRBC, hydrants, ascenseurs).

5

Contrôle continu.

Transmissions.

8

Contrôle continu.

Prévention, prévision.

3

Contrôle continu.

Stationnaire.

9

Contrôle final.

Connaissance des engins.

8

Contrôle continu.

Formation au commandement en intervention.

9

Contrôle final.

C. Formation physique militaire et sportive.

Epreuves COVAPI.

10

Contrôle continu.

Technique E2PMS.

3

Note d'aptitude.

 

9

 
 

Total.

75

 
 

APPENDICE IV.B. Modalités de contrôle de la formation de spécialité élémentaire « risques naturels ».

Composante.

Epreuve/sous-matière.

Coefficient.

Nature.

A. Formation au comportement militaire.

Le comportement du soldat dans l'exercice quotidien de son métier.

2

Épreuves écrites.

Le comportement du soldat dans le milieu civil.

1

Le comportement du soldat dans l'exécution de sa mission.

2

B. Formation à la mission opérationnelle.

UV. Sauvetage déblaiement (SDE 1).

Evaluation théorique.

33

Épreuves écrites.

Les risques secondaires.

3

Les méthodologies d'intervention.

3

Les différents types de catastrophes.

3

L'organisation opérationnelle du sauvetage déblaiement.

3

Les différents types d'effondrement et détermination des poches de survie.

3

Les différentes phases de la recherche.

3

Les différents étais.

3

Les principes de l'étaiement.

3

Les mouflages.

3

Connaissance des performances des matériels de levage.

3

Connaissance des pathologies consécutives aux catastrophes.

3

Evaluation pratique (grille d'évaluation).

2 possibilités :

  • apte.

  • inapte.

Epreuves pratiques.

Mesures de sécurité individuelles et collectives.

Mise en œuvre et entretien des matériels en service dans l'unité.

Participation à l'issue des différentes méthodes de sauvetage.

Epreuve de nœuds et brelages.

C. Formation physique militaire et sportive.

Grimper.

2

Épreuves pratiques.

Natation.

2

Marche course.

3

Note d'aptitude.

 

5

 
 

Total.

50

 
 

Nota.

La réussite à l'UV SDE 1 est soumise à l'obtention d'une note égale ou supérieure à 10 sur 20 dans l'épreuve théorique et à la mention apte dans l'épreuve pratique.

Le CFAPSE, en cours de validité, doit être détenu pour l'attribution du CTE.

APPENDICE IV.C. Modalités de contrôle de la formation de spécialité élémentaire « risques technologiques ».

Composante.

Epreuve/sous-matière.

Coefficient.

Nature.

A. Formation au comportement militaire.

Le comportement du soldat dans l'exercice quotidien de son métier.

2

Épreuves écrites.

Le comportement du soldat dans le milieu civil.

1

Le comportement du soldat dans l'exécution de sa mission.

2

B. Formation à la mission opérationnelle.

   

UV 1. Risques radiologiques (RAD 1).

UV 1.

  

Evaluation théorique.

QCM de 20 questions.

16,5

Épreuves écrites.

Evaluation pratique.

Définition d'une conduite à tenir à partir d'un cas concret.

Contrôle par atelier :

  • matériels ;

  • protection individuelle ;

  • habillage, déshabillage.

2 possibilités :

  • apte.

  • inapte.

Épreuves pratiques.

UV 2. Risques chimiques (RCH 1).

UV 2.

  

Evaluation théorique.

QCM de 20 questions.

16,5

Épreuves écrites.

Evaluation pratique.

Mise en œuvre du matériel.

2 possibilités :

  • apte.

  • inapte.

Épreuves pratiques.

C. Formation physique militaire et sportive.

Grimper.

2

Épreuves pratiques.

Natation.

2

Marche course.

3

Note d'aptitude.

 

5

 
 

Total.

50

 
 

Nota.

La réussite à l'UV 1 et à l'UV 2 est soumise à l'obtention d'une note égale ou supérieure à 12 sur 20 dans les épreuves théoriques et au classement apte dans les deux épreuves pratiques.

Le CFAPSE, en cours de validité, doit être détenu pour l'attribution du CTE.

APPENDICE IV.D. Modalités de contrôle de la formation de spécialité élémentaire « chef d'équipe pompiers des forces terrestres ».

Composante.

Epreuve/sous-matière.

Coefficient.

Nature.

A. Formation au comportement militaire.

Le comportement du soldat dans l'exercice quotidien de son métier.

2

Épreuves écrites.

Le comportement du soldat dans le milieu civil.

1

Le comportement du soldat dans l'exécution de sa mission.

2

B. Formation à la mission opérationnelle.

Chef d'équipe.

  

Cadre général de l'intervention.

2

Épreuves écrites.

Les manœuvres incendie.

10

Épreuves pratiques.

Les sauvetages.

8

Épreuves pratiques.

Les manœuvres en ARI.

10

Épreuves pratiques.

C. Formation physique militaire et sportive.

Grimper.

2

Épreuves pratiques.

Natation.

1

Parcours d'obstacles.

2

Marche course.

2

E. Formation au management au sein d'une unité élémentaire.

Entretien et gestion des matériels techniques.

3

Épreuves écrites.

Note d'aptitude.

 

5

 
 

Total.

50

 
 

Nota.

Le CFAPSE, en cours de validité, doit être détenu pour l'attribution du CTE.

APPENDICE IV.E. Exécution des épreuves sportives.

Nota.

Chacune des épreuves est identique pour les hommes et les femmes, à l'exception du parcours d'obstacles pour lequel le personnel féminin est dispensé de quatre obstacles. Les barèmes sont, quant à eux, propres à chaque sexe.

1 Grimper.

Effectuer le plus rapidement possible en style libre (avec ou sans utilisation des jambes) un grimper à la corde lisse.

Grimper de 7 m (2 x 3,5 m), mesurés du sol, étalonnés tous les 0,5 m à partir de 1,5 m du sol.

Départ en appui sur un pied, mains sur la corde en dessous du premier repère à 1,5 m. toucher d'une main le repère à 5 m.

Descente libre continue ; la reprise du contact avec le sol, à l'issue du premier grimper, s'effectue sur un pied et ne doit pas excéder trois secondes.

Tenue de sport.

2 Natation.

Après un départ plongé ou sauté, parcourir 100 m le plus rapidement possible dans un style de nage libre. Dans les virages, le nageur qui doit avoir un contact physique avec l'extrémité du bassin, peut toucher le mur et exercer sa poussée avec n'importe quelle partie du corps. Cependant, il ne lui est pas permis de prendre pied au fond du bassin.

L'épreuve doit être réalisée en eau morte (piscine ou étendue d'eau calme) dont la température ne doit pas être inférieure à 24 degrés centigrades pour les piscines et à 18 degrés centigrades pour les plans d'eau naturels.

Tenue de bain (bonnet et lunettes de natation autorisés).

3 Parcours d'obstacles.

Le parcours est celui défini au TTA 150. Tous les obstacles doivent être franchis et dans l'ordre. Une pénalisation de trente secondes sanctionne tout obstacle non passé.

Le personnel féminin est dispensé du gué ,de la table irlandaise, du mur d'assaut et de la fosse.

L'épreuve s'effectue en tenue de combat, sans coiffure ni ceinturon.

4 Marche course.

L'épreuve est effectuée en terrain plat (ou légèrement vallonné) sur une distance de 8 kilomètres et s'exécute en tenue de combat sans casque et sans charge.

APPENDICE IV.F. Barème des épreuves sportives.

Table 1. Hommes.

Notes.Grimper.Natation.Parcours d'obstacles.Marche course.
2014''1'35''3'50''40'
1915''1'40''3'55''41'
1816''1'45''4'42'
1717''1'50''4'05''43'
1618''1'55''4'10''44'
1519''2'00''4'15''45'
1420''2'05''4'20''46'
1321''2'10''4'25''47'
1222''2'15''4'30''48'
1123''2'20''4'35''49'
102 C2'25''4'40''50'
91 C + 3 m2'35''4'50''51'
81 C + 2,5 m2'45''5'52'
71 C + 2 m2'55''5'10''53'
61 C + 1,5 m3'05''5'20''54'
51 C + 1 m3'15''5'30''55'
41 C + 0,5 m100 m5'50''56'
31 C75 m6'10''57'
23 m50 m6'30''58'
12 m25 m6'50''59'
0< 2 m< 25 m> 7'> 1 h 00'
 

Table 2. Femmes.

Notes.Grimper.Natation.Parcours d'obstacles.Marche course.
2021''1'45''3'50''45'
1922''1'50''3'55''46'
1823''1'55''4'47'
1724''2'00''4'05''48'
1625''2'05''4'10''49'
1526''2'10''4'15''50'
142 C2'15''4'20''51'
131 C + 2,5 m2'20''4'25''52'
121 C + 1,5 m2'25''4'30''53'
111 C + 0,5 m2'30''4'35''54'
101 C2'35''4'40''55'
93 m2'45''4'50''56'
82,5 m2'55''5'57'
72 m3'05''5'10''58'
61,5 m3'15''5'20''59'
51 m3'25''5'30''1 h 00'
4 100 m5'50''1 h 01'
3 75 m6'10''1 h 02'
2 50 m6'30''1 h 03'
1 25 m6'50''1 h 04'
0< 1 m< 25 m> 7'> 1 h 05'
 

APPENDICE IV.G. Détermination de la note d'aptitude des militaires du rang.

La note d'aptitude des MDR est évaluée à partir des critères figurant dans le tableau ci-dessous. Chaque appréciation d'une qualité doit se référer à une échelle de valeur chiffrée de 0 à 20.

Cette note d'aptitude est calculée en appliquant la formule suivante :

Note d'aptitude sur 20 = valeur totale / nombre de critères.

Table 3. Grille, type d'évaluation.

Qualités à apprécier.Supérieur (20 à 18).Bon (17 à 14).Moyen (13 à 10).Passable (9 à 16).Insuffisant (5 à 0).

Compétences techniques.

     

Condition physique.

     

Esprit de discipline.

     

Esprit d'équipe.

     

Conscience professionnelle.

     

Motivation.

     

Maîtrise de soi.

     

Confiance à accorder.

     

Potentiel.

     

Sens du commandement.

     
 

Nota.

Les qualités à apprécier sont définies page suivante.


Table 4. Définition des qualités à apprécier.

 Compétences techniques.Condition physique.Esprit de discipline.Esprit d'équipe.Conscience professionnelle.Motivation.Maîtrise de soi.Confiance à accorder.Potentiel.Sens du commandement.

Supérieur.

Excellente maîtrise dans l'exécution des techniques apprises.

Santé parfaite, infatigable.

Loyal, franc, fidèle, intelligent dans l'exécution des ordres.

Très grande attention portée à autrui, dépassement des intérêts personnels.

Abnégation, efficacité, ténacité, travail bien fait, n'abandonne jamais.

Forte motivation militaire, forte motivation technique.

Se contrôle en toute situation, volonté inflexible.

Professionnellement habile, très grand respect des règles de sécurité, très fiable.

Degré de compréhension très élevé, faculté d'adaptation évidente et potentiel de progrès certain. Esprit très ouvert.

Attrait pour le commandement, s'impose très facilement.

Bon.

Bonne maîtrise dans l'exécution des techniques apprises.

Bonne santé, bonne résistance physique.

Assidu, consciencieux, respecte les ordres avec discipline.

Grande attention portée à autrui, dépassement des intérêts personnels.

Efficient, productif, termine le travail de manière satisfaisante.

Forte motivation militaire et bonne motivation technique ou forte motivation technique et bonne motivation militaire.

Contrôlé, assez sûr de lui, volonté satisfaisante.

Professionnellement habile, respecte les règles de sécurité, fiable.

Degré de compréhension très élevé, faculté d'adaptation satisfaisante et potentiel de progrès possible. Esprit ouvert.

Attrait pour le commandement, s'impose aisément.

Moyen.

Maîtrise moyenne dans l'exécution des techniques apprises.

Condition physique moyenne, résistance moyenne.

Respecte les ordres sans chercher à en pénétrer l'esprit.

Attention portée à autrui moyenne, conciliateur mais parfois intéressé.

Efficacité et ténacité moyennes, qualité du travail parfois aléatoire.

Motivations militaire et technique moyennes.

Assez contrôlé, émotif parfois, volonté moyenne.

Habileté professionnelle moyenne, respect des règles de sécurité moyenne, assez fiable.

Degré de compréhension moyen, faculté d'adaptation perfectible et potentiel de progrès limité.

Moyennement intéressé par le commandement, s'impose assez facilement.

Passable.

Parfois des difficultés à exécuter les techniques apprises.

Santé moyenne, se fatigue vite.

Tendance à interpréter l'ordre donné.

Attention portée aux autres sporadique, plutôt intéressé.

Plutôt velléitaire, produit peu, rechigne au travail.

Motivation militaire moyenne et motivation technique insuffisante ou motivation technique moyenne et motivation militaire insuffisante.

Hésitant, impulsif, très émotif, volonté faible.

Habileté professionnelle insuffisante, respect des règles de sécurité aléatoire, peu fiable, intempérance parfois.

Degré de compréhension et faculté d'adaptation faibles, potentiel de progrès très limité.

Peu intéressé par le commandement, difficultés à s'imposer.

Insuffisant.

Incapable d'exécuter les techniques apprises.

Santé fragile, se fatigue très vite.

Négligent, peu discipliné, critique les ordres.

Ne se soucie pas des autres, agit avec intérêt.

Velléitaire, improductif, ne termine pas la tâche.

Motivations militaire et technique insuffisantes.

Très instable, impulsif, très émotif, volonté très faible.

Demande une surveillance constante, maladroit, peu fiable, intempérance certaine.

En difficulté de compréhension, adaptation et potentiel de progrès incertains.

Refus du commandement, n'est pas apte à diriger.

 

APPENDICE IV.H. Feuille individuelle de résultats de la formation de spécialité élémentaire « chef d'équipe sapeurs-pompiers de Paris ».

La moyenne obtenue aux différents contrôles est adressée au bureau formation instruction de la BSPP. Après la proclamation des résultats, seule la note obtenue et la mention (le cas échéant) sont inscrites en décision brigade et sur les pièces administratives de l'intéressé.

Moyenne en formation de spécialité élémentaire.

sur 20.

 

APPENDICE IV.I. Feuille individuelle de résultats de la formation de spécialité élémentaire risques naturels.

Figure 1. Feuille individuelle de résultats de la formation de spécialité élémentaire risques naturels.

 image_21149.png
 

APPENDICE IV.J. Feuille individuelle de résultats de la formation de spécialité élémentaire risques technologiques.

Figure 2. Feuille individuelle de résultats de la formation de spécialité élémentaire risques technologiques.

 image_21150.png
 

APPENDICE IV.K. Feuille individuelle de résultats de la formation de spécialité élémentaire chef d'équipe pompiers des forces terrestres.

Figure 3. Feuille individuelle de résultats de la formation de spécialité élémentaire chef d'équipe pompiers des forces terrestres.

 image_21151.png
 

ANNEXE V. Liste des diplômes admis en équivalence du certificat technique élémentaire.

Nature de filières du domaine de spécialités « sécurité ».

Formation des sapeurs-pompiers ou secouristes. Diplôme civil.

Module ou CTE par équivalence.

Code métier (1).

Catégorie.

Libellé.

Sécurité civile.

SDE 1.

Équipier sauvetage déblaiement.

CTE « risques naturels ».

344P

RAD 1.

Équipier reconnaissance.

UV 1 de la FSE « risques technologiques ».

344P

RCH 1.

Équipier « C ».

UV 2de la FSE « risques technologiques ».

344P

RAD 1 et RCH 1.

Équipier reconnaissance et équipier « C ».

CTE « risques technologiques ».

344P

(1) Nomenclature des spécialités de formation [décret n94-522 du 21 juin 1994 (n.i. BO, JO du 26, p. 9273)].

 

ANNEXE VI. Documentation à utiliser pour la conduite de l'instruction.

1 Documents toutes armes.

Référence.

Titre.

TTA 101.

Règlement de discipline générale.

TTA 101 bis.

Instruction sur la formation militaire générale.

TTA 102.

Règlement du service intérieur.

TTA 103.

Règlement sur le service de garnison.

TTA 104.

Règlement de l'ordre serré et des prises d'armes.

TTA 105.

Règlement de service en campagne.

TTA 116/1.

Mémento sur les mesures de sécurité applicables dans l'armée de terre.

TTA 119/1.

Notice sur la prévention et la lutte contre l'incendie (tome 1).

TTA 122.

L'action du commandement dans la maîtrise du stress.

TTA 150.

Manuel du sous-officier (édition provisoire 2001).

TTA 153.

Manuel de mise en œuvre du processus des missions globales.

TTA 166.

Manuel à l'usage des forces employées outre-mer.

TTA 190.

Manuel de secourisme.

TTA 193.

Manuel de pédagogie militaire.

TTA 203.

Manuel d'instruction du tir aux armes légères.

TTA 207.

Règlement sur les mesures de sécurité.

TTA 601.

Manuel de défense NBC (tome 1).

TTA 628.

Mémento de défense NBC.

TTA 704.

Règlement sur les opérations de déminage.

 

2 Documents spécifiques au domaine concerné.

  Sapeurs-pompiers de Paris.

Référence.

Titre.

INS 6.1.Instruction relative à la formation des personnels.
INS 6.3.Instruction relative aux activités sportives.
BSP 112.Règlement sur le service intérieur.
BSP 118.Règlement sur l'organisation et le fonctionnement du service incendie.
BSP 200.1.Engins de premier départ incendie et sauvetage.
BSP 200.2.Engins de premier départ secours à victimes.
BSP 250.Matériel contre l'incendie, installations hydrauliques.
 

  Sécurité civile.

Guide national de référence des sapeurs-pompiers « risques radiologiques » (édition novembre 2002).

Guide national de référence des sapeurs-pompiers « risques chimiques » (version en refonte).

Guide national de référence des sapeurs-pompiers « sauvetage déblaiement » édition avril 2003.

  Pompiers des forces terrestres.

Guide technique du VIC.

3 Documents divers.

Manuel de la pratique des activités physiques et sportives (tomes 1 et 2, CSM, novembre 1989).

Manuels d'éducation civique (notamment « réflexions sur la défense »).

Manuel sur le droit de la guerre pour les forces armées (Frédéric de Mulinen, CICR, 1989).

Droit de la guerre (CICR, 1991).

Notice sur la pédagogie audiovisuelle dans l'armée de terre.

Documentation de la délégation à l'information et à la communication de la défense (DICOD).

Recueil de savoir-faire crises (CoFAT, juillet 1993).

Directive pour l'instruction sur les mines, les pièges et autres dispositifs [lettre n30/DEF/EMAT/BPO/EMP/65/CD du 4 février 1997 (n.i. BO)].

L'exercice du métier des armes dans l'armée de terre, Fondements et principes, janvier 1999.

Guide à l'usage des cadres de contact pour le commandement des EVAT (CoFAT, édition 2000).

Directive relative aux comportements dans l'armée de terre [n4496/DEF/EMAT/CAB/G du 28 juin 1999 (n.i. BO)].

Directive relative à la formation militaire générale, mars 2001.

Guide pour l'enseignement des « principes de l'exercice du métier des armes » et du « code du soldat ».